AccueilUn matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Ven 4 Juin - 19:39
Le jeune garçon eut la joie de se réveiller sous les rayons du soleil. Il avait passé, la nuit à l'hôtel. Sa petite bourse s'était allégé la veille. Il avait prit une chambre raisonnable. Elle ne contenait qu'une chambre et une salle de bain. La fenêtre donnait directement sur Cerclon. La chambrette de fortune ne comportait pas de volet, mais cela lui importait peu. Au contraire, sa source de vie et de chaleur pénétrait déjà son lit dans lequel il était paisiblement allongé. Il bailla longuement et observa le ciel. Des oiseaux volaient tôt le matin, poussant des cris. Les nuages n'étaient pas présents à l'appel, seul le soleil décorait le ciel. Il se leva et fit une petite toilette. Le strict minimum. Pourquoi se faire beau lorsque la journée se présentait tout à fait banale et sans péripétie ? Prêt à quitter sa chambre, il jeta un dernier regard. Il n'avait rien oublié malgré son peu d'équipement. C'était sans regret qu'il ferma la porte.
Il marcha sur la pointe des pieds afin de ne pas réveiller l'hôtel tout entier. Une femme, les yeux cernés dormait debout derrière son bar. Lorsqu'elle entendit Elantir descendre, elle sursauta et frotta mollement son bar. Le garçon lui sourit et lui souhaita bonne chance. Il avait réglé tous les détails la veille. Se faire réveiller ainsi avait fait naître en lui une pointe de bonne humeur. C'était chose rare et il avait la bonne intention d'en profiter. Seulement, avant même de quitter le bâtiment, la gérante cria son nom. Celui-ci se retourna vivement, le sourire disparu. Il l'interrogea du regard et elle lui fit signe de s'approcher. Lorsqu'il fut juste derrière le bar, elle se pencha offrant un charmant décolleté au garçon et réclama son oreille. Elle lui murmura.
-Un vieux monsieur m'a donné ça pour toi.
Elle lui tendit une lettre qu'il s'empressa d'ouvrir. C'était un ordre de mission, celui-ci plutôt agréablement surprit lui lança un clin d'œil et quitta définitivement ce bar. Elle était mignonne tout de même ! Telle une gamine, elle soufflait à son oreille. Il se dirigea donc en direction de la bibliothèque. Il devait se rendre là-bas. Tandis qu'il marchait le regard rêveur, un lapin se colla à ses jambes, sur le coup il fut surprit. Puis il repartit ignorant totalement cet animal. Mais celui-ci insistait et se frottait à sa cuisse. Le garçon agacé, il le poussa du talon. Rien à faire ce lapin l'avait adopté. Elantir le chopa par les oreilles et continua sa route. L'animal se balançait au rythme de ses pas, l'air ravi. Il était arrivé à destination, il poussa la porte d'entrée. Le hall était grand et tout ceci était nouveau pour lui, il s'assit donc, le lapin toujours tendu face à lui.
Il marcha sur la pointe des pieds afin de ne pas réveiller l'hôtel tout entier. Une femme, les yeux cernés dormait debout derrière son bar. Lorsqu'elle entendit Elantir descendre, elle sursauta et frotta mollement son bar. Le garçon lui sourit et lui souhaita bonne chance. Il avait réglé tous les détails la veille. Se faire réveiller ainsi avait fait naître en lui une pointe de bonne humeur. C'était chose rare et il avait la bonne intention d'en profiter. Seulement, avant même de quitter le bâtiment, la gérante cria son nom. Celui-ci se retourna vivement, le sourire disparu. Il l'interrogea du regard et elle lui fit signe de s'approcher. Lorsqu'il fut juste derrière le bar, elle se pencha offrant un charmant décolleté au garçon et réclama son oreille. Elle lui murmura.
-Un vieux monsieur m'a donné ça pour toi.
Elle lui tendit une lettre qu'il s'empressa d'ouvrir. C'était un ordre de mission, celui-ci plutôt agréablement surprit lui lança un clin d'œil et quitta définitivement ce bar. Elle était mignonne tout de même ! Telle une gamine, elle soufflait à son oreille. Il se dirigea donc en direction de la bibliothèque. Il devait se rendre là-bas. Tandis qu'il marchait le regard rêveur, un lapin se colla à ses jambes, sur le coup il fut surprit. Puis il repartit ignorant totalement cet animal. Mais celui-ci insistait et se frottait à sa cuisse. Le garçon agacé, il le poussa du talon. Rien à faire ce lapin l'avait adopté. Elantir le chopa par les oreilles et continua sa route. L'animal se balançait au rythme de ses pas, l'air ravi. Il était arrivé à destination, il poussa la porte d'entrée. Le hall était grand et tout ceci était nouveau pour lui, il s'assit donc, le lapin toujours tendu face à lui.
- Elantir Itarillë
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Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Sam 5 Juin - 15:44
| La veille de son arrivée à la grande, que dire immense en sa taille, tour du savoir, Layfon avait voyagé pendant de longues journées. Effectivement, le problème n’est pas de venir à Cerclon, mais de trouver le bon endroit de Cerclon. Et l’immense allée tient bien son nom … Malgré tout, au départ, ce n’est pas à la bibliothèque centrale qu’il voulait se rendre, non pas ici comme un simple touriste, il prospectait les sorties de l’Entre-Monde, afin de s’en aller explorer des contrées un peu plus lointaine, et pourquoi pas y trouver un moyen de récupérer quelques fragments de sa mémoire passée. Malheureusement, il n’avait pas prévu tous les coûts adjacents à une sortie, et surtout la difficulté à vagabonder entre le Dehors et le Dedans de l’Entre Monde. Fatigué par une journée harassante de marche et de « découvertes » si l’on peut appeler cela ainsi, il se décidait finalement à investir un hôtel hautement technologique et pas cher pour un sous, ou plutôt pour un PIM. A vrai dire ce qui le fatiguait le plus sur Cerclon c’est le bruit incessant des machines fonctionnant en arrière plan, certes elles étaient, et sont toujours d’ailleurs, nécessaire à la survie de l’Entre Monde et de ses habitants face aux dangers immuables du Dehors, mais ne pouvait-il pas les arrêter l’espace d’une nuit, c’est trop demandé. C’est d’ailleurs sur ces mots que s’enclencha un fou rire avec le responsable du bar, qui face au désespoir de son client, lui offrit un verre d’un alcool au goût – horriblement – huileux. « C’est horrible votre truc … Même les alcools préhistoriques des tavernes d’Ordae ont un goût plus proche de l’alcool autre que celui à quatre-vingt dix degrés. – Ne cherches pas les ennuis gamin, ici on ne coupe pas les boissons avec de l’eau, et encore moins avec de l’eau boueuse. – … Soit. – Concernant les machineries de Cerclon, il est vrai qu’ils se sont arrangés pour en faire un condensé de technologie, transparent en plus. Mais ils n’ont pas prévu l’insonorisation. Il faut dire que les êtres synthétiques qui tournent ici ne sont pas touchés par cette gêne. – Pauvre de nous frêle « organiques » – Tu ne crois pas si bien dire mon gars, quoi que je dispose moi-même d’une cheville mécanisée ! A Cerclon tout est possible. – Que vous est-il arrivé … ? – J’ai cru bon m’attaquer à un androïde un peu trop hostile. Nous sommes bons amis maintenant. – Hé bien, hé bien … – Tient, votre chambre est prête, bonne fin de soirée … – Fin de soirée, ou plutôt nuit … » Le jeune mage s’en alla vers sa porte muni d’un passe électronique comme toutes choses ici. La nuit ne fut pas très longue, il mit un long moment à s’endormir, n’ayant même pas le courage de faire un brin de toilette il finit par se laisser happer aux désirs de Morphée, un léger duvet sur les joues justifiant ses journées de marche pour arriver – enfin – à destination. Pendant ce temps au niveau inférieur, un être vêtu d’une cape recouvrant son corps de la tête aux pieds remit une lettre aux responsables papotant quelques heures plus tôt avec le jeune homme. Le lendemain, après un dur réveil, Ciel lui martelant son réveil en détraquant son contrôle du vent (réveil que l’esprit condamné d’un coussin sur sa tête, recouvrant ainsi ses oreilles, en vain Ciel n’étant qu’une part de son contrôle des vents, qui se matérialisait de temps à autres), il finit par rafraichir son aspect. Se débarrassant de sa barbe de deux jours et retrouvant par la même occasion un visage en accord avec son âge, il se revêtit avant de descendre pour payer sa nuit. Manifestant sa sympathie, le responsable lui fit une ristourne, en geste commerciale sûrement, tout en lui faisant promettre qu’il reviendrait un jour. Puis il lui soumit son courrier. Un courrier en provenance directe de la tour des savoirs, elle lui demandait de se présenter le plus rapidement possible, qu’un ordre de mission l’attendait auprès du bibliothécaire. Une histoire de griffe à récupérer contre une rémunération plutôt alléchante. Il est vrai que les finances du mage n’étaient pas dans ces plus beaux jours. Et même s’il s’attirait souvent la sympathie des commerçants ça ne lui rapportait rien. Refaire ses finances ne serait donc pas une mauvaise chose. Il lui était aussi précisé qu’il serait accompagné, d’un humain, signe distinctif, une chevelure couleur de feu. Ce n’est pas commun dit donc. Non loin de ladite tour, il relut la lettre une dernière fois pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas là d’une mauvaise blague, mais non le sceau du bibliothécaire ne saurait mieux affirmer le caractère officiel du courrier. Très rapidement, il découvrit l’allure de son compagnon de mission, sa chevelure était effectivement rousse, et ses iris couleur de feu, mais plutôt foncées. Sa taille et son allure laissaient supposer une certaine jeunesse. Il s’assit à ses côté, observant étrangement le lapin à ses côtés. « Layfon enchanté, j’aurais une question, pourquoi un lapin comme animal de compagnie ? » Il attendait une réponse mais déjà au loin s’envisageait la silhouette du bibliothécaire, aussi suppléant soit-il. [HRP] ⍆ Note au bibliothécaire : Mission choisie.
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Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Lun 7 Juin - 18:56
Derrière le comptoir où je remplaçais une nouvelle fois Virgile qui avait dû abandonner son post pour une représentation, je contrôlais le registre des missions, tout en inscrivant les dernières nouveautés qui venait de se passer.
Quand même, il serait grand temps qu'il emploi quelqu'un, parce que je pourrai pas toujours dépanné Virgile quoi... Sauf que... Quand il était sous sa forme d'homme et qu'il me dégottait ce sourire... Je ne pouvais rien lui refuser, cela m'était impossible.
Relevant la tête en voyant arriver deux personnes, enfin, elles étaient assises et semblait attendre. Attendre quoi? Que j'y aille? Allez savoir, peut être.
Saisissant le registre dessous mon bras, je contourne le comptoir et m'approche:
"Bien le bonjour Messieurs! Aliénor, interimaire de l'interimaire!"
Je les observe avant de tendre le registre afin d'avoir leur signature:
"Alors,si vous êtes là, c'est pour une mission, en même temps quoi d'autre hein..."
Je pousse un soupir, déjà d'autres personnes arrivaient:
"Alors, voilà l'ordre de mission, vos objets ainsi que l'endroit où vous devez aller. Soyez prudent, pas de choses stupides je tiens pas à vous recroissez au Sanctuaire des Braves sur ce..."
Récupérant le registre, je désigne le comptoir où venait d'apparaitre lesdits objets:
"85 pims par personnes en cas de réussite. Bon courage et à bientôt."
Et sans rien ajouter de plus, je me dirige vers les nouveaux arrivants. Bordel Virgile, tu me revaudras ça!
Quand même, il serait grand temps qu'il emploi quelqu'un, parce que je pourrai pas toujours dépanné Virgile quoi... Sauf que... Quand il était sous sa forme d'homme et qu'il me dégottait ce sourire... Je ne pouvais rien lui refuser, cela m'était impossible.
Relevant la tête en voyant arriver deux personnes, enfin, elles étaient assises et semblait attendre. Attendre quoi? Que j'y aille? Allez savoir, peut être.
Saisissant le registre dessous mon bras, je contourne le comptoir et m'approche:
"Bien le bonjour Messieurs! Aliénor, interimaire de l'interimaire!"
Je les observe avant de tendre le registre afin d'avoir leur signature:
"Alors,si vous êtes là, c'est pour une mission, en même temps quoi d'autre hein..."
Je pousse un soupir, déjà d'autres personnes arrivaient:
"Alors, voilà l'ordre de mission, vos objets ainsi que l'endroit où vous devez aller. Soyez prudent, pas de choses stupides je tiens pas à vous recroissez au Sanctuaire des Braves sur ce..."
Récupérant le registre, je désigne le comptoir où venait d'apparaitre lesdits objets:
"85 pims par personnes en cas de réussite. Bon courage et à bientôt."
Et sans rien ajouter de plus, je me dirige vers les nouveaux arrivants. Bordel Virgile, tu me revaudras ça!
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
Suivi : 
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Mar 8 Juin - 16:56
Un homme arriva et se présenta. Il semblait humain, gentil et ordinaire. Personne de bien sensationnel... Après tout, Elantir ne jugeait pas vraiment sur le premier regard, bien que celui-ci apportait beaucoup. Mais pour preuve, ne jamais se fier aux apparences... Il fut tout de suite suivit d'une femme qui semblait occuper le poste de bibliothécaire. Elle aussi paraissait naturelle et aimable. Il prit son petit papier sur lequel était écrit les détails. Il le lu lentement, réfléchissant à certains points. Plusieurs choses lui paraissaient inconnues. Un dernier petit coffre à peine plus grand que le lapin qui occupait sa main droite fut partagé. Pour finir, il y avait un badge qui leur offrait un voyage dans le Nord du Désert rocheux de Munghor. Il remercia d'un sourire la gestionnaire et regarda le lapin dans les yeux. Une joie limitée se lisait aux travers de son regard de demeuré. Ce petit être ne comprenait pas grand chose à la vie, il suivait sans concevoir de but. Sa vie devait être malheureuse, voilà pourquoi il cherchait une péripétie. Mais ce n'était pas malheureusement pas avec le jeune garçon que cela allait se produire. Attristé, il secoua la tête comme désespéré par cette négligence. Il le porta à son bras et le cala bien confortablement sous son bras, libérant ainsi ses mains. Il porta le badge dans sa poche et cacha sa main dans celle-ci. Enfin il se retourna vers le dénommé Layfon.
-Enchanté ! Je suis Elantir Itarillë !
Il lança un bref coup d'œil au lapin, son regard était toujours aussi noir qu'était son pelage blanc. Il était sagement coincé sous son bras, les pattes légèrement remontées sous son petit nez. Il avait un air de bébé où l'on ressent l'envie de le protéger. Ses petites dents animaient son visage niais.
-Ce n'est pas à moi... alors comme ça nous allons récupérer des griffes de chamanes ? C'est sympa un peu de compagnie.
Il n'était pas seul et loin de là, il avait un nouveau compagnon, non deux ! Un homme qui semblait charmant et un petit lapin. Il n'avait rien de bien exceptionnel, mais sa présence réchauffait les cœurs perdus dans la frigidité de la solitude. En quoi consistait exactement la mission était impossible à dire. Tout était expliqué en lettre écrites, noir sur blanc. Mais ce même morceau de papier ne possédait pas le don de dévoiler les évènements à venir. La vie se résumait en peu de choses, mais pourtant ce 'peu' de choses cachait bien de fabuleuses aventures. Il fallait les vivre, alléger son esprit et marcher sans regarder derrière. Ne jamais regarder en arrière. Mais réfléchir à son passé est bien meilleur. Impossible de regarder le futur, mais d'y méditer est accessible. Le regard perdu, il disparut dans une nuée de souvenir. Certains étaient vagues, son enfance totalement indéchiffrable... Sa vie commençait malgré lui à sa rencontre avec elle... Une sorte de renaissance et pourtant, une mort constante le hantait. Pourquoi ses souvenirs lui sont inaccessibles ? Pourquoi sa vie débute t-elle lors de l'union de corps étrangers ? Tout comme l'avenir, le passé reste parfois insolite.
-Si ça te gêne pas, il nous accompagnera.
Il quitta les lieux, l'endroit était bien trop clos, fermé et petit en dépit de la beauté de ce monument. Le monde extérieur restait, malgré tout la plus belle œuvre de Dame nature. Il respira de nouveau.
-Enchanté ! Je suis Elantir Itarillë !
Il lança un bref coup d'œil au lapin, son regard était toujours aussi noir qu'était son pelage blanc. Il était sagement coincé sous son bras, les pattes légèrement remontées sous son petit nez. Il avait un air de bébé où l'on ressent l'envie de le protéger. Ses petites dents animaient son visage niais.
-Ce n'est pas à moi... alors comme ça nous allons récupérer des griffes de chamanes ? C'est sympa un peu de compagnie.
Il n'était pas seul et loin de là, il avait un nouveau compagnon, non deux ! Un homme qui semblait charmant et un petit lapin. Il n'avait rien de bien exceptionnel, mais sa présence réchauffait les cœurs perdus dans la frigidité de la solitude. En quoi consistait exactement la mission était impossible à dire. Tout était expliqué en lettre écrites, noir sur blanc. Mais ce même morceau de papier ne possédait pas le don de dévoiler les évènements à venir. La vie se résumait en peu de choses, mais pourtant ce 'peu' de choses cachait bien de fabuleuses aventures. Il fallait les vivre, alléger son esprit et marcher sans regarder derrière. Ne jamais regarder en arrière. Mais réfléchir à son passé est bien meilleur. Impossible de regarder le futur, mais d'y méditer est accessible. Le regard perdu, il disparut dans une nuée de souvenir. Certains étaient vagues, son enfance totalement indéchiffrable... Sa vie commençait malgré lui à sa rencontre avec elle... Une sorte de renaissance et pourtant, une mort constante le hantait. Pourquoi ses souvenirs lui sont inaccessibles ? Pourquoi sa vie débute t-elle lors de l'union de corps étrangers ? Tout comme l'avenir, le passé reste parfois insolite.
-Si ça te gêne pas, il nous accompagnera.
Il quitta les lieux, l'endroit était bien trop clos, fermé et petit en dépit de la beauté de ce monument. Le monde extérieur restait, malgré tout la plus belle œuvre de Dame nature. Il respira de nouveau.
- Elantir Itarillë
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Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Jeu 13 Jan - 17:23
Un adversaire pouvait à tout moment se transformer en allié fort utile. L'Olipanda précédemment agressif et peu courtois, écoutait docilement les instructions diverses de l'esprit et du matou. Il avait conservé les effets dû au souffle de Kallistrat et donc parfois, sa masse corporelle s'élevait. Ce qui n'était pas désobligeant d'après sa vitesse. L'avantage c'est que la viande de Dragonflable avait redonné des forces à cette créature. Son départ avait égayé les habitants et ce gros monstre retrouvait sa liberté. Tout le monde était gagnant et de plus Hilde qui était arrivé en cours de route, tel un cheveu dans la soupe apprit qu'une récompense les attendait. Il frotta ses mains avec cupidité.
Le chemin enfin terminé. Non Hilde ne souffrait pas de la chaleur ni de la lumière fort éblouissante du soleil, bien que son esprit commencer à mal agir après une chaleur aussi étouffante. Le principal était, que lui ne souffrait pas. Il s'imagina alors encore humain sous une telle étoile. Il serait mort très certainement. Ce n'était pas supportable ! Mais ils rejoignirent la ville de L'entre-Monde et pour être encore plus précis, la ville de Cerclon. Ensuite, après quelques informations tirées à droite et à gauche, Hilde découvrit pour la première fois la bibliothèque. Apparemment, c'était bien là qu'ils récupéreraient leur récompense, bien méritée !
Encore une fois il se félicita d'être ainsi, un esprit. S'il avait été un humain, décidément cette espèce était bien faible, ça aurait été certainement à lui de souffler... Sa puissance était qu'un avantage, aucun inconvénient et aucune contrainte à être ce qu'il était aujourd'hui. Aussi il précisa à Kallistrat.
-Je vais réclamer nos Pims. Je reviens.
Il pourrait s'enfuir avec tout son argent. Mais il n'était pas ainsi, certes quelque peu égoïste, mais de là à voler, souiller son honneur, non. La totalité ne lui appartenait pas. Il passa entre chaque personne. Ce n'était pas compliqué, son corps unique n'avait aucune indisposition pour bouger. Le comptoir était face à lui et le maître ne fit pas attention à la file d'attente. Eux n'avaient pas enduré ce qu'il avait vécu, eux n'étaient pas des maîtres de miroir aussi. C'était donc naturel qu'il passe avant tout le monde et ce n'était pas purement égoïste non plus, il faisait ça pour le gros matou qui attendait sa récompense. Il s'appuya sur le meuble d'un coude, l'air décontracté.
-Bonjour, je viens chercher la récompense d'une quête.
Il se tût soudainement. La quête des griffes et ce n'était pas lui qui était en possession des griffes... Il se retourna cherchant dans la foule le chat. Il n'était pas vraiment passe-partout, il n'était donc pas difficile à retrouver.
-Attendez, je cherche mon compagnon...
Le chemin enfin terminé. Non Hilde ne souffrait pas de la chaleur ni de la lumière fort éblouissante du soleil, bien que son esprit commencer à mal agir après une chaleur aussi étouffante. Le principal était, que lui ne souffrait pas. Il s'imagina alors encore humain sous une telle étoile. Il serait mort très certainement. Ce n'était pas supportable ! Mais ils rejoignirent la ville de L'entre-Monde et pour être encore plus précis, la ville de Cerclon. Ensuite, après quelques informations tirées à droite et à gauche, Hilde découvrit pour la première fois la bibliothèque. Apparemment, c'était bien là qu'ils récupéreraient leur récompense, bien méritée !
Encore une fois il se félicita d'être ainsi, un esprit. S'il avait été un humain, décidément cette espèce était bien faible, ça aurait été certainement à lui de souffler... Sa puissance était qu'un avantage, aucun inconvénient et aucune contrainte à être ce qu'il était aujourd'hui. Aussi il précisa à Kallistrat.
-Je vais réclamer nos Pims. Je reviens.
Il pourrait s'enfuir avec tout son argent. Mais il n'était pas ainsi, certes quelque peu égoïste, mais de là à voler, souiller son honneur, non. La totalité ne lui appartenait pas. Il passa entre chaque personne. Ce n'était pas compliqué, son corps unique n'avait aucune indisposition pour bouger. Le comptoir était face à lui et le maître ne fit pas attention à la file d'attente. Eux n'avaient pas enduré ce qu'il avait vécu, eux n'étaient pas des maîtres de miroir aussi. C'était donc naturel qu'il passe avant tout le monde et ce n'était pas purement égoïste non plus, il faisait ça pour le gros matou qui attendait sa récompense. Il s'appuya sur le meuble d'un coude, l'air décontracté.
-Bonjour, je viens chercher la récompense d'une quête.
Il se tût soudainement. La quête des griffes et ce n'était pas lui qui était en possession des griffes... Il se retourna cherchant dans la foule le chat. Il n'était pas vraiment passe-partout, il n'était donc pas difficile à retrouver.
-Attendez, je cherche mon compagnon...
- Hilde
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Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Jeu 13 Jan - 17:43
 | « Je suis là... » Dit simplement Kallistrat. |
Il avançait d'un pas traînant en traversant la foule qu'il dépassait d'une bonne tête. Ça avait ses avantages de mesurer deux mètres. Pourquoi tant de monde en ces lieux aujourd'hui, il l'ignorait. Tout ce qui lui importait, c'était l'air frais qui s'engouffrait dans ses poils depuis quelques heures. En fait, depuis qu'ils avaient quitté le désert rocheux de Munghor pour rejoindre des températures plus clémentes. La chaleur, ce n'était décidément pas fait pour le grand chaton. Têk avait reparu alors qu'ils approchaient d'Ing, et Kallistrat lui avait raconté tout ses exploits en mimant chaque scène à l'aide de grands gestes éloquents. Heureusement que l'Olipanda était large et permettait à ses deux cavaliers de garder une certaine distance, sinon notre chaton aurait été capable – par mégarde – de faire un joli trou dans Hilde... Et puis bref, ils étaient finalement arrivés à destination. Et vous connaissez Kallistrat, toujours partant pour l'aventure. Alors il était entré dans la Tour du Savoir, voir s'il n'y avait pas quelque chose d'autre pour lui. Jusqu'à croiser Hilde qui venait dans l'autre sens. Ah oui. Sa paie. Il avait encore du mal avec cette notion de rétribution. Mais il avait l'habitude maintenant et connaissait la marche à suivre.
| « Bonjour. Nous sommes de retour de la mission « Les Griffes », mais il y a un petit changement. Étaient inscrits Elantir Itarillë et Layfon Oz'Zuelli. Il faudrait remplacer par Hilde Branth et Kallistrat Rusia. » |
- Invité
- Invité
Re: Un matin, un lapin... (Pv: Layfon Oz'Zuelli)
Sam 15 Jan - 20:43
[HRP, si vous permettez j'accélère les choses pour vous éviter des post sans intérêt]
Qui se permet de doubler tout le monde ? Oh un grand lion gris... Et. Je suis resté un certain moment sans voix. C'était censé être drôle le costume digne d'un film d'horreur de son collègue ? S'il voulait mon avis, je lui aurais mis un peu de couleur. Mon sourire avait disparu et reparaissais par touches peu convaincantes, à tel point que je finis par le ranger afin de juste faire mon boulot.
-Les griffes ? Attendez que je regarde ça.
Je sortais une boite, des fiches, pleins de lettres et de pages cartonnées. J'y récupérais l'inscription pour "les griffes" et en effet ce n'était plus les bonnes personnes. Je griffonnais en marge du document un changement de missionnaires, je tamponnais brutalement le papier et le rangeais dans une autre boîte.
-Je prends ceci, dis-je en tendant la main pour débarrasser le chertan des griffes, ces dernières iraient rejoindre le coffre jusqu'à être récupérées par le bon représentant du bon service (vous avez dit "compliqué ?"). Vos comptes seront crédités de 85 pims dès que nous aurons fais une vérification de routine, donc ce soir au plus tard.
Je les invitais à s'en aller au plus vite avant que la longue file d'attente ne se décide à leur sauter dessus... Et dès que je pus reprendre le même travail avec la personne suivante je me rendis compte que sur l'écran la profession officielle de l'homme au costume était : Maitre du miroir...
On devrait les enchainer à leur bureau eux aussi. Toujours les mêmes qui s'amusent !
[Clos]
Qui se permet de doubler tout le monde ? Oh un grand lion gris... Et. Je suis resté un certain moment sans voix. C'était censé être drôle le costume digne d'un film d'horreur de son collègue ? S'il voulait mon avis, je lui aurais mis un peu de couleur. Mon sourire avait disparu et reparaissais par touches peu convaincantes, à tel point que je finis par le ranger afin de juste faire mon boulot.
-Les griffes ? Attendez que je regarde ça.
Je sortais une boite, des fiches, pleins de lettres et de pages cartonnées. J'y récupérais l'inscription pour "les griffes" et en effet ce n'était plus les bonnes personnes. Je griffonnais en marge du document un changement de missionnaires, je tamponnais brutalement le papier et le rangeais dans une autre boîte.
-Je prends ceci, dis-je en tendant la main pour débarrasser le chertan des griffes, ces dernières iraient rejoindre le coffre jusqu'à être récupérées par le bon représentant du bon service (vous avez dit "compliqué ?"). Vos comptes seront crédités de 85 pims dès que nous aurons fais une vérification de routine, donc ce soir au plus tard.
Je les invitais à s'en aller au plus vite avant que la longue file d'attente ne se décide à leur sauter dessus... Et dès que je pus reprendre le même travail avec la personne suivante je me rendis compte que sur l'écran la profession officielle de l'homme au costume était : Maitre du miroir...
On devrait les enchainer à leur bureau eux aussi. Toujours les mêmes qui s'amusent !
[Clos]
- Virgile
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