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Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Jeu 22 Avr - 17:19
Je ne sais pas trop au final ce qui m'a mené ici... Voilà une bonne semaine que j'hésite car ce lieu, cet hôpital, est en partit lié à mon père... Il travaillait ici alors de m'y retrouver me ramène forcément à mes pauvres souvenirs que j'essaie tant bien que mal de conservé.
Je me trouve devant l'entrée principale, il y a du monde, beaucoup de monde, des valides où des invalides, des gens pleurant, d'autre le visage figé attendant... En tout cas, il y a du monde et beaucoup de bruit... Cela me change tellement. Je fais quelques pas et entre dans le bâtiment et là... J'ignore pourquoi, c'est la première fois que je ressens avec autant d'intensité la douleur... Comme si...
Comme si mon don avait échappé à ce contrôle que j'exerce sur lui et ça me fait frissonner, en même temps, la vue qui s'offre à moi est vraiment des plus... Déstabilisante. Des brancards, des gens blessés, d'autres l'air perdu, hagard, je sens la tristesse, je sens la douleur et elle me fait haleter. De nouveau mon regard se perd autour de moi, je vois des gens qui court avec leurs blouses blanches, j'entends des ordres, j'entends tellement de choses mais là... Je me fige soudain, un cri, une lamentation, et mon regard tombe sur cette femme qui sert son enfant contre elle en pleurant...
La douleur, la perte...
Je sens mes mains tremblés, je ne peux pas restés là sans rien faire... Ils ont l'air de plus savoir où donner de la tête... De nouveau je regarde autour de moi et vois un homme sur un brancard, sa jambe est en sang. Je ferme quelques secondes les yeux, je prends une inspiration et essaie de focaliser uniquement mes capacités sur lui. Je m'approche, le pas incertain et arrive près de lui.
"Monsieur? Je m'appelle Aliénor et je vais essayer de calmer votre douleur."
Douleur qui commençait à présent à être aussi la mienne. Je pose une main sur son épaule, il me regarde étrangement. Je regarde autour de moi et aperçoit un chariot où différent produit pharmaceutique sont entreposés Je me précipite vers ce dernier, saisit bandages et compresses ainsi qu'un peu d'eau et de désinfectant et revient vers l'homme, qui en fin de compte ne semblait pas trop en être un...
Je lui offre un sourire voulant le rassurer, je prend le désinfectant et m'en badigeonne les mains avant d'examiner sa jambe. La plaie était béante et le travail allait être long...
Et sans hésiter, je commence, ignorant son regard mais aussi celui de la personne qui m'avait observé et qui s'était apprêté à intervenir.
Elle est toujours là, présente, lancinante, la douleur... Mon père m'a apprit qu'il ne fallait surtout pas qu'elle prenne le pas sur moi sans quoi, je ne serai plus efficace. J'ai sortie de mon sac qui ne me quittait que rarement, des plantes et avec l'eau, j'ai fais une sorte de cataplasme sur cette plaie. Il devrait bientôt ce sentir mieux, en plus d'avoir des vertus guérisseuse, cette plante contient un léger anesthésiant naturel. Je laisse le temps qu'il faut pour que ça agisse et je sens enfin un mieux et malgré moi, je souris. Relevant la tête, je croise le regard de la personne et il semble comme soulagé. Alors, je peux enfin commencé à soigné plus en profondeur...
Heureusement que mon père m'a enseigné les deux sorte de médecine, celle inhérente à mon don et l'autre, la plus courante, celle que je pratique aussi.
Sauf que là, je ne peux pas faire grand chose d'autre puisque les muscles sont atteints... Je remet le cataplasme, saisit une bande et lui fait un pansement provisoire:
"C'est provisoire, le temps qu'un médecin plus compétent que moi s'occupe de vous. Je ne peux rien faire d'autre."
Il ne souffre plus c'est déjà ça non? Je le vois hocher la tête et s'est à ce moment là que je vis à mes côté une silhouette. Dans un geste instinctif, je m'essuie le front avec le revers de ma main, me salissant au passage avec un peu de sang. Qu'importe...
La personne me regarde, puis regarde le blessé et fait d'une voix surprise:
"Il est rare de voir des guérisseurs parmi nous."
C'est une femme, sauf qu'elle a les oreilles pointues. Une elfe où sans doute une autre des créatures peuplant l'Entre-Monde, j'hausse les épaules, elle me tend une serviette que je saisis, je m'essuie les mains rapidement avant de regarder de nouveau autour de moi, toujours cette même folie qui règne.
"Je suis infirmière, je m'appelle Ceridwen. Il y a eut une autre de ces attaques ce qui fait que nous sommes totalement débordés."
Une autre de ces attaques? Je hausse un sourcil surprise, une attaque? Je regarde de nouveau autour de moi et ne peut m'empêcher de penser à ce qui s'est passé dans mon village. Je frissonne et la voix de l'infirmière résonna de nouveau près de moi:
"Je ne serai pas contre un peu d'aide... Vous avez l'air de vous y connaitre si j'en juge ce que vous venez de faire."
Je tourne mes yeux vers elle et hoche la tête, je pousse un soupir et fait enfin:
"Aliénor, je suis une simple guérisseuse mais si je peu vous aidez..."
Cela me rendra enfin utile... Je ne put m'empêcher de penser ainsi. Il est vrai que depuis mon arrivée, je n'ai rien fais d'extraordinaire, à part trouvé un endroit où dormir, et puis... Cette rencontre avec Virgile aussi, j'en garde un excellent souvenir.
Mais le temps n'est pas à la rêverie, je ferme de nouveau les yeux, il faut que je me concentre. Tout en essayant de concentrer mon don sur les douleur les plus importante, je fit:
"Je ferai au mieux."
"Je ne demande rien de plus."
Et me voilà partis... Brûlures, fractures, plaies diverses... Mais aussi blessures plus importantes, je fais au mieux, je pars au plus pressé, retrouvant des automatisme que je n'avais plus eu depuis des mois, je me rendit compte que ça m'avait manqué... Horriblement.
Ceridwen est à mes côtés, elle m'aide, de son mieux. Je ne sais pas combien de temps c'est écoulé, mais je commence à arrivée au bout de mes forces et ait de plus en plus de mal à me concentrer. Je ne vais pas pouvoir faire plus, j'ai pas l'habitude d'autant de douleur et ça m'épuise de devoir garder sous contrôle l'ensemble de mon don.
Je panse la plaie du petit homme que je viens de soigner et avant même qu'il ne parle, je m'éloigne de lui sous le regard de Ceridwen qui fronce les yeux.
Je ne me rend même pas compte qu'il y a moins de gens, je me colle dos au mur et ferme les yeux. Mes mains sont couverte de sang, ma tunique aussi d'ailleurs, mes cheveux sont en désordre et je me sens épuisée.
Je sens alors une présence face à moi, je n'ai même pas le courage d'ouvrir un oeil, je sens une main se poser sur un de mes genoux que j'avais rapproché de mon torse et une voix, que je ne connaissais pas, s'éleva:
"Il n'est pas prudent de tirer autant sur un tel don."
Hein? Comment il pouvait savoir ça? La voix était masculine, j'ouvre un oeil et trouve face à moi, un homme au teint pâle et au cheveux blond. Il a un sourire aux lèvres et me regarde attentivement. Je le sens me prendre les bras et me relevé, pour le coup, je dois ouvrir totalement les yeux et malgré moi je pousse un soupir:
"Vous devez être épuisé. Ne restez pas là, vous en avez fait assez pour aujourd'hui. Venez avec moi."
Et je me laisse faire, en même temps, là mon cerveau n'était plus capable d'émettre la moindre protestation. J'entends, enfin reconnait la voix de Ceridwen près de moi, alors que le bras de la personne à la voix masculine lui demandait:
"Depuis combien de temps est-elle ici?"
"Et bien, depuis le début de l'après-midi Docteur."
"Ceridwen, vous savez bien que les guérisseurs ne peuvent pas rester autant de temps dans un lieu où règne un tel chaos! Il leur faut au moins un peu de repos afin qu'ils se recentrent, surtout ceux qui ressentent les douleurs avec autant d'intensité."
"Je le sais bien Docteur..."
J'aurai bien voulu savoir d'où il connaissait cette particularité que j'avais lui. Et puis qui était-il? Comme une poupée je me laissait entrainé et je savais même pas où en plus.
Je ne put retenir un soupir et la voix de celui qui était Docteur visiblement retentit:
"Nous arrivons, vous allez pouvoir vous allongez un peu."
M'allonger? Ah oui, s'était une bonne idée ça Je risquais pas grand chose à me laisser faire si? Au pire, je savais me défendre, alors... Le bruit d'une porte qui s'ouvre, les deux voix qui parlent et quelque chose de moelleux sur lequel on me fait asseoir. Je sens qu'on enlève mes chaussures et puis... Et bien je me retrouve en position allongée.
J'ouvre les yeux plus correctement pour voir deux orbes bleu penchée au-dessus de moi et cette voix qui me dit:
"Reposez vous."
Ce fut la seule chose qui parvint à mon pauvre esprit complètement anesthésié par la fatigue. je pousse un soupir et ferme les yeux, avant de laisser l'inconscience m'envahir.
Je me trouve devant l'entrée principale, il y a du monde, beaucoup de monde, des valides où des invalides, des gens pleurant, d'autre le visage figé attendant... En tout cas, il y a du monde et beaucoup de bruit... Cela me change tellement. Je fais quelques pas et entre dans le bâtiment et là... J'ignore pourquoi, c'est la première fois que je ressens avec autant d'intensité la douleur... Comme si...
Comme si mon don avait échappé à ce contrôle que j'exerce sur lui et ça me fait frissonner, en même temps, la vue qui s'offre à moi est vraiment des plus... Déstabilisante. Des brancards, des gens blessés, d'autres l'air perdu, hagard, je sens la tristesse, je sens la douleur et elle me fait haleter. De nouveau mon regard se perd autour de moi, je vois des gens qui court avec leurs blouses blanches, j'entends des ordres, j'entends tellement de choses mais là... Je me fige soudain, un cri, une lamentation, et mon regard tombe sur cette femme qui sert son enfant contre elle en pleurant...
La douleur, la perte...
Je sens mes mains tremblés, je ne peux pas restés là sans rien faire... Ils ont l'air de plus savoir où donner de la tête... De nouveau je regarde autour de moi et vois un homme sur un brancard, sa jambe est en sang. Je ferme quelques secondes les yeux, je prends une inspiration et essaie de focaliser uniquement mes capacités sur lui. Je m'approche, le pas incertain et arrive près de lui.
"Monsieur? Je m'appelle Aliénor et je vais essayer de calmer votre douleur."
Douleur qui commençait à présent à être aussi la mienne. Je pose une main sur son épaule, il me regarde étrangement. Je regarde autour de moi et aperçoit un chariot où différent produit pharmaceutique sont entreposés Je me précipite vers ce dernier, saisit bandages et compresses ainsi qu'un peu d'eau et de désinfectant et revient vers l'homme, qui en fin de compte ne semblait pas trop en être un...
Je lui offre un sourire voulant le rassurer, je prend le désinfectant et m'en badigeonne les mains avant d'examiner sa jambe. La plaie était béante et le travail allait être long...
Et sans hésiter, je commence, ignorant son regard mais aussi celui de la personne qui m'avait observé et qui s'était apprêté à intervenir.
Elle est toujours là, présente, lancinante, la douleur... Mon père m'a apprit qu'il ne fallait surtout pas qu'elle prenne le pas sur moi sans quoi, je ne serai plus efficace. J'ai sortie de mon sac qui ne me quittait que rarement, des plantes et avec l'eau, j'ai fais une sorte de cataplasme sur cette plaie. Il devrait bientôt ce sentir mieux, en plus d'avoir des vertus guérisseuse, cette plante contient un léger anesthésiant naturel. Je laisse le temps qu'il faut pour que ça agisse et je sens enfin un mieux et malgré moi, je souris. Relevant la tête, je croise le regard de la personne et il semble comme soulagé. Alors, je peux enfin commencé à soigné plus en profondeur...
Heureusement que mon père m'a enseigné les deux sorte de médecine, celle inhérente à mon don et l'autre, la plus courante, celle que je pratique aussi.
Sauf que là, je ne peux pas faire grand chose d'autre puisque les muscles sont atteints... Je remet le cataplasme, saisit une bande et lui fait un pansement provisoire:
"C'est provisoire, le temps qu'un médecin plus compétent que moi s'occupe de vous. Je ne peux rien faire d'autre."
Il ne souffre plus c'est déjà ça non? Je le vois hocher la tête et s'est à ce moment là que je vis à mes côté une silhouette. Dans un geste instinctif, je m'essuie le front avec le revers de ma main, me salissant au passage avec un peu de sang. Qu'importe...
La personne me regarde, puis regarde le blessé et fait d'une voix surprise:
"Il est rare de voir des guérisseurs parmi nous."
C'est une femme, sauf qu'elle a les oreilles pointues. Une elfe où sans doute une autre des créatures peuplant l'Entre-Monde, j'hausse les épaules, elle me tend une serviette que je saisis, je m'essuie les mains rapidement avant de regarder de nouveau autour de moi, toujours cette même folie qui règne.
"Je suis infirmière, je m'appelle Ceridwen. Il y a eut une autre de ces attaques ce qui fait que nous sommes totalement débordés."
Une autre de ces attaques? Je hausse un sourcil surprise, une attaque? Je regarde de nouveau autour de moi et ne peut m'empêcher de penser à ce qui s'est passé dans mon village. Je frissonne et la voix de l'infirmière résonna de nouveau près de moi:
"Je ne serai pas contre un peu d'aide... Vous avez l'air de vous y connaitre si j'en juge ce que vous venez de faire."
Je tourne mes yeux vers elle et hoche la tête, je pousse un soupir et fait enfin:
"Aliénor, je suis une simple guérisseuse mais si je peu vous aidez..."
Cela me rendra enfin utile... Je ne put m'empêcher de penser ainsi. Il est vrai que depuis mon arrivée, je n'ai rien fais d'extraordinaire, à part trouvé un endroit où dormir, et puis... Cette rencontre avec Virgile aussi, j'en garde un excellent souvenir.
Mais le temps n'est pas à la rêverie, je ferme de nouveau les yeux, il faut que je me concentre. Tout en essayant de concentrer mon don sur les douleur les plus importante, je fit:
"Je ferai au mieux."
"Je ne demande rien de plus."
Et me voilà partis... Brûlures, fractures, plaies diverses... Mais aussi blessures plus importantes, je fais au mieux, je pars au plus pressé, retrouvant des automatisme que je n'avais plus eu depuis des mois, je me rendit compte que ça m'avait manqué... Horriblement.
Ceridwen est à mes côtés, elle m'aide, de son mieux. Je ne sais pas combien de temps c'est écoulé, mais je commence à arrivée au bout de mes forces et ait de plus en plus de mal à me concentrer. Je ne vais pas pouvoir faire plus, j'ai pas l'habitude d'autant de douleur et ça m'épuise de devoir garder sous contrôle l'ensemble de mon don.
Je panse la plaie du petit homme que je viens de soigner et avant même qu'il ne parle, je m'éloigne de lui sous le regard de Ceridwen qui fronce les yeux.
Je ne me rend même pas compte qu'il y a moins de gens, je me colle dos au mur et ferme les yeux. Mes mains sont couverte de sang, ma tunique aussi d'ailleurs, mes cheveux sont en désordre et je me sens épuisée.
Je sens alors une présence face à moi, je n'ai même pas le courage d'ouvrir un oeil, je sens une main se poser sur un de mes genoux que j'avais rapproché de mon torse et une voix, que je ne connaissais pas, s'éleva:
"Il n'est pas prudent de tirer autant sur un tel don."
Hein? Comment il pouvait savoir ça? La voix était masculine, j'ouvre un oeil et trouve face à moi, un homme au teint pâle et au cheveux blond. Il a un sourire aux lèvres et me regarde attentivement. Je le sens me prendre les bras et me relevé, pour le coup, je dois ouvrir totalement les yeux et malgré moi je pousse un soupir:
"Vous devez être épuisé. Ne restez pas là, vous en avez fait assez pour aujourd'hui. Venez avec moi."
Et je me laisse faire, en même temps, là mon cerveau n'était plus capable d'émettre la moindre protestation. J'entends, enfin reconnait la voix de Ceridwen près de moi, alors que le bras de la personne à la voix masculine lui demandait:
"Depuis combien de temps est-elle ici?"
"Et bien, depuis le début de l'après-midi Docteur."
"Ceridwen, vous savez bien que les guérisseurs ne peuvent pas rester autant de temps dans un lieu où règne un tel chaos! Il leur faut au moins un peu de repos afin qu'ils se recentrent, surtout ceux qui ressentent les douleurs avec autant d'intensité."
"Je le sais bien Docteur..."
J'aurai bien voulu savoir d'où il connaissait cette particularité que j'avais lui. Et puis qui était-il? Comme une poupée je me laissait entrainé et je savais même pas où en plus.
Je ne put retenir un soupir et la voix de celui qui était Docteur visiblement retentit:
"Nous arrivons, vous allez pouvoir vous allongez un peu."
M'allonger? Ah oui, s'était une bonne idée ça Je risquais pas grand chose à me laisser faire si? Au pire, je savais me défendre, alors... Le bruit d'une porte qui s'ouvre, les deux voix qui parlent et quelque chose de moelleux sur lequel on me fait asseoir. Je sens qu'on enlève mes chaussures et puis... Et bien je me retrouve en position allongée.
J'ouvre les yeux plus correctement pour voir deux orbes bleu penchée au-dessus de moi et cette voix qui me dit:
"Reposez vous."
Ce fut la seule chose qui parvint à mon pauvre esprit complètement anesthésié par la fatigue. je pousse un soupir et ferme les yeux, avant de laisser l'inconscience m'envahir.
Dernière édition par Aliénor le Ven 7 Mai - 17:06, édité 3 fois
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
Suivi : ![Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos] 2ef5oh4](https://2img.net/h/oi54.tinypic.com/2ef5oh4.png)
![Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos] F9nryw](https://2img.net/h/oi54.tinypic.com/f9nryw.png)
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Jeu 22 Avr - 18:09
Je papillonne des yeux ma vue est un peu flou... J'ai un peu de mal à situer où je suis là... Je cligne plusieurs fois des yeux et lève une de mes mains que je passe sur mon visage, une chose est certaine, je suis pas là où j'étais ces derniers jours. Je me relève doucement, mes muscles se rappelant à mon bon souvenir. Chouette, il ne me manquait plus qu'une crise de courbatures. Je pousse un soupir et une voix me fit tressaillir.
"Et bien, quel soupir!"
Tournant la tête vers l'origine de cette voix, je rencontre un regard bleu où l'amusement peut se lire. Il était assis derrière un vaste bureau et il ôta ces lunettes tout en se redressant.
"Où suis-je?"
Ben oui, j'ai un peu de mal à tout remettre en place là. Je suis des yeux cet homme qui ne peut s'empêcher d'avoir un sourire.
"Vous ne vous vous souvenez pas?"
S'était une question piège? Je regarde autour de moi et reconnait vraiment pas les lieux. Il m'est arrivé quoi là? Je passe une de mes mains sur mon visage et la voix retentit une nouvelle fois:
"Le Sanctuaire des Braves ça vous parle?"
Le Sanctuaire des Braves, ben oui que ça me parle, c'est l'hôpital des Fumerolles ça... Et tout me revint alors en tête. Mon arrivée, mes sensation, le ressentit et puis... Cette allégresse que j'avais ressentis en pratiquant de nouveau ce pourquoi j'étais faite. Je ne peux empêcher ma tête d'avoir un hochement alors qu'il se plaçait près de moi en s'asseyant sur un des fauteuil présent dans la pièce.
"Oui, je restitue, c'est bon..."
"Me voilà rassuré. Comment vous sentez vous?"
Je le vis tendre une main vers moi pour saisir mon poignet, j'eus un léger mouvement mais il fut plus rapide que moi. Je l'observais essayant de correctement le resitué. Il est médecin ça c'est indéniable. Sauf que je me souviens pas de son nom. Il s'est présenté au moins? Très bonne question. Je ne peux m'empêcher de soupirer de nouveau alors qu'il me rend mon poignet.
"Votre tension semble correcte. Mais vous ne m'avez toujours pas répondu, Mademoiselle La Guérisseuse."
Euh ouais, j'ai toujours pas répondu. Je prend enfin une inspiration et répond:
"Mieux, je me sens mieux. J'ai dormis combien de temps?"
"Quelque chose comme trois bonnes heures."
Trois heures? Et bien, j'avais bien forcé cette fois... Je lui offrit un petit sourire d'excuse et je m'apprêtais à en formuler à voix haute pour la gêne que je pouvais occasionner mais il fut encore une fois plus rapide:
"Inutile de vous excusez. Vous nous avez grandement aidé cet après-midi. Je vous en suis très reconnaissant d'ailleurs. Mais laissez moi me présenter. Je me nomme Eönwë et je suis moi-même guérisseur dans ce vaste établissement."
Il est guérisseur... Ce qui explique le fait qu'il m'ait identifier aussi simplement et qu'il m'ait dit ces mots dont je me souvenais très bien à présent. Il tourna légèrement la tête et je puis voir la pointe de ces oreilles. Un elfe, encore... En même temps, les elfes sont souvent guérisseur par nature, enfin, la plus part mais pas tous non plus. Je me présente alors à mon tour:
"Aliénor et je suis guérisseuse cherchant un endroit pour travailler."
De nouveau il sourit:
"Je pense que vous êtes au bon endroit. Mais dites moi, en plus d'être guérisseuse, vous possédez un autre don n'est-ce pas? Très peu d'entre nous l'on et c'est quelque chose de si intense que le maitrisez demande parfois toute une vie."
Je peux sentir un peu de respect quand il prononce ces mots. Peu d'entre nous, ça pour sur... Mon père me l'avait déjà dis à l'époque mais je n'en avait pas pris plus attention que cela. Je me redresse encore un peu plus et m'installe en tailleur, repoussant au passage la couverture qui avait été posée sur moi:
"Oui, ce n'est pas un secret, je ne l'ai jamais vu ainsi du moins. Je peux ressentir la douleur des gens que je soigne. Je n'étend pas son pouvoir aux autres, car sans quoi je ne pourrai pas vivre. Cela demande une certaine maîtrise mais je suis assez fière de dire que je m'en sors bien, enfin, les trois quart du temps."
Il hoche la tête et confirme:
"En effet, votre maitrise est impressionnante, j'ai ai parler avec mon infirmière chef, Ceridwen qui a été fortement impressionné."
"Il n'y a pas de quoi pourtant."
"Et modeste avec ça."
La réplique me surpris, un mouvement d'épaule lui répond avant que ma voix ne s'élève de nouveau:
"Je fais ce que je dois faire, ce pourquoi je suis là, ce que j'aime. Même si c'est dur, le fait d'alléger les souffrance est énorme et me procure une sorte de bien-être. Il n'y a pas de quoi être fière..."
Dans un mouvement, je déplie mes jambes et dans un autre, je me met en position assise, mes pieds reposant sur le sol de l'endroit où je suis, qui semblait être le bureau de ce guérisseur. Je baisse la tête me rendant compte que je suis pied nu et mes cheveux se place devant mon visage. Rare sont les fois où ma chevelure est totalement détachée. Dans un geste machinal je passe ma main dedans et les positionne derrière mon oreille. Puis, la voix du guérisseur me fait relevé la tête:
"Autant être direct. Je suis le chef du service des urgences, là où vous étiez tout à l'heure. On manque de personnel et je souhaiterait vous avoir dans mon équipe.Vous êtes libres de refusés, mais j'ai cru comprendre que vous cherchiez du travail alors..."
Je rêve où il vient de me proposer du travail? A voir sa tête, non je rêve pas, ouah, je pensais pas que ça se passerait aussi vite! Je déglutit et acquiesce:
"Je me vois très mal refuser au vu de ma situation. Je commence quand?"
Un sourire se dessina sur mes lèvres. Oui, j'allais enfin pouvoir réellement commencer quelque chose de nouveau. Je le vois se relever, j'en profite pour récupérer mes chaussures et les enfiler. Il s'éloigne un peu et revient avec une tenue qu'il me tend:
"Le plus vite possible mais en attendant, passez ceci et rejoignez moi dans le couloir, je vais vous faire visiter les urgences."
Il s'éclipse, je ne peux m'empêcher de sourire, je regarde ma tunique, en effet, y a comme un léger problème, elle est couverte de sang. Je la retire rapidement et enfile le vêtement qu'il m'avait tendu, la couleur était bleu clair mais qu'importe. Puis, saisissant mon sac qui était au pied du lit, j'y plaça ma tunique et prit le chemin de la sortie. j'ouvre la porte pour le voir en pleine discussion avec une autre personne qu'il congédia quand il me vit.
M'indiquant le chemin, nous nous mimes à marcher il me parlait du lieu, je l'écoutait attentivement, puis, nous nous arrêtâmes et il me fit, désignant l'endroit:
"Bienvenue, si je puis dire, aux Urgences!"
Mon regard se porta sur l'endroit, je pris une inspiration et hocha la tête en disant:
"Super, pratiquer m'avait manqué."
.
"Et bien, quel soupir!"
Tournant la tête vers l'origine de cette voix, je rencontre un regard bleu où l'amusement peut se lire. Il était assis derrière un vaste bureau et il ôta ces lunettes tout en se redressant.
"Où suis-je?"
Ben oui, j'ai un peu de mal à tout remettre en place là. Je suis des yeux cet homme qui ne peut s'empêcher d'avoir un sourire.
"Vous ne vous vous souvenez pas?"
S'était une question piège? Je regarde autour de moi et reconnait vraiment pas les lieux. Il m'est arrivé quoi là? Je passe une de mes mains sur mon visage et la voix retentit une nouvelle fois:
"Le Sanctuaire des Braves ça vous parle?"
Le Sanctuaire des Braves, ben oui que ça me parle, c'est l'hôpital des Fumerolles ça... Et tout me revint alors en tête. Mon arrivée, mes sensation, le ressentit et puis... Cette allégresse que j'avais ressentis en pratiquant de nouveau ce pourquoi j'étais faite. Je ne peux empêcher ma tête d'avoir un hochement alors qu'il se plaçait près de moi en s'asseyant sur un des fauteuil présent dans la pièce.
"Oui, je restitue, c'est bon..."
"Me voilà rassuré. Comment vous sentez vous?"
Je le vis tendre une main vers moi pour saisir mon poignet, j'eus un léger mouvement mais il fut plus rapide que moi. Je l'observais essayant de correctement le resitué. Il est médecin ça c'est indéniable. Sauf que je me souviens pas de son nom. Il s'est présenté au moins? Très bonne question. Je ne peux m'empêcher de soupirer de nouveau alors qu'il me rend mon poignet.
"Votre tension semble correcte. Mais vous ne m'avez toujours pas répondu, Mademoiselle La Guérisseuse."
Euh ouais, j'ai toujours pas répondu. Je prend enfin une inspiration et répond:
"Mieux, je me sens mieux. J'ai dormis combien de temps?"
"Quelque chose comme trois bonnes heures."
Trois heures? Et bien, j'avais bien forcé cette fois... Je lui offrit un petit sourire d'excuse et je m'apprêtais à en formuler à voix haute pour la gêne que je pouvais occasionner mais il fut encore une fois plus rapide:
"Inutile de vous excusez. Vous nous avez grandement aidé cet après-midi. Je vous en suis très reconnaissant d'ailleurs. Mais laissez moi me présenter. Je me nomme Eönwë et je suis moi-même guérisseur dans ce vaste établissement."
Il est guérisseur... Ce qui explique le fait qu'il m'ait identifier aussi simplement et qu'il m'ait dit ces mots dont je me souvenais très bien à présent. Il tourna légèrement la tête et je puis voir la pointe de ces oreilles. Un elfe, encore... En même temps, les elfes sont souvent guérisseur par nature, enfin, la plus part mais pas tous non plus. Je me présente alors à mon tour:
"Aliénor et je suis guérisseuse cherchant un endroit pour travailler."
De nouveau il sourit:
"Je pense que vous êtes au bon endroit. Mais dites moi, en plus d'être guérisseuse, vous possédez un autre don n'est-ce pas? Très peu d'entre nous l'on et c'est quelque chose de si intense que le maitrisez demande parfois toute une vie."
Je peux sentir un peu de respect quand il prononce ces mots. Peu d'entre nous, ça pour sur... Mon père me l'avait déjà dis à l'époque mais je n'en avait pas pris plus attention que cela. Je me redresse encore un peu plus et m'installe en tailleur, repoussant au passage la couverture qui avait été posée sur moi:
"Oui, ce n'est pas un secret, je ne l'ai jamais vu ainsi du moins. Je peux ressentir la douleur des gens que je soigne. Je n'étend pas son pouvoir aux autres, car sans quoi je ne pourrai pas vivre. Cela demande une certaine maîtrise mais je suis assez fière de dire que je m'en sors bien, enfin, les trois quart du temps."
Il hoche la tête et confirme:
"En effet, votre maitrise est impressionnante, j'ai ai parler avec mon infirmière chef, Ceridwen qui a été fortement impressionné."
"Il n'y a pas de quoi pourtant."
"Et modeste avec ça."
La réplique me surpris, un mouvement d'épaule lui répond avant que ma voix ne s'élève de nouveau:
"Je fais ce que je dois faire, ce pourquoi je suis là, ce que j'aime. Même si c'est dur, le fait d'alléger les souffrance est énorme et me procure une sorte de bien-être. Il n'y a pas de quoi être fière..."
Dans un mouvement, je déplie mes jambes et dans un autre, je me met en position assise, mes pieds reposant sur le sol de l'endroit où je suis, qui semblait être le bureau de ce guérisseur. Je baisse la tête me rendant compte que je suis pied nu et mes cheveux se place devant mon visage. Rare sont les fois où ma chevelure est totalement détachée. Dans un geste machinal je passe ma main dedans et les positionne derrière mon oreille. Puis, la voix du guérisseur me fait relevé la tête:
"Autant être direct. Je suis le chef du service des urgences, là où vous étiez tout à l'heure. On manque de personnel et je souhaiterait vous avoir dans mon équipe.Vous êtes libres de refusés, mais j'ai cru comprendre que vous cherchiez du travail alors..."
Je rêve où il vient de me proposer du travail? A voir sa tête, non je rêve pas, ouah, je pensais pas que ça se passerait aussi vite! Je déglutit et acquiesce:
"Je me vois très mal refuser au vu de ma situation. Je commence quand?"
Un sourire se dessina sur mes lèvres. Oui, j'allais enfin pouvoir réellement commencer quelque chose de nouveau. Je le vois se relever, j'en profite pour récupérer mes chaussures et les enfiler. Il s'éloigne un peu et revient avec une tenue qu'il me tend:
"Le plus vite possible mais en attendant, passez ceci et rejoignez moi dans le couloir, je vais vous faire visiter les urgences."
Il s'éclipse, je ne peux m'empêcher de sourire, je regarde ma tunique, en effet, y a comme un léger problème, elle est couverte de sang. Je la retire rapidement et enfile le vêtement qu'il m'avait tendu, la couleur était bleu clair mais qu'importe. Puis, saisissant mon sac qui était au pied du lit, j'y plaça ma tunique et prit le chemin de la sortie. j'ouvre la porte pour le voir en pleine discussion avec une autre personne qu'il congédia quand il me vit.
M'indiquant le chemin, nous nous mimes à marcher il me parlait du lieu, je l'écoutait attentivement, puis, nous nous arrêtâmes et il me fit, désignant l'endroit:
"Bienvenue, si je puis dire, aux Urgences!"
Mon regard se porta sur l'endroit, je pris une inspiration et hocha la tête en disant:
"Super, pratiquer m'avait manqué."
.
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Jeu 22 Avr - 20:30
L'hôpital des Fumerolles, on pourrait bien croire que c'est le dernier endroit où je mettrais les pieds vu ma condition. C'est vrai après tout il était presque impossible de me blesser alors que pouvais-je bien faire ici ? Et bien cela aurait été inutile si mon alimentation principale ne consistait pas dans le sang, j'avais beau avoir ce médaillon magique rouge écarlate captant l'énergie résiduelle des alentours, il fallait tout de même que par moment je mange. De plus pour faire d'une pierre deux coups le médaillon marchait beaucoup mieux avec tous les blessés de l'établissement, mais j'avouais que ça ne me réjouissait pas beaucoup de voir tout ces pauvres hères.
Ce n'était pas la première fois que je venais dans le bâtiment. Je m'étais en effet arrangé avec le chef du service des urgences pour me fournir discrètement en sang et je revenais donc régulièrement ici et comme toujours j'attirais la plupart des regards. Déjà qu'il fallait que je fasse un effort pour ne pas faire luire mes yeux d'un rouge écarlate avec tout ce sang venant des blessées, si il fallait en plus que je me fasse discret c'était peine perdu. Mais je devais avouer que c'était surtout ma faute du à mon regard bordeaux et mon accoutrement chemise et pantalon en toile noire qui faisait forcément tâche avec tous ces médecins en blouses blanches.
J'avançais donc à travers les nombreux couloirs de l'hôpital ne prêtant guère attention aux patients qui m'entouraient et dont une bonne partie m'observait. Ce n'était pas que leur situation ne m'émouvait pas, mais si je m'arrêtais pour leur parler qu'est ce que je pouvais bien leur dire, je n'avais aucun talent de guérison et ça n'aurait été guère intelligent d'attirer encore plus l'attention.
Je continuais donc ma marche le regard fixé au loin, parcourant ce chemin que je connaissais par cœur en direction du bureau de Eönwë, l'homme qui avait accepté de me fournir pour ma survie. Mais alors que je m'approchais inexorablement de ma destination finale, je le vis en compagnie d'une charmante demoiselle. Cette jeune femme portait une blouse blanche, mais d'après mes souvenirs elle ne faisait pas partis du service lors de mes précédentes visites. Surement une nouvelle venue pensais-je et je devais avouer qu'elle dégageait un certain charme avec ses jolies yeux violets et sa chevelure couleur neige. Je m'approchais d'eux hésitant de la démarche à suivre vu que d'habitude je pouvais parler seul à seul avec Eönwë.
-"Bonjour Eönwë, excuse moi de t'interrompre j'espère que je ne t'embête pas mais je viens faire ma visite quotidienne comme tu dois t'en douter."
J'affichais un sourire, sachant pertinemment qu'il comprenait ce dont je voulais parler. Puis je me tournais en direction de la demoiselle toujours souriant.
-"Bonjour, si je ne me trompe pas vous êtes nouvelles ici non ? Je me nomme Elzian, m'en voudriez vous si je vous demandais votre nom ?"
Question basique j'aimais en général savoir à qui je parlais et puisque que j'étais là autant faire la connaissance de cette jeune femme que je ne connaissais pas.
Ce n'était pas la première fois que je venais dans le bâtiment. Je m'étais en effet arrangé avec le chef du service des urgences pour me fournir discrètement en sang et je revenais donc régulièrement ici et comme toujours j'attirais la plupart des regards. Déjà qu'il fallait que je fasse un effort pour ne pas faire luire mes yeux d'un rouge écarlate avec tout ce sang venant des blessées, si il fallait en plus que je me fasse discret c'était peine perdu. Mais je devais avouer que c'était surtout ma faute du à mon regard bordeaux et mon accoutrement chemise et pantalon en toile noire qui faisait forcément tâche avec tous ces médecins en blouses blanches.
J'avançais donc à travers les nombreux couloirs de l'hôpital ne prêtant guère attention aux patients qui m'entouraient et dont une bonne partie m'observait. Ce n'était pas que leur situation ne m'émouvait pas, mais si je m'arrêtais pour leur parler qu'est ce que je pouvais bien leur dire, je n'avais aucun talent de guérison et ça n'aurait été guère intelligent d'attirer encore plus l'attention.
Je continuais donc ma marche le regard fixé au loin, parcourant ce chemin que je connaissais par cœur en direction du bureau de Eönwë, l'homme qui avait accepté de me fournir pour ma survie. Mais alors que je m'approchais inexorablement de ma destination finale, je le vis en compagnie d'une charmante demoiselle. Cette jeune femme portait une blouse blanche, mais d'après mes souvenirs elle ne faisait pas partis du service lors de mes précédentes visites. Surement une nouvelle venue pensais-je et je devais avouer qu'elle dégageait un certain charme avec ses jolies yeux violets et sa chevelure couleur neige. Je m'approchais d'eux hésitant de la démarche à suivre vu que d'habitude je pouvais parler seul à seul avec Eönwë.
-"Bonjour Eönwë, excuse moi de t'interrompre j'espère que je ne t'embête pas mais je viens faire ma visite quotidienne comme tu dois t'en douter."
J'affichais un sourire, sachant pertinemment qu'il comprenait ce dont je voulais parler. Puis je me tournais en direction de la demoiselle toujours souriant.
-"Bonjour, si je ne me trompe pas vous êtes nouvelles ici non ? Je me nomme Elzian, m'en voudriez vous si je vous demandais votre nom ?"
Question basique j'aimais en général savoir à qui je parlais et puisque que j'étais là autant faire la connaissance de cette jeune femme que je ne connaissais pas.
- Elzian
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Jeu 22 Avr - 21:32
Je regarde le box principal, là où plusieurs personnes sont et semble se distribué les fiches des patients, près de moi, la voix du chef des Urgences, puisque tel était son poste m'expliquais en désignant du doigts les différents endroits:
"Alors, on a 30 boxs particuliers séparés par des rideaux, pour les cas qui ne nécessite pas d'urgence si je puis dire. Là bas, les salles de soins ainsi que les salles de traitance des cas là, urgent."
Je suis du regard, ne prononçant pas un mot, il venait de me tendre une blouse que j'enfilai aussi sec.
"Les guérisseurs travail de concert avec les médecins, mais généralement, nous n'intervenons pas sur les gros cas qui nécessite de la chirurgie et compagnie, car s'est hors de notre domaine."
Je hausse la tête en effet la chirurgie n'était pas vraiment mon domaine, mais j'avais quelques bases acquise auprès de mon père et s'était déjà pas mal. Croisant les bras, je vois passer près de nous un chariot où ce qui ressemble à une créature à trois tête, enfin... Plus que deux là visiblement, semble littéralement agoniser. Pauvre cerbère, là c'était moche pour lui.
Je pris une inspiration et ferma quelques secondes les yeux, j'essayai de canaliser mes émotions et surtout mes ressentis. La voix de Eönwë me tira de mon état alors qu'il reprenait:
"Notre réserve de plante est assez importante donc pas besoin de s'inquiéter à ce niveau mais, je sais combien pour nous c'est important d'avoir nos réserves sur nous, alors, personnes ne s'offusquera si vous utiliser vos plantes et vos remèdes, par contre, il est important de noter sur chaque dossier vos protocoles et ce que vous avez administré où fait."
Logique en même temps, ça me paraissait cohérent. Nous reprîmes notre marche et soudain, une voix nous arrêta net. Eönwë eut un sourire, c'est ce que je nota en voyant la personne arriver face à nous. Je fronce légèrement les yeux en le détaillant, pas très polis je l'admet et baisse rapidement les yeux un peut confuse de mon audace. Près de moi, celui qui était en passe de devenir mon nouveau patron prit la parole:
"Elzian mon ami je te salue! Voilà un petit moment que je ne t'avais pas vu de mes propres yeux. Tu as l'air de bien te porter ce qui est une très bonne chose."
Visiblement ils se connaissaient, je relève la tête et croise le regard bordeaux de cette personne, Elzian... Sa tenue est assez particulière mais bon, ce n'est pas le genre de détail qui me gêne particulièrement. Et quand il se présente à moi, je laisse un sourire se dessiner sur mes lèvres:
"Vous en vouloir d'être civilisé? Surement pas. Je me prénomme Aliénor Miremawen et en effet, je suis nouvelle puisque je viens tout juste par un heureux hasard d'être recruté en ces lieux."
J'incline la tête en signe de salut, avant, de simplement tendre la main, en guise de salut plus amical.
"Elzian est un patient si je puis dire régulier mais pas forcément pour ce faire soigner. D'ailleurs, il me semble ne l'avoir jamais vu blesser mais rien d'étonnant non plus. Dis moi, mon ami, à quand remonte ta dernière visite? Ceridwen ne m'a pas indiqué une récente venue de ta part ce qui me surprend."
Quelque chose me dis que je suis peut-être de trop, je me tourne vers mon futur chef qui ne l'es pas encore totalement et fit:
"Je peux vous laissez si vous le désiré. Je ne voudrai pas m'imposer."
Je les vois échanger un rapide regard et Eönwë souffla juste:
"Elle est comme moi, guérisseuse donc bien plus à même de comprendre. Mais ne restons pas là voulez vous? Aliénor, si Elzian est d'accord, accompagnez nous."
De mon côté, je me sens un peu mal à l'aise, je veux pas m'imposer. J'échange un regard avec Elzian, il a l'air sympathique, mais on m'avait apprit à me méfier. Je choisis donc de rester sur mes garde en attendant une réponse de sa part...
"Alors, on a 30 boxs particuliers séparés par des rideaux, pour les cas qui ne nécessite pas d'urgence si je puis dire. Là bas, les salles de soins ainsi que les salles de traitance des cas là, urgent."
Je suis du regard, ne prononçant pas un mot, il venait de me tendre une blouse que j'enfilai aussi sec.
"Les guérisseurs travail de concert avec les médecins, mais généralement, nous n'intervenons pas sur les gros cas qui nécessite de la chirurgie et compagnie, car s'est hors de notre domaine."
Je hausse la tête en effet la chirurgie n'était pas vraiment mon domaine, mais j'avais quelques bases acquise auprès de mon père et s'était déjà pas mal. Croisant les bras, je vois passer près de nous un chariot où ce qui ressemble à une créature à trois tête, enfin... Plus que deux là visiblement, semble littéralement agoniser. Pauvre cerbère, là c'était moche pour lui.
Je pris une inspiration et ferma quelques secondes les yeux, j'essayai de canaliser mes émotions et surtout mes ressentis. La voix de Eönwë me tira de mon état alors qu'il reprenait:
"Notre réserve de plante est assez importante donc pas besoin de s'inquiéter à ce niveau mais, je sais combien pour nous c'est important d'avoir nos réserves sur nous, alors, personnes ne s'offusquera si vous utiliser vos plantes et vos remèdes, par contre, il est important de noter sur chaque dossier vos protocoles et ce que vous avez administré où fait."
Logique en même temps, ça me paraissait cohérent. Nous reprîmes notre marche et soudain, une voix nous arrêta net. Eönwë eut un sourire, c'est ce que je nota en voyant la personne arriver face à nous. Je fronce légèrement les yeux en le détaillant, pas très polis je l'admet et baisse rapidement les yeux un peut confuse de mon audace. Près de moi, celui qui était en passe de devenir mon nouveau patron prit la parole:
"Elzian mon ami je te salue! Voilà un petit moment que je ne t'avais pas vu de mes propres yeux. Tu as l'air de bien te porter ce qui est une très bonne chose."
Visiblement ils se connaissaient, je relève la tête et croise le regard bordeaux de cette personne, Elzian... Sa tenue est assez particulière mais bon, ce n'est pas le genre de détail qui me gêne particulièrement. Et quand il se présente à moi, je laisse un sourire se dessiner sur mes lèvres:
"Vous en vouloir d'être civilisé? Surement pas. Je me prénomme Aliénor Miremawen et en effet, je suis nouvelle puisque je viens tout juste par un heureux hasard d'être recruté en ces lieux."
J'incline la tête en signe de salut, avant, de simplement tendre la main, en guise de salut plus amical.
"Elzian est un patient si je puis dire régulier mais pas forcément pour ce faire soigner. D'ailleurs, il me semble ne l'avoir jamais vu blesser mais rien d'étonnant non plus. Dis moi, mon ami, à quand remonte ta dernière visite? Ceridwen ne m'a pas indiqué une récente venue de ta part ce qui me surprend."
Quelque chose me dis que je suis peut-être de trop, je me tourne vers mon futur chef qui ne l'es pas encore totalement et fit:
"Je peux vous laissez si vous le désiré. Je ne voudrai pas m'imposer."
Je les vois échanger un rapide regard et Eönwë souffla juste:
"Elle est comme moi, guérisseuse donc bien plus à même de comprendre. Mais ne restons pas là voulez vous? Aliénor, si Elzian est d'accord, accompagnez nous."
De mon côté, je me sens un peu mal à l'aise, je veux pas m'imposer. J'échange un regard avec Elzian, il a l'air sympathique, mais on m'avait apprit à me méfier. Je choisis donc de rester sur mes garde en attendant une réponse de sa part...
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
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Chirurgien:
=> Saya
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Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Jeu 22 Avr - 22:04
Je suis heureux de voir qu'elle ne refuse pas de se présenter à son tour, mais je vois bien à travers son regarde qu'elle est intrigué par ma présence. Il faudrait qu'un jour je pense quand même à diversifier ma garde robe pour me rendre dans des endroits comme celui-ci sans attirer l'attention.
-"Aliénor c'est un très jolie prénom, enchanté de faire votre connaissance. Je suis sûr que vous vous plairez à travailler ici, surtout avec un collègue comme Eönwë."
Je regarde ensuite la main que me tends cette demoiselle, la lui serrant aussitôt pour un salut plus formel, même si parfois je dois avouer que je serais plus tenter de faire un baise-main. Puis je me tourne ensuite en direction de Eönwë qui explique vraisemblablement à Aliénor que je suis un patient à part et je ne peux m'empêcher de me crisper légèrement. Je n'aimais pas en général parler de mon côté vampirique, les gens prenant aussitôt peur, heureusement il ne l'avait pas dit de manière formel.
-"Oui je ne suis pas venu récemment, je crois que ma précédente visite date de plus d'un mois. On va dire que mes réserves ont tenue plus longtemps que habituellement."
Cela me gênait beaucoup de parler à demi-mot ainsi, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je ne savais pas vraiment si cette jeune recrue pouvait entendre le mot vampire sans tout de suite se méfier de moi ou pire prendre peur. Mais je devais avouer qu'il était plutôt difficile de dire je suis un "gentil vampire". D'ailleurs Aliénor propose même de nous laisser seul, voyant bien que la discussion arbore un sens cachée.
Mais apparemment Eönwë ne le voyait pas de cet œil et insista pour qu'elle reste. Ce n'est pas que rester en présence d'une charmante demoiselle me dérangeait, mais qu'allais-je lui dire, je me voyais mal lui avouer que je venais pour m'approvisionner en sang. Malgré ma gêne j'essayais d'afficher un sourire rassurant et un visage dénué d'appréhension.
-"Je ne suis pas contre tu sais Eönwë ... Mais tu es sûr que je peux lui parler de ça sans la choquer ? C'est que je préfère en général ne pas trop dévoiler cette partie de moi ..."
Dans quoi m'embarquait Eönwë j'espérais seulement qu'il savait ce qu'il faisait et je souriais doucement en direction de Aliénor. Je ne voulais pas lui donner une mauvaise image de moi après tout.
-"Aliénor c'est un très jolie prénom, enchanté de faire votre connaissance. Je suis sûr que vous vous plairez à travailler ici, surtout avec un collègue comme Eönwë."
Je regarde ensuite la main que me tends cette demoiselle, la lui serrant aussitôt pour un salut plus formel, même si parfois je dois avouer que je serais plus tenter de faire un baise-main. Puis je me tourne ensuite en direction de Eönwë qui explique vraisemblablement à Aliénor que je suis un patient à part et je ne peux m'empêcher de me crisper légèrement. Je n'aimais pas en général parler de mon côté vampirique, les gens prenant aussitôt peur, heureusement il ne l'avait pas dit de manière formel.
-"Oui je ne suis pas venu récemment, je crois que ma précédente visite date de plus d'un mois. On va dire que mes réserves ont tenue plus longtemps que habituellement."
Cela me gênait beaucoup de parler à demi-mot ainsi, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je ne savais pas vraiment si cette jeune recrue pouvait entendre le mot vampire sans tout de suite se méfier de moi ou pire prendre peur. Mais je devais avouer qu'il était plutôt difficile de dire je suis un "gentil vampire". D'ailleurs Aliénor propose même de nous laisser seul, voyant bien que la discussion arbore un sens cachée.
Mais apparemment Eönwë ne le voyait pas de cet œil et insista pour qu'elle reste. Ce n'est pas que rester en présence d'une charmante demoiselle me dérangeait, mais qu'allais-je lui dire, je me voyais mal lui avouer que je venais pour m'approvisionner en sang. Malgré ma gêne j'essayais d'afficher un sourire rassurant et un visage dénué d'appréhension.
-"Je ne suis pas contre tu sais Eönwë ... Mais tu es sûr que je peux lui parler de ça sans la choquer ? C'est que je préfère en général ne pas trop dévoiler cette partie de moi ..."
Dans quoi m'embarquait Eönwë j'espérais seulement qu'il savait ce qu'il faisait et je souriais doucement en direction de Aliénor. Je ne voulais pas lui donner une mauvaise image de moi après tout.
- Elzian
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Ven 23 Avr - 15:12
"Je pense que la demoiselle ici présent en a connu bien d'autre et ne sera pas effrayé. De plus Elzian, ce n'est pas comme si tu étais un dangereux criminel."
Je me sens quand même un peu perdu là. Ils parlent de quoi ces deux là? J'ai l'étrange sensation que Eönwë voudrait une chose de moi, mais j'ignore quoi. Je jette un regard confus à Elzian, être mis devant un fait accomplis n'est jamais très plaisant. Et je m'apprête à dire quelque chose quand une sorte d'alarme retentit, je sens une agitation mais aussi autre chose...
Douleur... Oui, encore... Forte, très forte même... Je vacille légèrement, difficile de contrôler quoi que ce soit en cette seconde. Je sens un bras s'enrouler autour d'un des miens et la voix d'Eönwë retentit:
"Elzian, conduit là à mon bureau, tu sais où il est."
J'entends clairement des voix, des ordres qui fusent. Je relève la tête, il est clair que quelque chose vient d'arriver et que ce lieux ne sera plus calme très longtemps, si tant est qu'il est calme ordinairement. Une voix féminine que je reconnais bien arrive près de nous et s'adressa au chef des urgence:
"Accident à la mine principale! Une des fondations de galerie a cédés, une vingtaine de blessé nous arrive."
Blessé, évidement, puisque la douleur est bien là. Je sens toujours le bras d'Eönwë autour du mien et je fis:
"Je peux vous aidez..."
Je sens son regard et il secoua la tête:
"Surtout pas avec le degré de fatigue et ce que vous avez fait cet après-midi Aliénor. Cela risquerait d'être dangereux. Laissez vous conduire par Elzian il ne vous mangera pas si je puis dire ainsi."
Pour le coup je ne suis pas d'accord, je veux aider, je veux me rendre utile et il l'a parfaitement compris, je le vois lever un doigt vers moi et il fit de nouveau:
"Non, non et non! Vous n'aiderez pas aujourd'hui. Il y a des limites à ne pas dépasser dans votre condition Aliénor et pour aujourd'hui vous les avez largement franchie. Je le voix à vos yeux, vous ne contrôlez rien à cette seconde précise. Alors, écoutez moi, allez avec Elzian, faites connaissance et je vous rejoins aussi vite que possible."
Je le vois lancé un regard vers son ami pour ensuite le voir disparaitre en compagnie de son infirmière en chef, je fronce les yeux, je n'aime pas qu'on me dicte ce que je dois faire. Je sais que je peux aider, je le veux, c'est impossible que je reste ainsi sans rien faire... Je ne peux pas... Je m'apprête à faire un pas dans la direction prise par Eönwë mais une main se pose sur mon bras et en me retournant, je croise les prunelle bordeaux d'Elzian et je me justifie:
"Je... Je dois y aller!"
Je me sens quand même un peu perdu là. Ils parlent de quoi ces deux là? J'ai l'étrange sensation que Eönwë voudrait une chose de moi, mais j'ignore quoi. Je jette un regard confus à Elzian, être mis devant un fait accomplis n'est jamais très plaisant. Et je m'apprête à dire quelque chose quand une sorte d'alarme retentit, je sens une agitation mais aussi autre chose...
Douleur... Oui, encore... Forte, très forte même... Je vacille légèrement, difficile de contrôler quoi que ce soit en cette seconde. Je sens un bras s'enrouler autour d'un des miens et la voix d'Eönwë retentit:
"Elzian, conduit là à mon bureau, tu sais où il est."
J'entends clairement des voix, des ordres qui fusent. Je relève la tête, il est clair que quelque chose vient d'arriver et que ce lieux ne sera plus calme très longtemps, si tant est qu'il est calme ordinairement. Une voix féminine que je reconnais bien arrive près de nous et s'adressa au chef des urgence:
"Accident à la mine principale! Une des fondations de galerie a cédés, une vingtaine de blessé nous arrive."
Blessé, évidement, puisque la douleur est bien là. Je sens toujours le bras d'Eönwë autour du mien et je fis:
"Je peux vous aidez..."
Je sens son regard et il secoua la tête:
"Surtout pas avec le degré de fatigue et ce que vous avez fait cet après-midi Aliénor. Cela risquerait d'être dangereux. Laissez vous conduire par Elzian il ne vous mangera pas si je puis dire ainsi."
Pour le coup je ne suis pas d'accord, je veux aider, je veux me rendre utile et il l'a parfaitement compris, je le vois lever un doigt vers moi et il fit de nouveau:
"Non, non et non! Vous n'aiderez pas aujourd'hui. Il y a des limites à ne pas dépasser dans votre condition Aliénor et pour aujourd'hui vous les avez largement franchie. Je le voix à vos yeux, vous ne contrôlez rien à cette seconde précise. Alors, écoutez moi, allez avec Elzian, faites connaissance et je vous rejoins aussi vite que possible."
Je le vois lancé un regard vers son ami pour ensuite le voir disparaitre en compagnie de son infirmière en chef, je fronce les yeux, je n'aime pas qu'on me dicte ce que je dois faire. Je sais que je peux aider, je le veux, c'est impossible que je reste ainsi sans rien faire... Je ne peux pas... Je m'apprête à faire un pas dans la direction prise par Eönwë mais une main se pose sur mon bras et en me retournant, je croise les prunelle bordeaux d'Elzian et je me justifie:
"Je... Je dois y aller!"
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
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Chirurgien:
=> Saya
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Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Ven 23 Avr - 18:39
Voila maintenant que Eönwë essayait d'être rassurant et de me convaincre de parler de ma condition. Bon après tout il avait gagné, si ce n'était pas moi qui en parlait avec Aliénor il le ferait lui même pour m'obliger à me mettre devant le faite accomplie. Il était plutôt du genre à savoir s'imposer quand il voulait quelque chose et c'était peu de le dire.
-"D'accord Eönwë je lui parlerais, ce que tu peux être têtu parfois quand tu veux quelque chose."
Je me tourne alors vers Aliénor la voyant prise soudainement de vertige et commençant à vaciller. Je m'apprête à la retenir par le bras quand Eönwë m'interrompt en me sommant de la conduire à son bureau. Bizarre de la voir ainsi, était-elle malade ?
A peine me posais-je la question qu'un infirmière fit irruption pour annoncer l'arrivée proche d'une vingtaine de blessée à cause de l'explosion d'une mine. Décidément les évènement s'enchaînaient et je me demandais si ce n'était qu'une coïncidence de les voir arriver en même temps.
Je me tournais de nouveau vers mes deux interlocuteurs, Aliénor essayant de se justifier afin d'apporter son aide à Eönwë. Bien qu'elle voulait aider, je devais avouer que Eönwë avait raison, elle n'était pas en état d'aider qui que ce soit. Mais le plus intriguant était le faite que Eönwë parlait de limite et de contrôle, faisait-il référence à une capacité qui expliquerait son malaise.
En tout cas ce qui était sûr c'est que Eönwë m'avait laisser la charge de cette demoiselle et il était hors de question que je la laisse risquer sa vie en s'épuisant au vu de sa forme actuelle. J'empoigne donc doucement son bras afin de la dissuader de continuer.
-"Je sais que vous voulez aider, mais comme l'a dit Eönwë vous n'êtes pas en état d'aider quelqu'un, même si vous y mettez tout votre cœur. De plus je m'en voudrais beaucoup qu'il vous arrive quoique ce soit parce que je vous ai laissé aller au delà de vos capacités."
Je la tire doucement vers moi, afin qu'elle me suive en direction du bureau et à vrai dire je ne lui laisse pas trop le choix. J'espère qu'elle ne m'en voudra pas d'aller contre sa volonté mais il fallait que je le fasse, merci Eönwë .
-"Je suppose que votre récent malaise est en rapport avec l'accident qui vient d'arriver, je me trompe ? Car si c'est le cas c'est une raison de plus de vous interdire d'y aller, puis pensez y si vous êtes trop fatiguée vous risquez de faire des bêtises en essayant de guérir quelqu'un."
Je me tournais furtivement vers elle, affichant un sourire rassurant. Elle avait vraiment l'air épuisée et ne tenait plus vraiment sur ses jambes, elle devait se reposer et je continuais de la mener vers le bureau en la tenant par le bras. Une fois arrivé devant la porte de celui-ci, je l'attirais à l'intérieur avant de refermer la porte derrière nous.
-"Il y a un canapé là bas, vous devriez vous allonger et ce n'est pas négociable."
Je souriais toujours, relâchant son bras doucement avant de regarder si elle n'essaierait pas de repartir, mais visiblement non. Je me dirigeais ensuite vers le bureau de Eönwë , m'asseyant dans son siège. Parfois il gardait un peu de sang dans ce bureau, mais je me voyais mal le faire devant les yeux d'Aliénor. Il valait mieux que je lui explique la situation avant.
-"Hum ... vous savez, par rapport à ce quoi parlait Eönwë."
Moment de silence, je croise les doigts un peu gêné, Eönwë j'espère que tu sais ce que tu fais.
-"Bon ... pour tout vous avouer je suis un vampire ... et donc parfois il faut que je me ... nourisse."
Ce dernier mot doit sonner tellement bizarrement à ses oreilles et j'attends d'observer sa réaction. Mais je ne me fais pas trop de faux espoir, si elle ne prend pas peur, elle afficherait surement un visage étonné ou pire dégouté.
-"Donc voila Eönwë s'assure de me fournir en sang ..."
-"D'accord Eönwë je lui parlerais, ce que tu peux être têtu parfois quand tu veux quelque chose."
Je me tourne alors vers Aliénor la voyant prise soudainement de vertige et commençant à vaciller. Je m'apprête à la retenir par le bras quand Eönwë m'interrompt en me sommant de la conduire à son bureau. Bizarre de la voir ainsi, était-elle malade ?
A peine me posais-je la question qu'un infirmière fit irruption pour annoncer l'arrivée proche d'une vingtaine de blessée à cause de l'explosion d'une mine. Décidément les évènement s'enchaînaient et je me demandais si ce n'était qu'une coïncidence de les voir arriver en même temps.
Je me tournais de nouveau vers mes deux interlocuteurs, Aliénor essayant de se justifier afin d'apporter son aide à Eönwë. Bien qu'elle voulait aider, je devais avouer que Eönwë avait raison, elle n'était pas en état d'aider qui que ce soit. Mais le plus intriguant était le faite que Eönwë parlait de limite et de contrôle, faisait-il référence à une capacité qui expliquerait son malaise.
En tout cas ce qui était sûr c'est que Eönwë m'avait laisser la charge de cette demoiselle et il était hors de question que je la laisse risquer sa vie en s'épuisant au vu de sa forme actuelle. J'empoigne donc doucement son bras afin de la dissuader de continuer.
-"Je sais que vous voulez aider, mais comme l'a dit Eönwë vous n'êtes pas en état d'aider quelqu'un, même si vous y mettez tout votre cœur. De plus je m'en voudrais beaucoup qu'il vous arrive quoique ce soit parce que je vous ai laissé aller au delà de vos capacités."
Je la tire doucement vers moi, afin qu'elle me suive en direction du bureau et à vrai dire je ne lui laisse pas trop le choix. J'espère qu'elle ne m'en voudra pas d'aller contre sa volonté mais il fallait que je le fasse, merci Eönwë .
-"Je suppose que votre récent malaise est en rapport avec l'accident qui vient d'arriver, je me trompe ? Car si c'est le cas c'est une raison de plus de vous interdire d'y aller, puis pensez y si vous êtes trop fatiguée vous risquez de faire des bêtises en essayant de guérir quelqu'un."
Je me tournais furtivement vers elle, affichant un sourire rassurant. Elle avait vraiment l'air épuisée et ne tenait plus vraiment sur ses jambes, elle devait se reposer et je continuais de la mener vers le bureau en la tenant par le bras. Une fois arrivé devant la porte de celui-ci, je l'attirais à l'intérieur avant de refermer la porte derrière nous.
-"Il y a un canapé là bas, vous devriez vous allonger et ce n'est pas négociable."
Je souriais toujours, relâchant son bras doucement avant de regarder si elle n'essaierait pas de repartir, mais visiblement non. Je me dirigeais ensuite vers le bureau de Eönwë , m'asseyant dans son siège. Parfois il gardait un peu de sang dans ce bureau, mais je me voyais mal le faire devant les yeux d'Aliénor. Il valait mieux que je lui explique la situation avant.
-"Hum ... vous savez, par rapport à ce quoi parlait Eönwë."
Moment de silence, je croise les doigts un peu gêné, Eönwë j'espère que tu sais ce que tu fais.
-"Bon ... pour tout vous avouer je suis un vampire ... et donc parfois il faut que je me ... nourisse."
Ce dernier mot doit sonner tellement bizarrement à ses oreilles et j'attends d'observer sa réaction. Mais je ne me fais pas trop de faux espoir, si elle ne prend pas peur, elle afficherait surement un visage étonné ou pire dégouté.
-"Donc voila Eönwë s'assure de me fournir en sang ..."
- Elzian
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Ven 23 Avr - 20:26
"Mais je..."
Mais je n'ai pas le choix, là c'est plus que clair, en même temps, je dois me rendre à l'évidence, dans mon état de fatigue je ne serai pas utile à grand chose, je l'admettais. Je dû me contraindre à le suivre, poussant malgré moi un soupir de frustration. Voilà que j'avais la possibilité d'exercer et... Et j'étais vraiment d'une mauvaise fois pas possible.
Il se mit à me parler, mais à dire vrai, j'avais un peu de mal à garder les idées claires. Diantre, cela ne m'étais pas arrivée depuis des années ce genre de malaise, la dernière fois remonte à l'épidémie de dragoncelle dans mon cher village aujourd'hui en ruine. J'avais à cette époque, soignée jusqu'à moi-même en tombé malade et autant vous dire qu'il en avait fallut beaucoup pour que j'en arrive là...
J'avais un peu de mal à comprendre cependant, pourquoi mon don m'échappait-il alors que d'ordinaire j'arrivais parfaitement à le contenir à une seule personne? Étais-ce le lieu qui me rendait aussi vulnérable? Où le fait que je n'ai pas exercé depuis quelques mois? Cela me laissait quelque peu perplexe et je me mis à espérer que cela passerai et que je pourrai bientôt être en pleine capacité de mes moyens.
Il me tenait toujours par le bras et me menait au bureau, je reconnu les couloirs parcourus quelques minutes plutôt avec Eönwë, j'essayai de me concentrer un peu plus sur ce que Elizan me disait tout en marchant:
"Oui et non... En fait, quand je suis arrivée en début d'après-midi, les Urgences étaient pleines a craquer. Une attaque a eu lieu, je ne sais pas trop où, mais il y avait bon nombre de personnes blessés et instinctivement je me suis mise a aider... Et on va dire que ça m'a un peu fatiguée."
J'étais vraiment fatiguée moi... Pas possible d'être aussi peu endurante, j'avais connu des journées plus... Non, faux, je n'avais jamais connu de journées aussi stressante de toute ma vie. Nous arrivons devant le bureau et il m'invite à rentrer, il me désigne le canapé et je me permet de sourire en lâchant:
"Lui et moi on se connait déjà. On a un peu sympathisé... Trois heures de suite!"
J'avais lancé cette phrase pour détendre un peu l'atmosphère. Je le vis passer de l'autre côté du bureau et prendre place sur le fauteuil où était assis quelques temps plutôt le chef des urgences. Je souris de nouveau, commençant un peu à me détendre. Dans un rapide mouvement, j'ôte mes chaussures et m'installe en tailleur sur ledit canapé, pas besoin de m'allonger pour ce que je devais faire. Mon regard ce perd sur Elizan. Il n'est pas désagréable à regarder. Il a un air charmeur et son visage a ces traits fins qui le rendent vraiment beau. Je remarque sa peau pâle qui font ressortir la couleur particulière de ces yeux qui est assez captivante. Puis il me parle de ce don parlait Eönwë, il semble pas très à l'aise et je me permet de dire:
"Vous n'êtes pas obligé de..."
Vampire. J'écarquille les yeux, et bien ça, s'était dis! Parfois il faut qu'il se nourrisse... Oui ben logique vu que c'est un vampire et où de mieux que dans un hôpital pour tout vampire ne voulant pas attaqué de proie vivante. Alors ça c'est de la révélation et je parvins malgré tout à finir ma phrase:
"... De le dire."
Un vampire... Il ne semblait pas particulièrement dangereux et j'étais de nature à donner une chance aux gens alors, alors je me racle la gorge et répond:
"Bé au moins, c'est dis. Maintenant que vous le dite, je comprend pourquoi je vous trouve un air charmeur, votre peau pâle et aussi la couleur de vos yeux."
Il semble pas très à l'aise, vraiment, comme gêné. Pourtant il n'y avait pas de quoi... Si Eönwë lui faisait confiance et l'appelait ami c'est qu'il y avait une raison non?
"Merci de votre franchise et si ça peu vous rassurez, certes, ce n'est pas rassurant, mais si vous êtes ici, vous baladant parmi les personnes, c'est que vous avez du contrôle et puis, je connais un peu les règle de vie à Entre-Monde, même si je n'y avais jamais habité avant."
Et de nouveau je lui offre un sourire, faudrait pas qu'il finisse par faire une syncope non plus sous cette gêne.
Je passe une main dans mes cheveux et machinalement, je me met à tresser une mèche. J'ai vraiment pas l'habitude de les laisser sans attache, c'est étrange. Je rompt notre contact visuel et prend une inspiration:
"Je ressens la douleur des gens qui sont blessés. D'ordinaire, j'arrive à contrôler ce don et ainsi peu soigner les personnes une à une, mais visiblement aujourd'hui j'ai un peu trop tiré sur la corde. De ce fait, quand les gens sont arrivés tout à l'heure, c'est pas une seule douleur que j'ai ressentie."
Rien que d'y repenser, je frissonne bien malgré moi. Je laisse le silence s'installer n'osant pas trop formuler les questions qui me viennent à l'esprit comme: comment vous fournit-il en sang? Vous êtes vampire depuis toujours? Quel est votre âge véritable?...
Mais par politesse, je ne dis rien... Je ferme simplement les yeux après avoir tressée cette mèche et essaie de me recentrer sur moi-même, de revenir à mon état de calme. Quelques secondes passe avant que je ne les rouvre et les tourne de nouveau sur Elizan en lui demandant:
"Où les range t-il ces réserves, que je vous donne de quoi vous nourrir..."
Mais je n'ai pas le choix, là c'est plus que clair, en même temps, je dois me rendre à l'évidence, dans mon état de fatigue je ne serai pas utile à grand chose, je l'admettais. Je dû me contraindre à le suivre, poussant malgré moi un soupir de frustration. Voilà que j'avais la possibilité d'exercer et... Et j'étais vraiment d'une mauvaise fois pas possible.
Il se mit à me parler, mais à dire vrai, j'avais un peu de mal à garder les idées claires. Diantre, cela ne m'étais pas arrivée depuis des années ce genre de malaise, la dernière fois remonte à l'épidémie de dragoncelle dans mon cher village aujourd'hui en ruine. J'avais à cette époque, soignée jusqu'à moi-même en tombé malade et autant vous dire qu'il en avait fallut beaucoup pour que j'en arrive là...
J'avais un peu de mal à comprendre cependant, pourquoi mon don m'échappait-il alors que d'ordinaire j'arrivais parfaitement à le contenir à une seule personne? Étais-ce le lieu qui me rendait aussi vulnérable? Où le fait que je n'ai pas exercé depuis quelques mois? Cela me laissait quelque peu perplexe et je me mis à espérer que cela passerai et que je pourrai bientôt être en pleine capacité de mes moyens.
Il me tenait toujours par le bras et me menait au bureau, je reconnu les couloirs parcourus quelques minutes plutôt avec Eönwë, j'essayai de me concentrer un peu plus sur ce que Elizan me disait tout en marchant:
"Oui et non... En fait, quand je suis arrivée en début d'après-midi, les Urgences étaient pleines a craquer. Une attaque a eu lieu, je ne sais pas trop où, mais il y avait bon nombre de personnes blessés et instinctivement je me suis mise a aider... Et on va dire que ça m'a un peu fatiguée."
J'étais vraiment fatiguée moi... Pas possible d'être aussi peu endurante, j'avais connu des journées plus... Non, faux, je n'avais jamais connu de journées aussi stressante de toute ma vie. Nous arrivons devant le bureau et il m'invite à rentrer, il me désigne le canapé et je me permet de sourire en lâchant:
"Lui et moi on se connait déjà. On a un peu sympathisé... Trois heures de suite!"
J'avais lancé cette phrase pour détendre un peu l'atmosphère. Je le vis passer de l'autre côté du bureau et prendre place sur le fauteuil où était assis quelques temps plutôt le chef des urgences. Je souris de nouveau, commençant un peu à me détendre. Dans un rapide mouvement, j'ôte mes chaussures et m'installe en tailleur sur ledit canapé, pas besoin de m'allonger pour ce que je devais faire. Mon regard ce perd sur Elizan. Il n'est pas désagréable à regarder. Il a un air charmeur et son visage a ces traits fins qui le rendent vraiment beau. Je remarque sa peau pâle qui font ressortir la couleur particulière de ces yeux qui est assez captivante. Puis il me parle de ce don parlait Eönwë, il semble pas très à l'aise et je me permet de dire:
"Vous n'êtes pas obligé de..."
Vampire. J'écarquille les yeux, et bien ça, s'était dis! Parfois il faut qu'il se nourrisse... Oui ben logique vu que c'est un vampire et où de mieux que dans un hôpital pour tout vampire ne voulant pas attaqué de proie vivante. Alors ça c'est de la révélation et je parvins malgré tout à finir ma phrase:
"... De le dire."
Un vampire... Il ne semblait pas particulièrement dangereux et j'étais de nature à donner une chance aux gens alors, alors je me racle la gorge et répond:
"Bé au moins, c'est dis. Maintenant que vous le dite, je comprend pourquoi je vous trouve un air charmeur, votre peau pâle et aussi la couleur de vos yeux."
Il semble pas très à l'aise, vraiment, comme gêné. Pourtant il n'y avait pas de quoi... Si Eönwë lui faisait confiance et l'appelait ami c'est qu'il y avait une raison non?
"Merci de votre franchise et si ça peu vous rassurez, certes, ce n'est pas rassurant, mais si vous êtes ici, vous baladant parmi les personnes, c'est que vous avez du contrôle et puis, je connais un peu les règle de vie à Entre-Monde, même si je n'y avais jamais habité avant."
Et de nouveau je lui offre un sourire, faudrait pas qu'il finisse par faire une syncope non plus sous cette gêne.
Je passe une main dans mes cheveux et machinalement, je me met à tresser une mèche. J'ai vraiment pas l'habitude de les laisser sans attache, c'est étrange. Je rompt notre contact visuel et prend une inspiration:
"Je ressens la douleur des gens qui sont blessés. D'ordinaire, j'arrive à contrôler ce don et ainsi peu soigner les personnes une à une, mais visiblement aujourd'hui j'ai un peu trop tiré sur la corde. De ce fait, quand les gens sont arrivés tout à l'heure, c'est pas une seule douleur que j'ai ressentie."
Rien que d'y repenser, je frissonne bien malgré moi. Je laisse le silence s'installer n'osant pas trop formuler les questions qui me viennent à l'esprit comme: comment vous fournit-il en sang? Vous êtes vampire depuis toujours? Quel est votre âge véritable?...
Mais par politesse, je ne dis rien... Je ferme simplement les yeux après avoir tressée cette mèche et essaie de me recentrer sur moi-même, de revenir à mon état de calme. Quelques secondes passe avant que je ne les rouvre et les tourne de nouveau sur Elizan en lui demandant:
"Où les range t-il ces réserves, que je vous donne de quoi vous nourrir..."
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Ven 23 Avr - 20:54
Je suis heureux et soulagé de voir qu'elle n'a pas mal pris ma révélation même si elle avait l'air un peu étonnée, mais qui lui en voudrait. Le plus important c'est qu'elle ne me voyait pas qu'une menace et n'avait pas pris subitement peur en ma présence, d'habitude je m'en moquais pas mal mais bizarrement j''était content qu'elle ait bien réagit.
-"Un air charmeur ? Vous allez me gêner, après je suppose qu'on peut définir comme ça un vampire après tout ..."
Il était vrai que les vampires arboraient une jeunesse éternelle et une certaine beauté mais je ne pensais pas qu'on pouvait définir tous les vampires comme charmant au vu des souvenirs qui me remontaient en tête. A vrai dire je les aurais plutôt désigné comme assoiffé de pouvoir, quand aux charmes je me rappelais certaines connaissances qui en était totalement dépourvu. Mais après tout pourquoi ressasser le passé, cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu un de mes congénères et il n'était même pas sûr qu'il y en ait d'autre sur l'entre-monde.
Ce qui m'étonne le plus par la suite, c'est que j'ai l'impression qu'elle essaie de me rassurer en disant de ne pas me sentir gêné pour ça. C'est une demoiselle à part je trouve et je lui rend machinalement son sourire, même si je me demande si le faite qu'elle fasse une tresse avec ses cheveux n'est pas une certaine forme de stress.
-"Pour tout vous avouer les vampires de hauts rang évitent de mordre les humains et si ils le font ils ne les tuent pas. Dans mon ancien monde nous avons appris à vivre avec les humains et nous mêler à eux, nous somme régit par des règles stricte pour éviter les débordement. Puis je dois vous avouer qu'il me déplairait de mordre quelqu'un sans son consentement et puis je peux presque me passer de sang avec mon médaillon."
Je ne sais pas trop pourquoi je lui donnais tous ces détails, je ne voudrais pas l'effrayer mais après tout si je voulais voir si je pouvais lui parler sans appréhension, il fallait que je vois sa réaction en lui parlant un peu de ma vie. Puis je vois bien qu'une tonne de questions lui brûlent les lèvres.
-"Enfin je suppose qu'il serait plus facile de répondre à des question, vous devez surement en avoir pas mal que vous voulez me poser. Quand à votre don, si je peux donner mon avis, vous devriez le ménager si vous ne voulez pas risquer de nouveau un malaise. Mais je me doute qu'il est difficile de voir des gens ainsi blessé sans rien faire, mais votre pouvoir peut vous êtes préjudiciable comme maintenant."
j'espérais qu'elle n'allait pas mal prendre l'avis que je lui avais donné, mais à vrai dire je m'inquiétais plus pour elle, pouvoir ressentir la douleur des autres devant être un don lourd à porter et je préférais ne pas la voir s'épuiser à trop l'utiliser. Puis elle me demandait où était les réserves, voulant me les donner et je ne pu réprimer un sourire gêner.
Je me levais du siège de Eönwë pour la rejoindre, m'accroupissant à une faible distance devant elle tout en plongeant mon regard dans le sien.
-"Vous savez vous n'êtes pas obligé de faire ça, je me doute que vous retrouver avec un vampire doit vous paraître bizarre. Puis ne vous inquiétez pas pour moi, je peux les prendre tout seul, vous, vous devriez plutôt vous reposer et récupérer, il ne faudrait pas que vous fassiez un malaise en vous levant."
-"Un air charmeur ? Vous allez me gêner, après je suppose qu'on peut définir comme ça un vampire après tout ..."
Il était vrai que les vampires arboraient une jeunesse éternelle et une certaine beauté mais je ne pensais pas qu'on pouvait définir tous les vampires comme charmant au vu des souvenirs qui me remontaient en tête. A vrai dire je les aurais plutôt désigné comme assoiffé de pouvoir, quand aux charmes je me rappelais certaines connaissances qui en était totalement dépourvu. Mais après tout pourquoi ressasser le passé, cela faisait si longtemps que je n'avais pas vu un de mes congénères et il n'était même pas sûr qu'il y en ait d'autre sur l'entre-monde.
Ce qui m'étonne le plus par la suite, c'est que j'ai l'impression qu'elle essaie de me rassurer en disant de ne pas me sentir gêné pour ça. C'est une demoiselle à part je trouve et je lui rend machinalement son sourire, même si je me demande si le faite qu'elle fasse une tresse avec ses cheveux n'est pas une certaine forme de stress.
-"Pour tout vous avouer les vampires de hauts rang évitent de mordre les humains et si ils le font ils ne les tuent pas. Dans mon ancien monde nous avons appris à vivre avec les humains et nous mêler à eux, nous somme régit par des règles stricte pour éviter les débordement. Puis je dois vous avouer qu'il me déplairait de mordre quelqu'un sans son consentement et puis je peux presque me passer de sang avec mon médaillon."
Je ne sais pas trop pourquoi je lui donnais tous ces détails, je ne voudrais pas l'effrayer mais après tout si je voulais voir si je pouvais lui parler sans appréhension, il fallait que je vois sa réaction en lui parlant un peu de ma vie. Puis je vois bien qu'une tonne de questions lui brûlent les lèvres.
-"Enfin je suppose qu'il serait plus facile de répondre à des question, vous devez surement en avoir pas mal que vous voulez me poser. Quand à votre don, si je peux donner mon avis, vous devriez le ménager si vous ne voulez pas risquer de nouveau un malaise. Mais je me doute qu'il est difficile de voir des gens ainsi blessé sans rien faire, mais votre pouvoir peut vous êtes préjudiciable comme maintenant."
j'espérais qu'elle n'allait pas mal prendre l'avis que je lui avais donné, mais à vrai dire je m'inquiétais plus pour elle, pouvoir ressentir la douleur des autres devant être un don lourd à porter et je préférais ne pas la voir s'épuiser à trop l'utiliser. Puis elle me demandait où était les réserves, voulant me les donner et je ne pu réprimer un sourire gêner.
Je me levais du siège de Eönwë pour la rejoindre, m'accroupissant à une faible distance devant elle tout en plongeant mon regard dans le sien.
-"Vous savez vous n'êtes pas obligé de faire ça, je me doute que vous retrouver avec un vampire doit vous paraître bizarre. Puis ne vous inquiétez pas pour moi, je peux les prendre tout seul, vous, vous devriez plutôt vous reposer et récupérer, il ne faudrait pas que vous fassiez un malaise en vous levant."
- Elzian
Re: Rencontres [PV avec Elzian] [RP Clos]
Ven 23 Avr - 23:03
"Vous savez, les bizarreries peuple ce monde. Il ne tient pas à moi de juger une personne parce qu'elle est vampire, elfe, troll, tueur à gage..."
Hum... Je réfléchis quelques secondes à mes derniers mots et me reprend:
"Euh non, oubliez le dernier, tueur à gage autant les éviter."
Il n'a vraiment pas l'air méchant, bien au contraire. Je me sentirai presque, oui j'ai bien dis presque en confiance. Je l'écoute me parler de mon don et hausse les épaules d'un air fataliste:
"Je pense que c'est dû au fait que je n'avais pas pratiqué depuis un petit moment. Me confronter de nouveau à ce pourquoi je vivais jusqu'à présent alors que cela fais des mois que je n'ai pas soigner une personne vivante a été un peu étrange mais en même temps si... Jouissif."
Il m'a parlé de sa race, de certains d'entre eux. Je ne m'y connais pas tellement côté vampire, mais si ils ont des règles c'est sans doute mieux ainsi. Toute communauté à ces règles propres, cela permet une entente et une vie plus simple avec les membres de la communauté, mais aussi avec les autres. Les compromis sont des choses essentiel si ont veut pouvoir survivre.
Il s'est déplacé, il est à présent face à moi et me fixe avec ce regard que je trouve vraiment très beau. Envoûtant. Entre mes yeux violet et les siens bordeaux, quelle charmante paire! Puis il se montre prévenant, cela faisait longtemps que personne ne s'était préoccupé de moi de la sorte. Je baisse quelques minute l'ensemble de ma garde et mes pensées s'éloigne... Pourquoi je pense soudainement à lui? Taken... De nouveau je frissonne et je ne peux retenir mes yeux qui se ferme et une sorte d'étrange mélancolie m'envahir.. Je devais me reprendre...
Je ne devais pas laisser mes émotions me submerger... Je me l'étais promis... Bien malgré moi, je pousse un soupir et dans un murmure je lâche:
"Ne vous inquiétez pas. Je n'ai plus l'habitude qu'on s'occupe de moi mais ne vous inquiétez pas. Je vais bien."
Je rouvre les yeux et croise de nouveau son regard, je lui offre un petit sourire et demande avec tout de même un peu de retenue:
"Parlez moi un peu plus de votre race... Tellement de légende circule sur vous... Êtes vous né vampire? Vous m'avez parlé d'un médaillon, qu'est-ce? Une sorte de protection contre votre instinct?"
Me rendant compte de mes questions, je pose une mains sur ma bouche et offre un petit regard gêné:
"Désolée, je dois être impolie... En échange vous pouvez vous aussi me poser des question..."
Hum... Je réfléchis quelques secondes à mes derniers mots et me reprend:
"Euh non, oubliez le dernier, tueur à gage autant les éviter."
Il n'a vraiment pas l'air méchant, bien au contraire. Je me sentirai presque, oui j'ai bien dis presque en confiance. Je l'écoute me parler de mon don et hausse les épaules d'un air fataliste:
"Je pense que c'est dû au fait que je n'avais pas pratiqué depuis un petit moment. Me confronter de nouveau à ce pourquoi je vivais jusqu'à présent alors que cela fais des mois que je n'ai pas soigner une personne vivante a été un peu étrange mais en même temps si... Jouissif."
Il m'a parlé de sa race, de certains d'entre eux. Je ne m'y connais pas tellement côté vampire, mais si ils ont des règles c'est sans doute mieux ainsi. Toute communauté à ces règles propres, cela permet une entente et une vie plus simple avec les membres de la communauté, mais aussi avec les autres. Les compromis sont des choses essentiel si ont veut pouvoir survivre.
Il s'est déplacé, il est à présent face à moi et me fixe avec ce regard que je trouve vraiment très beau. Envoûtant. Entre mes yeux violet et les siens bordeaux, quelle charmante paire! Puis il se montre prévenant, cela faisait longtemps que personne ne s'était préoccupé de moi de la sorte. Je baisse quelques minute l'ensemble de ma garde et mes pensées s'éloigne... Pourquoi je pense soudainement à lui? Taken... De nouveau je frissonne et je ne peux retenir mes yeux qui se ferme et une sorte d'étrange mélancolie m'envahir.. Je devais me reprendre...
Je ne devais pas laisser mes émotions me submerger... Je me l'étais promis... Bien malgré moi, je pousse un soupir et dans un murmure je lâche:
"Ne vous inquiétez pas. Je n'ai plus l'habitude qu'on s'occupe de moi mais ne vous inquiétez pas. Je vais bien."
Je rouvre les yeux et croise de nouveau son regard, je lui offre un petit sourire et demande avec tout de même un peu de retenue:
"Parlez moi un peu plus de votre race... Tellement de légende circule sur vous... Êtes vous né vampire? Vous m'avez parlé d'un médaillon, qu'est-ce? Une sorte de protection contre votre instinct?"
Me rendant compte de mes questions, je pose une mains sur ma bouche et offre un petit regard gêné:
"Désolée, je dois être impolie... En échange vous pouvez vous aussi me poser des question..."
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
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