Larguez les amarres ! | FT: Layn et Rimein

Mon pouvoir s'est activé et ma nage s'est faite plus aisée, mais voila, alors que je suis presqu'a leur hauteur le poisson charge les marins qui peinent a remonter a bord, je n'ai même pas le temps de le mettre en joue que quelque chose attrape le poisson et le tire hors de l'eau.
Grimpant a mon tour a bord, juste après les marins, que je reçu une question en pleine tête.

- Il s'est passé quoi au début ? Quand il y a eu la première secousse suivit d'un gros bruit.

Je n'eu même pas le temps de répondre que la voix du capitaine retentit sur la passerelle

Bon sang de bois, Doc! lachez ce poisson de malheur! C'est un raquilion! ses épines sont toxiques!

Je regardait l'homme a tête de squelette, avait il encore des chairs ou était il un squelette tout entier, mais je comprenait l'inquietude du capitaine, même avec des gants on était jamais totalement a l'abri. Quand il eut jeter le poisson par dessus bord, je revint a la question de Layn.


Il semble que nous ne sommes pas les seuls a pêcher dans le coin!

Pendant que je lui racontait comment les marins avaient attrapé et guidé l'espece de raie poilue, un Lanmègriji, selon les marins, le capitaine arriva avec de drôles appareils, dotés d'embouts similaires a des têtes d'aspirateurs.

Si c'est bien ce couple de Lanmègriji qui nous a heurter, j'aurais besoin de deux volontaires pour inspecter la coque, retirer les possibles ailettes qui y sont loger et boucher les trous aussi petits soient ils.

Il nous expliqua comment nous servir de ces appareils qui servaient a reboucher les trous grace a un mastique spécial. Depuis que mon corps avait gouter a cette eau salée, il désirait ardemment y retourner.

Je veux bien y aller, moi!

Il était toujours bon pour Morok de se rappeler pourquoi son espèce était haut placée dans la chaine alimentaire. Des congés dans la zone navigable de l’Océan, voila qui avait de quoi lui dégourdir les pattes.

Une carrure et une mâchoire comme la sienne effrayaient la plupart des poissons, aussi fut-il un moment décontenancé de voir tout un banc de fretin lui foncer dessus. Le banc étant poursuivi par un prédateur, il se contenta d’ouvrir les crocs et de fermer sa mâchoire sur l’anguille qui se tortilla un moment sous la douleur avant de s’épuiser.

Un filet déchiré dérivant mollement quelques miles plus loin lui fit lever un sourcil. Il remonta à la surface, apercevant un navire, voiles repliées, les quelques marins s’agitant sur le pont. Il s’apprêtait à les laisser pêcher en paix quand une masse sombre passa plus profondément sous ses pattes. Lâchant un instant sa proie, il leur hurla dessus, presque énervé par l’apparente incompétence des pêcheurs.

° Hey ! Les chairs molles ! Vous allez rater un banc de maquerors. Baissez les yeux !

Le capitaine lui répondit qu’il serait payé par le service des missions s’il aidait à la pèche ou l’entretien du bateau, avant de commencer à invectiver ses hommes. Quelques marins en combinaison se dirigeaient vers les filets afin de les recoudre sommairement.
Haussant les épaules et replongeant après avoir avalé une grande quantité d’air, il se laissa couler et s’élanca à la poursuite du banc qui avait déjà dépassé le navire.

Faisant tourner le banc en ronds concentriques, profitant de son agilité sous-marine pour bloquer les voies des poissons, il réussit pendant un moment à garder une grosse partie du troupeau dans la zone du bateau, s’assurant que les pêcheurs réparaient leur filets. Il pouvait tenir longtemps sans respirer, mais il ne pourrait pas rabattre les poissons indéfiniment.

Alors que je m'apprête a sauter a l'eau avec le barda fourni par le capitaine, l'ocean annonce d'une voix rapeuse le passage d'un banc de maquereaux. ne réfléchissant pas je balance un filet a la mer, qui malheureusement s'accroche a mon pied avant de m'emporter avec lui vers le fond.
l'eau trouve rapidement son chemin jusqu'à mes narines, après tout j'en suis entourée, et bien vite l'eau s'infiltre dans mes poumons. j'ai bu la tasse ou plutôt un bol, si vous voulez mon avis, durant l'instant qu'a durer ma panique.

je me reprends, le filet m'a libérer et je remonte vers la surface chercher cette essence nécessaire a ma survie: de l'air. Je crève la surface en toussotant, a coté d'un morceau de bois flotté, auquel je m'accroche le temps de reprendre mon souffle et verifier que j'ai toujours le matériel du capitaine… ce morceau de bois me semble vivant et puis... j'ai l'impression qu'il me regarde…


Woops! Désolé Msieur Croc! Tiltait-je en m'éloignant de l'animal a grand coups de brasse.

De peur de me faire croquer j'activait mon pouvoir en me dirigeant vers le navire et le dénommé Jimbo.

je viens de croiser un crocodile… je pense qu'il a le ventre plein mais sait on jamais finissons rapidement!

Comme il le proposa je pris bâbord et lui tribord. le bâbord de la coque est un peu vieillote, mais en parfait état. je cherchais du regard le banc de maquereaux annoncé par je ne sais qui… mais il avait disparu tout comme le croco que j'avais vu plutôt, le filet lui aussi avait été remonter! peut être plein de poiscaille!