[Marché de Noël] Stand du Forgeron

Promotions

Epées et Sabres
Epée à une main (lame 70cm) - 17 Pims au lieu de 30

Armes à manche
Petite hache et Tomahawk - 8 Pims au lieu de 15
Bardiche & hallebarde - 30 Pims au lieu de 55

Armures armées
Gantelet à griffes - 12 Pims au lieu de 20/pièce
Bras et lames courbes latérale - 23 Pims au lieu de 40

Armes à distance
De jet
Shuriken - 2 Pims au lieu de 5/pièce
De tir
Arbalète (+ 5pims au lieu de 10 pour un mécanisme à coups successifs et + 5 au lieu de 10 pour réduire la taille de l'arbalète permettant de la porter sur le bras) - 23 Pims en bois au lieu de 40, 37 Pims en métal au lieu de 55.

Armes spéciales à mi-distance
Chat à neuf queues - 25 Pims au lieu de 45

Armes spéciales pour combat rapproché
Epée coulissante - 25 Pims au lieu de 45

Armures
Côte de maille - 8 Pims au lieu de 15

Nouveaux articles

Armes à distance
De jet
Fang - 15 Pims/pièce
De tir
Avant-bras tireur (Pièce d'armure protégeant l'avant bras avec un mécanisme pouvant lancer 5 carreaux ou shurikens consécutivement, se recharge par une petite fente horizontale sur le dessus) - 50 Pims

Armures armées
Ceste (gant de combat renforcé de métal contondant au niveau des articulations des doigts) - 15 Pims

Armes spéciales pour combat rapproché
Nunchaku - 30 Pims bois, 40 Pims métal

Armure
Bouclier lanterne (amas de lames, de pics, de crochets et d'une lanterne placée derrière le bouclier, permet au combattant de s'éclairer et en ouvrant une trappe devant son bouclier d'éblouir l'adversaire) - 25 Pims

Nouveautés:

Revoir le forgeron dans d'autres circonstances avait le don de me mettre de bonne humeur. Ou bien cette neige, ces lumières et une programmation idiote sur les émotions que doit ressentir un androïde en cette période faisaient que j'étais guilleret, pour ne pas dire joyeux.
Si je n'avais arboré une tête à moitié terminée et des bosses fraiches sur ma carlingues (oui la carrosserie est passée au statut de carlingue...), peut-être qu'on aurait pu me croire bourré. C'était pas au précédent marché de noël qu'on pouvait acheter le seul et unique alcool capable de rendre un robot ivre-mort ? Un bonheur quand on est sanctuari de mettre en dégrisement des robots en pagaille !

- Bonjour !

Le stand était presque aussi tentant que tout ce que contenait la forge. Mon armour de la technologie supporterait bien une entorse ou deux avec quelques lames et armes de corps-à-corps à la clef... Je craquais pour le chat à neuf queues. Ce n'était même pas pour moi, mais pour une Naga de ma connaissance qui aimerait bien plus ce type de cadeau qu'une boite de chocolats.

En plus, mieux vaut lui apporter une colonie de batraciens vivant plutôt que des chocolats.

Je désignais l'objet de mon choix et quémandais un paquet cadeau. On peut être un androöde et avoir horreur d'emballer les cadeaux. Ce n'est pas incompatbile. Même si ma connexion internet m'aurait donné une méthode efficace pour les faire moi-même.

Je suis programmé comme les humains, je suis donc économes sur mes efforts. La faute au développeur qui s'est chargé de mon IA initiale.
Ou à la caserne... Il faut avouer que depuis quinze ans mes exemples ont été une ribambelle de feignasses.

J'attendais patiemment derrière mon étal lorsqu'une voix familière me salua.

- Hey comment allez-vous ? L'ambiance de Noël me rendait tout euphorique, c'était la première année que j'allais réellement le fêter sur Entre-Monde, entouré de personnes que j'appréciais.

Eylène arriva à ce moment là :
- Eylène, te voilà ! Je lui fis la bise, tout enjoué. Je te présente le Sanctuari qui m'a nommé forgeron. Elle le salua de son sourire enchanteur.

- Que puis-je pour vous, Septembre c'est bien cela ? La première et dernière fois que nous nous étions vu, il ne s'était pas présenté. Mais en appelant la Caserne pour régler un soucis administratif son nom m'avait été dévoilé.

Il me montra le Chat à neuf queues.

- Cela fera 25 Pims.

Le droïde me demanda un paquet cadeau. Je souris avant d'emballer l'arme dans une forme d'énorme bonbon dans un papier coloré.

- Et voilà pour vous, joyeux Noël !

Je laissais le stand à Eylène.

- Je reviens, lui assurais-je, je vais faire le tour des autres étables.

Des griffes acérées se refermèrent lentement sur les yeux de Septembre. Une langue fourche lui caressa la nuque tandis que ma Naga chuchottait un ¤ Qui csssela être ? Parfaitement flippant.
Ce pauvre androïde avait du faire des choses particulièrement bénéfiques pour que le Karma se déchaîne sur lui comme ça.

Les robots croyaient-ils au Karma et à l'équilibre?

Ma Naga occupée par le déballage de son nouveau cadeau, des cris de joie et les embrassades classiques d'un couple un tant soi peu normal, je me tournais vers le stand pour m'adresser à la vendeuse.

- Je suis Corben Krayt, le Technomage. Je viens livrer un colis pour le Forgeron. Et faire des achats aussi.

La lame enchantée tournait doucement sur elle même en flottant légèrement, et elle irisait de magie contenue. Je laissais des indications au Forgeron - Pas de manipulation, pas d'exposition à une trop forte chaleur et pas d'entretient particulier - les enchantements contenus dedans s'en occupaient. La lame paressait parfaitement affûtée, et quiconque la regardait pouvait la voir commencer à s'adapter à l'idée qu'on se faisait d'une lame enchantée. Pour rire, j'avais même ajouté l'enchantement de l'épée chantante...

- Je vais vous prendre une canne-épée, une épée-fouet, un bon pour une amélioration d’arbalète a tir successifs, s'il vous plait.

Une fois les achats passés, je rejoingais les deux amoureux.

- Septembre. Comment allez-vous ? Tiens Sash', c'est pour toi. Joyeux Noël...

Je lui confiais l'épée-fouet, gardant la canne pour qu'elle l'offre au pretre aveugle plus tard. avec un grand sourire, elle testa rapidement l'épée avant de se tourner vers le Sanctuari et de fouiller son sac à la recherche d'une pochette verte et grise. Son ton et son sourire se firent plus doux et je pus observer ma timonière dans un rare moment de tendresse sincère.

¤ Joyeux Noël, Septembre-moi. Je esssspérer que tout plaire...

La pochette comprenait les Noitastiques, le Niagara, les menottes et une de ses écailles montée en pendentif. Je m'éloignais pendant qu'elle lui expliquait le fonctionnement de son dernier cadeau. Je m'éclipsais, leur laissant de l'intimité. En plus il était temps que je retourne à mon stand...

Eylène attendait patiemment la venue de clients, affichant un sourire avenant. A peine fus-je parti que le Technomage et sa Naga débarquèrent sur mon stand. La Katsune les accueillit avec joie, les yeux rieurs devant la scène qui se passait devant elle.

Elle récupéra la lame enchantée, et plus elle l'observait plus celle-ci ressemblait à un sabre dont la lame était d'un bleu irisé. Ayren lui avait parlé de cet échange entre commerçant, mais elle était impressionnée des capacités de Corben.

Elle écouta attentivement la commande et prépara les paquets cadeaux. Elle comptabilisé : une canne épée pour 40 Pims, une épée fouet pour 50 Pims, et un bon pour une amélioration d'arbalète à tir successif.

- Cela vous fera 95 Pims, annonça-t-elle.

Je repassais sur le stand à ce moment là pour récupérer des cadeaux à l'intention de Wergeld. Je regardais l'ensemble de la commande et décidais d'offrir le bon à Corben avant de retourner au stand de l'alchimiste.

- Donc 90 Pims, corrigea Eylène dans un sourire.

Elle récupéra la carte de crédit du Technomage et débita les sous.

- Bons achats et joyeux Noël, conclut-elle.

La suite: la forge! Je n'avais qu'un petit achat à faire, c'était quasiment comme une excuse pour aller voir Ayren et lui donner son cadeau. J'arrivais devant le stand, des armes de partout, pas de couleurs certes, mais du beau métal et de belles pièces. Le plus beau des stands du marché. Une étrange couleur se trouvait au milieu de tout ça, une femme renard. Qui était-ce? La femme d'Ayren? Alors je me serai trompée pour lui et Eva?.. Oups. Enfin, je cachai les enveloppes dans ma veste pour un meilleur effet de surprise.

Salut Ayren! Et... M'dame Peluche.

Je zieutai les armes, finissant par m'arrêter vers l'épée à une main, simple, mais très bien pour l'usage que je voulais en faire. D'une part, elle me servirait dans certaines situations où deux épées à une main seraient les bienvenues. Et de l'autre, pour les nouveaux aventuriers qui pourraient m'accompagner. Ils auront au moins une arme, et une bonne, pas une dague ou un couteau.

J'veux une épée à une main. Elle s'appellera... "Fuyu", autrement dit, l'hiver.

Puis m'approchant d'Ayren, les yeux sur la Kitsune, je lui chuchotai, forçant bien sur le "Mademoiselle" pour plaisanter.

C'était pas "Mademoiselle" Eva, ta femme ?

Je le laissai me répondre, puis le sourire aux lèvres, je lui présentai l'enveloppe contenant le titre Hôtel, un cadeau qui je penserai lui serait utile pour rentrer rapidement chez lui. Sur le dessus de l'enveloppe, on pouvait lire un "A" mal écrit, comme écrit par une enfant.

Joyeux Noël Ayren, c'est pour toi !

Enfin la forge ! Lys traine les pieds, elle n'a pas réussi à convaincre Ayame de lui offrir un fusil d'Arcturus pour Noël. Au lieu de ça, elle a un petit gadget à mettre sur son sac. Elle n'est pas malheureuse, mais elle l'aimait tellement ce fusil... Quant à moi, je suis hilare. Voir Nij'aku faire de l'intérim m'a mis en joie. J'en avais profité pour lui offrir la chope que je lui destinais, c'était bien la seule chose civilisée qu'il m'avait été donné de faire dans le laboratoire avant que l'elfe ne m'extirpe de là-bas.
Je suis tellement pressé qu'un conseil des Maitres arrivent ! Sans Augure et avec la possibilité d'en rajouter sur le dos de Souen... C'est Noël pour les Maitres des Miroirs.

Le stand et les derniers bijoux exposés attirent aussitôt mon oeil expert. Je tâte quelques lames, soupèse le poids d'une masse ou deux. Je suis dans mon élément. Le vrai Noël de K'ouen commence.
Tandis que j'observe les armes et armures, l'elfe approche Ayren qu'il salue chaleureusement. Sourire solaire et poignée de main franche, le capitaine prends plaisir à revoir des aventuriers sains d'esprits et toujours en vie. Ce genre de rencontres sont trop rares pour qu'ils les oublient !

-Ayren, Félicitations pour votre nouveau titre de forgeron !

Je relève une tête curieuse, les deux informations venant de se rencontrer dans un cataclysme dans mon esprit. Un sourire parvint à illuminer mes traits.
Ayame en profite pour offrir un paquet à Ayren. Fraichement emballé et fraichement livré. Il passe sa commande en donnant, sous mon admiration la plus totale, les mensurations de Corben et de Septembre de tête pour, respectivement, la cotte de maille et le bras armé.

-T'es un robot... Je ne vois aucune autre explication possible.

L'elfe m'envoie un clin d'oeil amusé tout en faisant non de la tête. Il venait de repéré une masse d'arme d'un calibre déraisonnable dans l'une de mes mains. Je la repose en faignant d'être malheureux.
Quel Rabat-joie !

-Ayren ! Cher ami !

Avec le froid qu'il faisait en ce début d'hiver, j'avais troqué mon armure de cuir pour un gilet de fourrure douillette. La vendeuse m'avait assuré que le rouge et le blanc faisait ressortir ma fourrure naturelle. Je ne l'avais pas prise au sérieux. Si j'avais accepté d'avoir l'air du chat du Père Noël c'était uniquement afin que personne ne puisse me marcher dessus dans le marché et me faire croire qu'il ne m'avait pas vu.
Les foires, c'est toujours le bazar pour les chats.
Sans entrer dans le détail de mon affection pour mon colocataire végétarien, je tendis une patte vers un ceste noblement présenté sur le stand.

- Pourrais-tu m'emballer ce Ceste, je te prie. Et écrire sur la carte "A Kiyiya de la part de Pwyll des Thoran". Avec un "h" à Thoran. Je sais, écris-le sur un bout de papier, là, sur le bout de nappe. Allez ! Je veux te relire avant. Je refuse d'envoyer une carte mal écrite même à cette louve-mal-léchée de Kiyiya.

L'autorité, il n'y a que ça qui marche avec les hommes. Demandez-donc aux femmes humaines ce qu'elles en pensent. En plus d'avoir du goût et d'aimer les chats, elles seraient parfaitement d'accord avec moi.

-Je n'ai pas fini. Je dois faire une cadeau à ta dame. Je ne vais pas lui offrir quelque chose qu'elle risquerait de tester sur moi à ma prochaine visite de la bibliothèque... Pourrais-tu lui mettre une paire de gants en cuir ? Si par ailleurs, tu pouvais me faire le plaisir d'appliquer une figure de chat sur le dos des gants, tu me rendrais un grand service.

Si seulement, il m'était possible de voir la tête d'Eva lorsqu'elle déballera son cadeau ! Je me contenterais de l'imaginer.

-Quant à toi cher ami, je vais de ce pas te chercher un cadeau. Je sais déjà ce que je vais t'offrir. Je reviens plus tard !

Chat visible. Chat invisible. C'était bien plus pratique de passer d'un stand à l'autre en me baladant directement sur les étales. Je prenais même un peu de plaisir en envoyant dans les airs les objets que je trouvais moches (les statuettes de chats boudinés pour exemple) ou ceux qui se trouvaient, par un heureux hasard, sur mon chemin.

De retour à mon stand le sac sans fond chargé de cadeau (mais quelle magnifique invention !), je ne chômais pas un instant. A commencer par Hiryu qui me demandais une épée à une main. Je lui présentais la lame avant de lui préciser :
- Je t'offre la gravure, c'est bien parce que c'est toi. Soit je te donne la lame maintenant et tu reviens à la forge pour que je te la grave soit tu reviens demain à l'étale je te le fais cette nuit Ca te fera 17 Pims.

Elle observait Eylène d'un oeil suspicieux avant de me demandais à l'oreille si "Mademoiselle" Eva n'était pas ma femme. Je souris de toute mes dents sans lui répondre.
- Je te présente Eylène, elle m'aide à la forge. La femme-renard salua la jeune fille.

- Ah et tiens Hiryu, j'ai quelques petites choses pour toi. Je sortis un paquet du sac sans fond et un autre de sous l'étable. Joyeux Noël Mademoiselle ! lui dis-je dans un sourire.

Elle me tendit en retour une enveloppe avec un "A" tremblotant dessus.
- Ça y est ? Tu apprends à écrire ? C'est excellent Hiryu ! lui dis-je avec fierté. Merci beaucoup, je l'ouvrirais plus tard. Passes de très bonne fête et à bientôt jeune fille ! finis-je dans un clin d'oeil.

A peine quelques minutes passèrent et Wergeld arriva avec Ayame qui me félicita chaleureusement pour mon poste de forgeron. Je le remerciais avec autant d'entrain. Il me tendis un paquet, je le remerciais à nouveau avant de prendre sa commande. Je notais les mensurations pour la côte de maille et le bras armé.
- Très bien, ce sont de petits ajustements qui ne prendront pas beaucoup de temps. Je vous le ferais livrer demain matin. Cela vous fera 31 Pims.

Lorsque je voyais Wergeld jouer avec la masse d'arme et sa mine déçue de devoir la reposer je ne pouvais m'empêcher de sourire en lui disant :
- Attends d'ouvrir les cadeaux que je t'ai offert lorsque nous nous sommes croisés sur les autres stand. accompagné d'un petit clin d'oeil.

- Quant à toi Ayame, ce n'est pas emballé mais voici des recharge pour ton arbalète, et je suis sûr que cette sarbacane te sera utile pour protéger le Maitre de K'ouen. Je sortis les billes fumées et toiles qui elles étaient emballées. Recharge pour la sarbacane. Joyeux Noël les amis. Passez de bonnes fêtes.

Je les saluais lorsqu'ils partirent, papotant avec Eylène en attendant le prochain client, qui ne fut autre que Pwyll. J'adorais ce Li. Il me commanda un Ceste, mon premier client qui prenais un de mes nouveaux arrivages, cela me combla.

Toujours égal à lui même Pwyll me commanda pour écrire à Kiyiya, je souris devant son exigence et me plaiais à ses volontés. Eylène me regarda d'un air interrogateur, je haussait les épaules avec un clin d'oeil. Il ne fallait pas s'en faire, Pwyll était ainsi mais en réalité je savais qu'il cachait un ceur tendre sous sa douce fourrure. Preuve en était, il faisait des cadeaux de Noël !

- Le rouge te va à ravir cher Pwyll, lui dis-je en lui montrant le mot terminé.

Il commanda également des gants pour Eva, il me fallait dessiner des chats dessus. Je dessinais tout d'abord la tête d'un chat sur un autre bout de papier pour que le Li me donne son accord avant de les retranscrire sur le cuir. Je lui emballais le tout avant de les lui tendre.

- Cela te fera 20 Pims, mais attends, j'ai quelques petites choses pour toi.

Je sortis une nouvelle fois des paquets du sac sans fond et les tendis au chat Li.
- Joyeux Noël Pwyll des Thoran, reviens quand tu veux à la forge, le pavé chaud n'attend que toi.

Des lumières partout les gens semblait d'une humeur particulière depuis quelques temps : plus souriant, plus chaleureux, alors que le temps lui était de plus en plus mordant. Vivifier par les températures, Kiyiya ne tenait pas en place, elle avait eut une conversation assez étrange avec Kip à la bibliothèque, celui ci c'était chargé de faire son éducation concernant les traditions de noël. La louve était un peu embrouillée et le petit cube lumineux craignant pour sa vie, avait eut renfort de métaphore, où le gibier prenait la place des cadeaux, finalement le concept de cette fête avait finit par faire son chemin, dans l'esprit sauvage de Kiyiya.

La louve avait finit par atterrir là ou l'agitation semblait la plus fournit. La place innondé de lumière était habillé des stands d'artisans de l'entre-monde, parmi eux, elle reconnu le grand blond vénitiens avait qui elle devait partir chasser l'ours, Son stand était imprégné d'une odeur féline qu'elle reconnaîtrait entre mille : Pwyll, il était surement partit depuis peu, quoique Ayren, avait une odeur mi Pwyll mi-Eva, c'était vraiment étrange, et l'idée qui germait dans l'esprit de la louve, lui donnait la nausée. Elle huma une feuille de menthe qu'elle portait dans sa sacoche, afin de tuer son odorat. Une fois l'esprit libre, elle ne manqua pas de zieuter la marchandise... les armes bien sur... pas le forgeron.

-B'jour, fit elle, je prendre ça, ça, ça, ça et ça. Tout ça pour offrir. Mer...credi raté elle voulait dire merci.

A chaque "ça", elle désigna un objet différent, 5 piège à loup, un bras et lame courbe, une côte de maille, une épée coulissante et une canne épée. Le tout pour une valeurs de 126 pims, kiyiya ne comptait pas bien, mais elle savait la valeur des choses, et elle n'avait peut être pas assez de pims pour payer tout cette équipement, il faudrait qu'elle fasse un saut a la banque pour vendre sa dague....

Une fois ses achats encaissés, les bras chargés, elle sourit au forgeron. Rien de mieux que l'odeur de l'acier pour lui donner le morale. Puis elle prit congé.