AccueilSaison des moissons
Mar 20 Avr - 18:57
Couvert d'une cape épaisse, je me faufilais dans la bibliothèque de Cerclon en avisant bien qu'aucun sanctuari ou soldat de K'ouen ne soit dans les parages pour enfin abaisser ma capuche.
Mon oeil barré de son cache oeil faisait presque coloré face aux bandages qui dépassaient de mon col. Je devais des remerciements au maitre des humains,lancé contre un mur, comme tout être de chair et de sang, je m'étais presque écrasé contre la paroi bétonnée... Ce furent des jours heureux dissimulé dans l'ombre d'Atlantis à attendre que les soldats cessent de me chercher mieux que des chiens de chasse... J'avais réussi à m'enfuir, par baleine cargot, coincé dans une caisse. Des côtes cassées ce n'est qu'à Aberlaas que j'avais trouvé un médecin assez verreux pour me soigner sans prévenir la garde.
Il était mort. Je ne pouvais pas prendre le risque qu'on me piste. Et le bon côté de l'invasion passée des lions dans les collines alentours c'est qu'après l'avoir découpé il avait fait un excellent repas aux monstres et personne ne saurait que je l'ai tué avant un très, très, long moment.
Et me revoici en ville, loin de Magna et de son ventre protecteur, je filais dans Cerclon à la recherche d'un boulot qui me cacherait aux yeux de Souen et de K'ouen. (Souen car j'avais bien moins confiance en sa protection, K'ouen parce qu'il parait que je suis devenu son ennemi intime. Si nous pouvions être intime autrement ce serait vraiment mieux).
Pour information, personne n'irait me chercher dans les listes de ceux qui travaillent. Ils iront voir ceux qui gagnent de l'argent sans qu'on sache d'où ça vienne... Aussi, je devais m'éloigner de la ville et de son trop plein de sanctuaris et en même temps me tenir à carreau loin de l'oeil vicieux des enquêteurs. Donc, trouver un travail convenable et pas trop rémunéré pour occuper le temps !
Sur un panneau, je cherchais du regard une mission, un travail qui n'aurait rien de dangereux -trop de blessures et contusions encore en sale état- et un travail loin de la ville. Aller récolter du blé dans les champs me paraissait faisable et assez près de la ville pour que mon nez continue de sentir le fumet du danger.
Sauf que je n'étais pas capable de dire où se trouvait le bureau de dirlo. Je ne mettais pas souvent les pieds dans une bibliothèque quelconque... Celle ci étant un univers totalement inconnu pour moi.
J'inspirais profondément.
-Ohé ?! Y a quelqu'un ?
Pourquoi n'y a-t-il jamais personne quand on a besoin d'un guide ? Ils ont peur de moi ? Je suis une si bonne compagnie pourtant !
Mon oeil barré de son cache oeil faisait presque coloré face aux bandages qui dépassaient de mon col. Je devais des remerciements au maitre des humains,lancé contre un mur, comme tout être de chair et de sang, je m'étais presque écrasé contre la paroi bétonnée... Ce furent des jours heureux dissimulé dans l'ombre d'Atlantis à attendre que les soldats cessent de me chercher mieux que des chiens de chasse... J'avais réussi à m'enfuir, par baleine cargot, coincé dans une caisse. Des côtes cassées ce n'est qu'à Aberlaas que j'avais trouvé un médecin assez verreux pour me soigner sans prévenir la garde.
Il était mort. Je ne pouvais pas prendre le risque qu'on me piste. Et le bon côté de l'invasion passée des lions dans les collines alentours c'est qu'après l'avoir découpé il avait fait un excellent repas aux monstres et personne ne saurait que je l'ai tué avant un très, très, long moment.
Et me revoici en ville, loin de Magna et de son ventre protecteur, je filais dans Cerclon à la recherche d'un boulot qui me cacherait aux yeux de Souen et de K'ouen. (Souen car j'avais bien moins confiance en sa protection, K'ouen parce qu'il parait que je suis devenu son ennemi intime. Si nous pouvions être intime autrement ce serait vraiment mieux).
Pour information, personne n'irait me chercher dans les listes de ceux qui travaillent. Ils iront voir ceux qui gagnent de l'argent sans qu'on sache d'où ça vienne... Aussi, je devais m'éloigner de la ville et de son trop plein de sanctuaris et en même temps me tenir à carreau loin de l'oeil vicieux des enquêteurs. Donc, trouver un travail convenable et pas trop rémunéré pour occuper le temps !
Sur un panneau, je cherchais du regard une mission, un travail qui n'aurait rien de dangereux -trop de blessures et contusions encore en sale état- et un travail loin de la ville. Aller récolter du blé dans les champs me paraissait faisable et assez près de la ville pour que mon nez continue de sentir le fumet du danger.
Sauf que je n'étais pas capable de dire où se trouvait le bureau de dirlo. Je ne mettais pas souvent les pieds dans une bibliothèque quelconque... Celle ci étant un univers totalement inconnu pour moi.
J'inspirais profondément.
-Ohé ?! Y a quelqu'un ?
Pourquoi n'y a-t-il jamais personne quand on a besoin d'un guide ? Ils ont peur de moi ? Je suis une si bonne compagnie pourtant !
- Fafnir
Suivi : 
Titre : Perçant,
Race : Demi-dieu
Statut : Ex-assassin, Commissaire pour K'ouen
Notes :Officiellement
Rurik Ingmar
nouveau résident et commissaire de K'ouen.
(avant : assassin de Souen : Fafnir)
Messages : 244-
Re: Saison des moissons
Ven 23 Avr - 11:37
Le calme.
Ô si précieuse chose pour le petit bibliothécaire.
Tout avait été pour le mieux depuis le début de la journée. Pas d'étagère menaçant de s'écrouler, pas de livres à ramasser, aucune glissade sur son magnifique parquet lustré (impeccable, il y tenait comme à la prunelle de ses yeux), donc, le rêve.
Juste une tranquillité parfaite, si chère à son presque petit cœur.
La lumière claire du soleil matinale illuminait les lieux par le biais des immenses et larges fenêtres et rien ne semblait vouloir perturber cette atmosphère apaisante qui emplissait l'endroit. Pas de tempête à l'horizon, pas de pluie à venir et même pas la moindre crotte d'un quelconque minuscule nuage en vue.
Les lieux étaient entièrement vides et l'on entendait résonner le bruit de ses pas tandis qu'il rangeait précautionneusement à leur place les livres rendus. C'était bien la tout ce qu'il avait à faire.
Il venait tout juste de prendre une pile imposante de bouquin lorsqu'il entendit une personne arriver puis, peu après, une voix brisant le silence, demandant si quelqu'un était là.
Il est vrai que ça ne grouillait pas de monde à cette heure-ci et à part lui, il n'y avait personne. Alors il se dirigea vers la voix, sa pile oscillant dangereusement vers la droite ou vers la gauche tandis qu'il marchait, mais tenant toujours par l'on ne sait quel miracle. Cette tour de livre le dépassait et obstruait presque entièrement son champ de vision. Toutefois, il connaissait les lieux comme sa poche et jamais ne se heurta à quoi que ce soit.
Il ne s'arrêta que lorsqu'il vit une pair de pied, visiblement tournés dans la direction opposée, de sous ses bouquins.
Juste à temps donc. Encore un petit chouillat et il lui fonçait dedans.
"Vous avez besoin d'aide ?"
Demanda-t-il à la personne,qui semblait d'ailleurs être un homme, d'après ce qu'il percevait. M'enfin, ici, l'on ne pouvait jamais vraiment être sur en un seul coup d'œil. ce dont il ne se plaignait pas, bien au contraire.
[HRP : J'ai enfin réussit à posté ! désolée d'avoir mis tout ce temps, ma connexion me refait la tronche...c'est trop susceptibles ces choses là]
Ô si précieuse chose pour le petit bibliothécaire.
Tout avait été pour le mieux depuis le début de la journée. Pas d'étagère menaçant de s'écrouler, pas de livres à ramasser, aucune glissade sur son magnifique parquet lustré (impeccable, il y tenait comme à la prunelle de ses yeux), donc, le rêve.
Juste une tranquillité parfaite, si chère à son presque petit cœur.
La lumière claire du soleil matinale illuminait les lieux par le biais des immenses et larges fenêtres et rien ne semblait vouloir perturber cette atmosphère apaisante qui emplissait l'endroit. Pas de tempête à l'horizon, pas de pluie à venir et même pas la moindre crotte d'un quelconque minuscule nuage en vue.
Les lieux étaient entièrement vides et l'on entendait résonner le bruit de ses pas tandis qu'il rangeait précautionneusement à leur place les livres rendus. C'était bien la tout ce qu'il avait à faire.
Il venait tout juste de prendre une pile imposante de bouquin lorsqu'il entendit une personne arriver puis, peu après, une voix brisant le silence, demandant si quelqu'un était là.
Il est vrai que ça ne grouillait pas de monde à cette heure-ci et à part lui, il n'y avait personne. Alors il se dirigea vers la voix, sa pile oscillant dangereusement vers la droite ou vers la gauche tandis qu'il marchait, mais tenant toujours par l'on ne sait quel miracle. Cette tour de livre le dépassait et obstruait presque entièrement son champ de vision. Toutefois, il connaissait les lieux comme sa poche et jamais ne se heurta à quoi que ce soit.
Il ne s'arrêta que lorsqu'il vit une pair de pied, visiblement tournés dans la direction opposée, de sous ses bouquins.
Juste à temps donc. Encore un petit chouillat et il lui fonçait dedans.
"Vous avez besoin d'aide ?"
Demanda-t-il à la personne,qui semblait d'ailleurs être un homme, d'après ce qu'il percevait. M'enfin, ici, l'on ne pouvait jamais vraiment être sur en un seul coup d'œil. ce dont il ne se plaignait pas, bien au contraire.
[HRP : J'ai enfin réussit à posté ! désolée d'avoir mis tout ce temps, ma connexion me refait la tronche...c'est trop susceptibles ces choses là]
- Feliciano Numéro 3
- Bibliothécaire
- Suivi : Fiche - Carnet de bord
Titre : Artisan
Race : Androïde
Messages : 109
Titre débile : Machine à tout faire ( même le café )
Re: Saison des moissons
Ven 23 Avr - 17:32
[aucun souci, j'ai tout mon temps (t'as essayé de la menacer (ta connexion) ? 
]
On m'avait dit que le biblio' était petit mais pas à ce point. J'aurais dû tiquer à l'expression ravie de celui qui me raconter un jour que la bibliothèque était dirigée par l'homme le plus petit qu'il lui ait été donné de voir... Je pouvais le comprendre, ce n'était même pas encore un homme, juste un enfant.
Une seule et une unique chose me permit de savoir exactement à qui j'avais à faire : il était le seule personne présente, et il portait trop de livres aux titres différents et aux domaines variés pour être un lecteur assidue.
Et pour voir derrière la pile de livres j'avais dû me pencher sur le côté et chercher du regard d'où venait la voix. C'est donc courbé en deux que je demandais du boulot à un garçon qui n'avait peut-être pas la moitié de mon âge (même si dans l'Entre-Monde les plus jeunes s'avèrent parfois être les plus vieux...)
-Une mission m'intéresse. De la récolte dans les champs, je dois m'inscrire ou juste y aller ?
En effet, je n'ai jamais pris ce genre de boulot, je ne suis pas habitué à la façon de procéder. Et j'espère ne pas devoir m'y habituer.
]On m'avait dit que le biblio' était petit mais pas à ce point. J'aurais dû tiquer à l'expression ravie de celui qui me raconter un jour que la bibliothèque était dirigée par l'homme le plus petit qu'il lui ait été donné de voir... Je pouvais le comprendre, ce n'était même pas encore un homme, juste un enfant.
Une seule et une unique chose me permit de savoir exactement à qui j'avais à faire : il était le seule personne présente, et il portait trop de livres aux titres différents et aux domaines variés pour être un lecteur assidue.
Et pour voir derrière la pile de livres j'avais dû me pencher sur le côté et chercher du regard d'où venait la voix. C'est donc courbé en deux que je demandais du boulot à un garçon qui n'avait peut-être pas la moitié de mon âge (même si dans l'Entre-Monde les plus jeunes s'avèrent parfois être les plus vieux...)
-Une mission m'intéresse. De la récolte dans les champs, je dois m'inscrire ou juste y aller ?
En effet, je n'ai jamais pris ce genre de boulot, je ne suis pas habitué à la façon de procéder. Et j'espère ne pas devoir m'y habituer.
- Fafnir
- Suivi :
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Re: Saison des moissons
Dim 25 Avr - 12:20
[oui...du coup mon pc ne détectait plus aucun réseaux...j'ai du y aller par les sentiments ...je lui ai promis une boite d'orangettes]
Ce fut bel et bien un jeune homme qui lui apparut, lui demandant la marche à suivre pour participer à un mission.
Un sourire se ficha sur le visage du bibliothécaire qui regretta un peu que ce ne soit pas pour ces amours de bouquins qu'il était venu. Mais soit.
Feliciano considéra un instant sa pile qu'il tenait toujours dans ses petits bras puis le jeune homme et de nouveau la pile. Bien.
D'abord, finir la tache commencée.
Il hocha la tête et avança, avant de se retourner vers le visiteur.
"Suivez-moi je vous prie."
Il commença à déambuler parmi les hauts rayons chargés à craquer sans toutefois se diriger vers son bureau.
Il bifurqua de nombreuses fois, à droite, encore à droite puis à gauche avant de s'arrêter enfin, regardant une étagère située, très, très en hauteur. (pour lui en tout cas).
Évidemment, le livre qu'il devait rangé n'était pas en bas, ce serait trop simple. Il se tourna donc vers l'homme et, sans hésiter une seconde, il prit le volume du dessus, le tendis à son vis-à-vis, ne tenant sa tour encore plus instable qu'à l'aide d'une seule main.
"Pourriez-vous m'aider ? Il va tout en haut, à côté de l'encyclopédie avec la couverture jaune."
Question qui relevait plus de l'affirmation puisque l'androgyne lâchait déjà le livre pour regarder ceux qui restaient.
"Vous avez fait le plus gros de la démarche, en ce qui concerne la moisson, il vous suffit juste de me donnez votre nom, et la mission sera enregistrée comme prise.
Vous y aller seul ?"
Ce fut bel et bien un jeune homme qui lui apparut, lui demandant la marche à suivre pour participer à un mission.
Un sourire se ficha sur le visage du bibliothécaire qui regretta un peu que ce ne soit pas pour ces amours de bouquins qu'il était venu. Mais soit.
Feliciano considéra un instant sa pile qu'il tenait toujours dans ses petits bras puis le jeune homme et de nouveau la pile. Bien.
D'abord, finir la tache commencée.
Il hocha la tête et avança, avant de se retourner vers le visiteur.
"Suivez-moi je vous prie."
Il commença à déambuler parmi les hauts rayons chargés à craquer sans toutefois se diriger vers son bureau.
Il bifurqua de nombreuses fois, à droite, encore à droite puis à gauche avant de s'arrêter enfin, regardant une étagère située, très, très en hauteur. (pour lui en tout cas).
Évidemment, le livre qu'il devait rangé n'était pas en bas, ce serait trop simple. Il se tourna donc vers l'homme et, sans hésiter une seconde, il prit le volume du dessus, le tendis à son vis-à-vis, ne tenant sa tour encore plus instable qu'à l'aide d'une seule main.
"Pourriez-vous m'aider ? Il va tout en haut, à côté de l'encyclopédie avec la couverture jaune."
Question qui relevait plus de l'affirmation puisque l'androgyne lâchait déjà le livre pour regarder ceux qui restaient.
"Vous avez fait le plus gros de la démarche, en ce qui concerne la moisson, il vous suffit juste de me donnez votre nom, et la mission sera enregistrée comme prise.
Vous y aller seul ?"
- Feliciano Numéro 3
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Titre débile : Machine à tout faire ( même le café )
Re: Saison des moissons
Lun 26 Avr - 16:14
Je suivais le mini-directeur dans les méandres de sa bibliothèque et je dus me faire à l'idée que j'y séjournerais pas même pour tout l'or du monde. Arrivé devant une haute étagère, je tendis le bras automatiquement pour prendre le livre avant de savoir que j'étais destiné à compenser sa petite taille.
Le visage fermé, j'hésitais un temps entre l'envoyer balader ou ranger le livre. Ensuite, je me décidais à le faire manuellement, il aurait été mal vu d'user de télékinésie alors qu'en tendant le bras je l'aurais remis à sa place. Un peu d'efforts de temps en temps ça ne fait pas de mal.
-J'y vais seul, où je dois signer ?
Donner son nom, ça aussi c'était un gros problème. Rurik ou Fafnir tel est la question. Je me mordis la langue pour ne pas me la poser à autre voix et tendis la main vers le livre qui suivrait pour être rangé quelque part en hauteur.
Le visage fermé, j'hésitais un temps entre l'envoyer balader ou ranger le livre. Ensuite, je me décidais à le faire manuellement, il aurait été mal vu d'user de télékinésie alors qu'en tendant le bras je l'aurais remis à sa place. Un peu d'efforts de temps en temps ça ne fait pas de mal.
-J'y vais seul, où je dois signer ?
Donner son nom, ça aussi c'était un gros problème. Rurik ou Fafnir tel est la question. Je me mordis la langue pour ne pas me la poser à autre voix et tendis la main vers le livre qui suivrait pour être rangé quelque part en hauteur.
- Fafnir
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Re: Saison des moissons
Mer 28 Avr - 18:23
"C'est noté "
Répondit-il dans un sourire, tandis qu'il prenait un nouveau livre, un peu plus conséquent et qui devait être rangé lui aussi dans ce rayon. Feliciano jeta un rapide coup d'œil au reste et vit que les autres devait être rangés ailleurs, il le ferait donc après.
Il pourra toujours prendre l'escabeau qui devait se trouver quelque part entre les rayons 287 et 309 si d'autres bouquins devait être replacés en hauteur.
Il aurait pu aller le chercher de suite, mais il aurait perdu du temps, et le jeune homme en face de lui aussi. Et puis il était grand, alors...
"Et bien, à vrai dire, vous n'avez pas besoin de signer à proprement parlé, sauf si vous le voulez vraiment...je peux vous donner une feuille, mais juste me le dire suffit pour vous enregistrer.
Une gourde d'eau vous sera fournie et lorsque vous aurez fini, il faudra revenir me voir, et c'est tout."
L'androïde commença à partir pour remettre en place le reste de sa pile avant de se retourner vers le futur moissonneur, remarquant au passage qu'il allait devoir bientôt recharger ses batteries.
Répondit-il dans un sourire, tandis qu'il prenait un nouveau livre, un peu plus conséquent et qui devait être rangé lui aussi dans ce rayon. Feliciano jeta un rapide coup d'œil au reste et vit que les autres devait être rangés ailleurs, il le ferait donc après.
Il pourra toujours prendre l'escabeau qui devait se trouver quelque part entre les rayons 287 et 309 si d'autres bouquins devait être replacés en hauteur.
Il aurait pu aller le chercher de suite, mais il aurait perdu du temps, et le jeune homme en face de lui aussi. Et puis il était grand, alors...
"Et bien, à vrai dire, vous n'avez pas besoin de signer à proprement parlé, sauf si vous le voulez vraiment...je peux vous donner une feuille, mais juste me le dire suffit pour vous enregistrer.
Une gourde d'eau vous sera fournie et lorsque vous aurez fini, il faudra revenir me voir, et c'est tout."
L'androïde commença à partir pour remettre en place le reste de sa pile avant de se retourner vers le futur moissonneur, remarquant au passage qu'il allait devoir bientôt recharger ses batteries.
- Feliciano Numéro 3
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Re: Saison des moissons
Mar 4 Mai - 12:46
Un livre glissé dans son emplacement, je souris au gamin avant d'esquisser quelques pas pour commencer à m'éloigner.
-Rurik Ingmar. Je n'ai pas besoin de la gourde, je reviendrai si je dois me faire payer ici. À bientôt.
Je le saluais d'une main secouée dans le vide. Sur ces mots, je m'éloignais vers une rangée de livres... ne sachant plus vraiment comment sortir de cet endroit. Tourner à gauche, puis aller tout droit, à droite et... Hum encore un peu et je serais bientôt dehors, n'est-ce pas ?
Finalement, j'allais ramasser du blé et autres céréales dans des champs, béni soit le manque de machines dans la zone du dehors, je pouvais m'éloigner de la ville le temps de me faire discrêt. De toute façon, les maitres n'ont pas besoin de moi pour s'entretuer aux dernières nouvelles, mais tout de même. Je prenais quelques vacances bien méritées. Et après, je ne sais pas encore ce que je ferais. J'ai entendu dire que K'ouen avait une maison de vacance dans les îles... J'irais bien l'y attendre (en espérant qu'il y a retourner un jour). Avec ça, j'en oubliais presque mes côtes cassés et les bleus violacés sur ma peau... Frappant comme premier rendez-vous.
(c'est court mais terminé. Merci)
-Rurik Ingmar. Je n'ai pas besoin de la gourde, je reviendrai si je dois me faire payer ici. À bientôt.
Je le saluais d'une main secouée dans le vide. Sur ces mots, je m'éloignais vers une rangée de livres... ne sachant plus vraiment comment sortir de cet endroit. Tourner à gauche, puis aller tout droit, à droite et... Hum encore un peu et je serais bientôt dehors, n'est-ce pas ?
Finalement, j'allais ramasser du blé et autres céréales dans des champs, béni soit le manque de machines dans la zone du dehors, je pouvais m'éloigner de la ville le temps de me faire discrêt. De toute façon, les maitres n'ont pas besoin de moi pour s'entretuer aux dernières nouvelles, mais tout de même. Je prenais quelques vacances bien méritées. Et après, je ne sais pas encore ce que je ferais. J'ai entendu dire que K'ouen avait une maison de vacance dans les îles... J'irais bien l'y attendre (en espérant qu'il y a retourner un jour). Avec ça, j'en oubliais presque mes côtes cassés et les bleus violacés sur ma peau... Frappant comme premier rendez-vous.
(c'est court mais terminé. Merci)
- Fafnir
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