Les reines du Grand Nord

Trois mers cohabitent au coeur de la région de Termer. Elles sont couvertes de glace en hiver et à l'arrivée du printemps, la banquise fond et redonne à cette région les couleurs éclatantes du Grand Nord en camaieu de bleus et de violets.
Réputée pour ses paysages à couper le souffle, la région accueille aussi les touristes et passionnés venus observer le balais des jeunes raies prenant leur premier envol depuis l'eau jusqu'au ciel.

Mais les visiteurs et la population de Termer se sont trouvés surpris de se découvrir des journées plus chaudes que prévues pour la saison et surtout l'apparition de nuages menaçant à fait craindre le pire aux plus grands experts de la faune locale.
Ils avaient raison d'avoir peur. Un orage d'une ampleur incroyable a éclaté au dessus de la région, s'étendant bien au delà des trois mers intérieures.
Le phénomène rarissime était d'une violence inouïe si bien que les sirènes d'alarmes résonnèrent longtemps à la tombée de la nuit.

Ce matin, c'est un paysage torturé qui attendait les habitants, les animaux en pleine migration ont subis la tempête de plein fouet et si une bonne partie des survivants a réussi à se réfugier dans les cavernes de glace ou dans la forêt, une espèce en particulier n'a pas eu cette chance...

Une créature emblématique du Nord de l'Entre-Monde en particulier n'a jamais eu à se défendre contre des rafales de vents si puissantes à cette époque de l'année. Et ces jeunes par centaines se sont échoués aux abord du Lac Nord : les raies à bec tacheté se sont trouvés ballotées par les vents cruels et gisent maintenant sur des dizaines de kilomètres carrés de plages enneigées.

Les pauvres créatures survivantes sont sur le dos et ne peuvent reprendre leur envol tant qu'on ne les aura pas aidées à se remettre dans le bon sens.
Des sauveteurs ont apporté des réserves de nourriture afin de nourrir les animaux le temps qu'on leur permette de se retourner.

Nous appelons à l'aide des bénévoles prêts à aider ces délicates chasseuses vêtues de bleu.

Des crieurs aux journaux télévisés, des affiches et dans les appels lancés par une arcturienne dans le ciel de l'Entre-Monde, vous ne pouvez pas ignorer que votre aide est requise pour sauver cette espèce tant appréciée.

Règle du RP événement

Vous ne pouvez retourner qu'une seule raie par post

Y aller gratuitement et facilement : Pour tous ceux qui n'ont pas de perçant ou d'insigne de sanctuari, vous pouvez utiliser une plateforme du Sanctuaire des Braves.
IRP (vous pouvez vous contenter de raconter ce périple au début de votre premier post dans ce rp) : Rejoignez un sanctuaire proche de chez vous, des volontaires, guérisseurs et sanctuaris, vous attendent pour vous faire traverser grâce aux petits miroirs (l'insigne) des sanctuaris.

Rappel du contexte de l'Entre-Monde : les sanctuaires peuvent utiliser le système de téléportation de la Caserne (des sanctuaris sont continuellement dans les sanctuaires pour permettre aux soigneurs de voyager rapidement vers les blessés).

Les raines du Grand Nord (Raies à bec tacheté).
Moyenne : 40 kilogrammes, 2m30 d'envergure
Elles ont un "bec" (façon raie aigle de mer) et de belles rangées de dents, attention à vos doigts.
Elles consomment du poisson et des méduses volantes (hélioptères).

Gains
TOUS les participants recevront ce lot à la fin de l'évènement le 20 juin :
Pour chaque raie retournée = 3 pims
Exemple : le rp final dénombre 23 raies retournées, les participants gagneront tous cette somme : 23x3 = 69 pims.

Ce RP compte pour la Star du Mois.

Pour toute question, merci de vous dirigez vers le Salon du peuple

Comme chaque matin je vais a la caserne pour savoir les dernière nouvelle, et a peine arriver certains cour déjà, de se que j'ai entendue des raies volante, ces majestueuses créatures venues du nord cours un grave danger, et elles sont par centaines échouées sur les plages... Sans attendre je sort mon miroir et traversse un portail menant à, destination, Et nom de dieu ! (petite douleur à la poitrine) il se fait frais ici, je ferme vite mon boulon de cuir, heureusement j'ai toujours mes mitaines.
Sur place il y a déjà la présences de personnes malheureusement je ne sais pas si cela sera suffisant, elles sont nombreuses quand même...

Bien ! je me met au boulot, je retrousse mes manches vers la moitié des avants bras, et d'un beau mouvement je pose sur une des raies la zone de mon pouvoir, je prend un peut plus de temps car cette fois la zone est couché et non pas debout comme d'habitude, cela me demande un peu plus de concentration, une fois cela fait je réduit a 0,5g, et appel un homme random non loin de moi pour me donner un coup de main

Voila qui est fait, Hey ! toi mon choux, tu peut être un amour et m'aider a retourner cette raie ? .... Il semble hésiter. Mais t'en fait pas à deux ça passe ! ça sera juste encombrant.

Je n'hésite pas à, me mettre a genoux et passer sous l'aile de la raie pour pouvoir trouver un bon moyen de la retourner, après quelques secondes nous la retournons, un fois sur le ventre elle commence à bouger, nous profitons de ses mouvement pour libérer la seconde ailes prise sous la raie elle même, il ne semble pas quelle soit blessée, et d'elle même, elle commence a prendre son envole. Je regarde l'homme et rétorque à nouveau:

Allé mon choux ! on continues ? On a du pain sur la planche !

Des raies sur le dos et Ayame a décidé que ma journée de repos se transformerait en session de bénévolat dans le grand Nord. Nous débarquons par perçant en pleine neige et juchés sur le dos du Cyliong. Le froid est intense et l'air humide.

- Je vais voir côté secours s'ils ont besoin de renfort, je peux sûrement rapatrier des Miliciens de zones paisibles ici.

- D'accord, lui dis-je en frissonnant. Je m'occupe des raies dans ce cas.

Je sautais souplement de ma monture et Ayame me retint d'un regard plein de reproches. Je me rends compte que je n'ai pas allumé mon baladeur et, pour couronner le tout, je n'ai pas mis d'écharpe.
Tout sourire, je lui montrais l'appareil que je rangeais aussitôt dans ma poche. Il soupira et s'éloigna en levant son oeil restant au ciel.

Je suis sûr qu'il se demande pourquoi le ciel m'a fait aussi idi*t...

J'atteins rapidement la plage et les raies sont, effectivement, innombrables. Des bénévoles s'enchainent de tous les côtés pour soulever et retourner les animaux.

Quarante kilogrammes... Je réprime une toux cynique pour signifier à quel point je trouve ça ridiculement léger.
Je me positionne au dessus de l'aile droite, les pieds de chaque côté afin de ne pas lui marcher dessus. Passant mes bras sous son corps volumineux, je la soulève et recule avec prudence. L'aile est souple comme du caoutchou et s'enroule en même temps que le corps de la raie se soulève.
Lorsque je lui pose le ventre au sol, l'autre aile termine sa course jusque dans le sable et stabilise l'animal qui respire bruyamment. Un instant je crains qu'elle ne tente de me mordre. Mais au final, elle semble avoir compris que je suis là pour l'aider. Je passe de l'autre côté et déroule l'aile qui tenait sous son ventre.

C'était fait, elle était sur le ventre. Elle inspira goulument l'air glacial à fleur de neige et brusquement son corps se souleva d'un mètre dans les airs. Je m’apprêtais à l'empêcher de m'attaquer lorsqu'elle piqua vers le bleu azur au dessus de nous. Le bel animal quitta la région dans un seul et ample mouvement gracieux.

C'était une danseuse dans le ciel immaculé aussi c'était bon de voir toutes ces raies libérées de leur corps trop encombrant, elles s'envolaient à nouveau comme des pétales de fleurs par centaines dans les nuages.
Je me surpris à ressentir une joie nouvelle au fond du ventre. J'aimais l'Entre-Monde lorsqu'il était vivant comme aujourd'hui.

HK-50 n'étant pas franchement un ami des animaux, c'est seul que Xénon atteignit les plages du Nord. Il ne s'en plaignait pas, cela lui avait donné l'occasion de sortir la Silver Dagger, pour une fois. A plus de cent km/h, le vent glacé qui l'avait mitraillé durant tout le chemin depuis la plus proche plate-forme Perçant en aurait laissé plus d'un avec des engelures, mais pour Xénon, le froid n'était guère qu'une série de zéros et de uns sur ses capteurs.

Il ralentit et s'arrêta lorsqu'il parvint en vue de la première mer. Sa moto disparut dans son Sarkina et il franchit le reste de la distance à pied. Inutile d'affoler les pauvres raies avec le rugissement de son jouet préféré. Certaines qui en avaient encore la force se débattaient déjà, trop jeunes pour réaliser qu'elles s'épuisaient inutilement. La présence de tout ce monde réveillait leur instinct de fuite.

Xénon se mêla aux volontaires emmitouflés dans leurs vêtements chauds. Les nuages de buée de leurs respirations se mêlaient à la poudreuse soulevée par les efforts de sauvetage. Xénon faisait exception à la règle : pour éviter tout de même un grippage de ses mécanismes internes, il avait arrêté son circuit de refroidissement ; il ne respirait plus. Avec ce froid, c'était un peu plus visible que d'habitude.

Il s'approcha de la plus proche raie. La bête lui rendit son regard de ses petits yeux sombres. Elle ne semblait pas trop savoir s'il était un prédateur ou un tas de métal mouvant.

Le poids, ce ne serait pas un problème, se fit-il la réflexion, mais la taille... Après quelques instants de calcul, son processeur décida qu'il n'avait aucune manière élégante de procéder à la manœuvre avec les moyens présents. Il devrait faire comme tout le monde : surveiller la position des ailes de peur de s'en prendre une sur la tête. Haussant les épaules, il plongea les mains dans la neige et hissa la grande carcasse sur le côté. La raie commença aussitôt à remuer, perturbée. Il eut à peine le temps de décoincer la dernière aile qu'elle les déplia et fila sans demander son reste.

Le personnage qui m'accompagne à sans attendre voulu commencer a faire la même opération sur une autre Raie, je l'ai arrêté d'un geste de la main, et tandis que je plaçais mon pouvoir, je vie une silhouette a plusieurs mètres de là, enfin ce que je vie le plus est cette IMMENSE épée dans le dos de se tout petit personnage ! Il vas vraiment falloir que je sache ce qu'il commence avec cette arme...
Je le vois sauver une raie seul sans aucune difficulté, frimeur...
D'un signe de la tête j'annonce a mon acolyte que nous pouvons y aller, nous la retournons sans peine, heureusement que j'ai mon pouvoir sinon bonjour les mal de dos, je prend mon temps pour le placer, se qu'il fait que je pourrais tenir comme ça presque toute la journée, mais avant qu'elle ne prenne la fuite je plaque une de ses ailes au sol, et ordonne à l'autre de plaquer l'autre aile, en effet le corps de la créature à de grande blessures, elle à due glisser un moment sur le dos pour avoir cela, je m'écris au plus vite:

Un médecin s'il vous plaie celle-ci est blessé !

C'est quelle se débat la grosse ! nous avons un certain mal à retenir la bête alors quelle se fait soigner, mis tu pourrait arrêter ! on veut t'aider voyons ! Rah les animaux ! Ils tiennent pas en place ! Nous lâchons enfin la Raie et elle s'envole a vitesse grand V, je dit alors:

Suivante !

J'avais appris la nouvelle dans les journaux. C'était une catastrophe si toutes l'espèce des Raies à bec tacheté venait à disparaître.

Je pris un perçant jusqu'à Termer, lieu où se trouvé les Raies échouées d'après les différents média.

Je sentais que l'air était frais mais ma chaleur naturelle me permettait de réguler ma température afin qu'elle reste acceptable. Mais plus vite j'aurais quitté cet endroit glacial mieux je me sentirais.

Je déambulais dans les rue de la ville en direction des Mers Intérieures, le spectacle qui s'offrit alors à moi était magnifique et terrifiant à la fois.
Devant mes yeux s’étendait une immense plage remplis de gens venu secourir ces pauvres bêtes dont certaines se débattaient pour essayer de se retourner. Heureusement certaines s'envolaient pour retrouver leur liberté. J’espérais vraiment qu'on allait pouvoir en sauver un maximum.

J'en aperçus une toujours sur le dos dont personne ne s'était encore occupé. Cependant à moi tout seul j'étais incapable de la retourner, j'allais avoir besoin d'aide.
Une jeune femme me passa devant. Elle avait de long cheveux qui lui descendait jusqu'au bas du dos mais surtout elle disposait de six bras.

Elle avait une allure digne et semblait plus glisser que marcher, mais à force d'étudier les livres portant sur l'anatomie de la bibliothèque j'arrivais plus facilement à estimer les individus.
Elle cachait bien son jeu mais j'arrivais à voir des muscles, certes petits, mais ferme.

- Madame, l'abordais-je Voudriez vous bien m'aider à aider cette pauvre Raie ?

Je lui désignais l'animal que j'avais vu d'un mouvement de tête. Elle accepta et m'aida à la retourner. La tache fut ardu car même à deux les ailes étaient très souples et il fallait faire attention de ne pas les plier au risque que l'animal ne puisse plus jamais voler.

Elle pris finalement son envol et parti aussi vite que possible pour retrouver ses congénères déjà dans les cieux.

Karan apparu dans un sanctuaire et un sanctuari l'emmena aussitôt jusqu’à la plage nord des mers intérieures. En noir et blanc cette vision était plus triste que jamais. Des milliers de corps échoués et toute la grâce du ciel sombrait dans le sable.

Le sanctuari lui offrait un lot de commentaires et trouva même intelligent de faire remarquer au prêtre sa cécité. C'est qu'il vivait avec depuis longtemps, il ne prit pas la peine de justifier sa présence ici et s'éloigna avant de devenir moins cordial avec l'agent.

Il se précipita pour aider un sauveteur à retourner un animal. Un jeune à peine assez âgé pour utiliser ses ailes. La créature ne tenait pas en place et paniquait à la vue des deux hommes vénus l'aider. Sinmora approcha doucement et s'allongea près d'elle. Le soigneur et Karan gardaient leurs doutes silencieux sur la technique d'approche dun loup cybernétique. Mais l'animal d'une douceur insoupçonnée avait un plan en tête.
Le loup lui lécha le bec et sous l'étrange marque d'affection la raie se calma.

- C'est le moment.

Ils la retournèrent à deux sans difficulté et dès qu'elle fut sur le ventre, la petite raie s'envola.

Plus le temps passe plus on vois le ciel emporter au loin ces majestueuse créatures.
Nous approchons d'une raie qui ne bougeait pas d'un pouce, étrange, elle semblait plus grande que les autres, je m'approche devant sa tête pour voire ses yeux, fermés, je chope un petit bout de bois long et tapote comment un enfant, au deuxième coup elle chope le bâton et le brise comme une brindille ! de surprise je fait un grand saut en arrière aidé de mes ailes j'arrive au moins trois mètres plus loin ! Elle referme les yeux.
En restant à une grande distance et pose mon pouvoir sur elle doucement, et elle r'ouvre les yeux et d'un grand mouvement sec, elle roule d'un demi tour et glisse le long de son aile qui se trouve sous elle a présent et a la fin du mouvement l'aile et libre, elle commence a décoller en approchant dangereusement de moi, je pousse un cris avec la tête la plus malfaisante que je puisse, et mes bras et mes ailes le plus possible pour par être imposant ! Cela semble fonctionner car elle a dévier sa trajectoire d'un coup, heureusement pour moi. j'ai le palpitant a 100 milles et je sent l'adrénaline partout dans mon corps, ce coup de stress qu'elle m'a mit celle là ! et dire qu'on veut les sauver, pas les manger !

Je lâche un grand ouf de soulagement, l'homme lui me regarde avec des immenses yeux sans bouger, tandis que comme ci de rien était je continue ma route vers la prochaine Raie.

Introducing : G.G.

Lorsque G.G. avait vu la catastrophe qui avait touché les malheureuses raies, sa puce de la compassion s'était activée toute seule. Si elle avait été pourvue du moindre canal lacrymal, elle en aurait sans doute pleuré. Au lieu de cela, elle s'était contentée d'attraper un manteau et de sortir. Non pas qu'elle ait particulièrement eu besoin de se couvrir, mais elle détestait devoir gratter le givre qui se formait sur son épiderme artificiel. C'est donc pourvue d'un long manteau rose pâle à capuche ample qu'elle arriva au sanctuaire.

Sur la plage, il y avait déjà des volontaires occupés à retourner les pauvres bêtes pour leur permettre de reprendre leur envol. Certains agissaient seuls, d'autres à deux ou plus. Mais la tâche semblait impossible, tellement il y avait de créatures échouées. Sans hésiter, G.G. se dirigea vers une raie à proximité, un spécimen particulièrement gros. L'animal ne sembla pas se rendre compte de sa présence. Ce qui n'était pas étonnant d'ailleurs : elle ne dégageait ni odeur, ni chaleur, et ne faisait pas suffisamment de bruit pour se démarquer de l'agitation qui régnait sur la plage.

D'un geste vif, elle esquiva les coups involontaires qu'aurait pu lui administrer la raie en se débattant. Elle se rapprocha au plus près de son flanc et, d'une poigne ferme, la retourna dans le bon sens. Sa puce de compassion ronronna de satisfaction dans ses circuits. Et d'une.

Les Raies continuaient de s'envoler dans leur ballet majestueux. Mais beaucoup d'autre restaient encore au sol et se débattaient pour certaines ou semblaient avoir abandonné pour d'autre.

Une Raie assez volumineuse semblait donner du fils à retordre à un groupe de de sauveteur. Elle se débattait assez violemment et essayé de de mordre quiconque passé à porté de son bec.

Cela n'allait pas être facile pour celle-la. Il fallait d'abord trouver un moyen de la calmer. L'un des sauveteur avait un fusil paralysant mais semblait trop terrorisé pour s'en servir.

Je lui pris son fusil des mains car il fallait bien faire quelque chose et voir des personnes inactives face à cette catastrophe avait le don de me sortir de moi.

Bon alors maintenant il fallait que j'ajuste la visée. Je ne m'étais jamais servi d'une arme quelconque avant. J'essayais de viser la raie. Pas les parties sensibles de la Raie et pas ses yeux. Ça allait me laisser quand même pas mal de superficie.

Premier tir de fléchette... raté, elle est parti se planter dans le sol juste à coté d'un homme à coté de l'aile de la Raie. Il me gratifia de noms d'oiseau plus fleuri les uns que les autres.

Bon allait il fallait que je me concentre plus. J'inspirais un grand coup et remis la Raie en joue. Je pris mon temps pour bien viser et la deuxième fois fit mouche. Elle se planta dans le corps de l'animal.

Elle mis plusieurs minute avant d'être assez calme pour que l'on puisse la retourner tranquillement. Une fois sur le ventre la bête s'envola lentement et partie sans demander son reste.

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