Ménage de printemps [Fermé]
Mar 30 Mar - 14:52
La cité de Tern, me voilà encore une fois de retour après un énième petit boulot auprès d'un patron arrogant et je n'ai pas d'autres occupations avant d'attendre le prochain travail. Une journée banale et calme donc, enfin c'est ce que je pensais jusqu'à ce que je remarque l'étrange frénésie animant les habitants m'entourant. Regardant leur visage, je perçois la peur qui les habitent et une bonne partie de la foule commençe déjà à courir à contre-sens comme pour fuir un danger imminent.
*Étrange qu'est ce qui peut bien faire si peur à autant de personnes ?* Me demandais-je.
Les sens aux aguets, je continuais malgré tout ma marche d'un air nonchalant , me dirigeant vraisemblablement vers le danger en question. Les gens qui passaient à mes côtés hurlaient des propos incompréhensibles et de ce que je pouvais en comprendre, ils se référaient à des hiboux. Des hiboux ? Qu'est ce qui pouvait bien être effrayant avec un hiboux.
Toujours en train de marcher, je tournais à l'angle au bout de la rue et je pu de suite avoir une réponse à mon questionnement précédent. Dans les airs, d'immenses hiboux volaient, détruisant tout sur leur passage et vu leurs réactions envers les badauds, ils étaient vraisemblablement carnivores.
*En effet ces gros pigeons pourraient expliquer l'affolement général*
Alors que je continuais d'avancer, me souciant peu de tout cette cacophonie ambiante car cela ne me concernait en aucun cas, un souvenir me revint en mémoire. Les maitres des miroirs n'avaient-ils pas fait une annonce à propos de ces étranges oiseaux, proposant de payer 1pim pour chaque tête qu'un aventurier leur ramènerait ?
Un sourire se dessina sur mes lèvres, voilà qui était intéressant, enfin une bonne raison pour me mêler à tout ça. Mais j'hésitais encore quelque peu à risquer ma peau pour quelques pims, avais-je vraiment une bonne raison pour chasser ces créatures ? Un des oiseaux avait du lire dans mes pensées ou avait été prit d'une soudaine envie de se moquer de moi, car je vis s'écraser devant moi un amas blanc manquant de peu de m'éclabousser. Cette immonde créature avait osé me viser, tenait-elle si peu que ça à sa vie ?
Je relevais la tête dans les cieux pour repérer l'hiboux qui avait osé faire ça et je n'eus pas beaucoup de mal à le repérer. Celui-ci fondait déjà en piqué dans ma direction, croyant faire de moi son prochain repas. Les mains toujours dans les poches, je le regardais froidement le laissant venir à moi, puis au dernier moment, invoquant mon pouvoir je fis soudainement changer le vent de direction déportant l'oiseau sur la droite. L'hiboux essaya tant bien que mal de redresser sa trajectoire, mais il était trop tard. Un piqué raté était un piqué mortel et c'est donc avec un plaisir non dissimulé que je le vis s'écraser à ma droite se fracassant le crâne contre un des poteau électriques. Je me demandais si l'oiseau était vraiment mort sur le coup, mais le poteau brisé s'effondrant sur sa carcasse suffit à me rassurer.
C'était donc décidé, je voulais juste faire une petite ballade mais ils avaient décidé de la gâcher. J'allais leur faire payer cet affront au centuple et en même temps me faire un peu d'argent. Autant allier l'utile à l'agréable.
Déployant mes ailes, je m'élevais aussitôt dans les airs rejoignant leur territoire, ce qui paru leur déplaire fortement. En effet deux créatures visiblement en colère foncèrent sur moi en me voyant.
*Ces créatures sont vraiment stupides, m'affronter sur mon domaine de prédilection.*
Rejouant mon dernier tour de passe-passe, je levais un bras que je fis tournoyer inutilement comme pour imiter un chef d'orchestre. Aussitôt de forts vents commencèrent à souffler et les deux hiboux se percutèrent, s'enlaçant comme un couple dans une valse et pour couronner le tout je m'amusais à les faire tournoyer sur eux même. La situation était plutôt cocasse quand je les regardais, mais je fus déçu de ne pouvoir apprécier ce spectacle que le temps qu'ils s'écrasent au sol, après une chute d'une centaine de mètres.
J'avais du trop en faire car leurs congénères m'ayant repéré, se mirent en bande pour commencer à me pourchasser. A vu d'œil j'en comptais une petite dizaine et je fis aussitôt une grimace. Une dizaine c'était un peu trop nombreux, je n'aurais pas le temps de tous les abattre et je fis donc volteface pour commencer à fuir. Zigzaguant à travers les différentes rues que je connaissais parfaitement j'essayais de les semer, me retournant parfois pour manipuler les vents et leur retirer toute portance afin qu'ils s'écrasent au sol.
Après plusieurs minutes de vol ils n'en restaient plus que quelques uns, mais je commençais à fatiguer et il fallait que j'en finisse au plus vite. M'engouffrant dans une petite ruelle, deux des hiboux restants essayèrent stupidement de me suivre en même temps et ne purent éviter leur collision. Au bruit d'os brisés, je supposais qu'ils avaient du tomber de haut pour finir empaler sur une benne à ordures ou autres. Mais je n'avais pas vraiment le temps de penser à ça, j'étais toujours poursuivis après tout. J'émergeais de la ruelle, jetant un furtif coup d'œil arrière pour m'apercevoir qu'il ne restait plus que deux poursuivants, deux de trop et ils commençaient à me rattraper.
*Ces saletés ne me lâcheront jamais, c'est pas vrai.*
Voyant en face de moi une boucherie, je n'eus pas une seconde d'hésitation et rétractant mes ailes je fis un atterrissage forcé m'écrasant quelque peu contre la façade en amortissant le choc avec les vents. Puis avisant que j'avais deux bêtes mangeuses d'homme derrière moi, je m'engouffrais dans la boutique sous l'œil surprit du propriétaire.
-"Mais qu'est ce que vous faites, vous allez attirer ces foutus oiseaux !"
Il n'avait pas tord, juste à la fin de sa phrase un des hiboux s'amusa à fracasser la vitrine de son bec, essayant d'attraper au passage toutes personnes qui pourraient se trouver à porté de gueule.
-"Excusez moi je vous emprunte ça."
Le boucher me regardant surpris, je lui pris divers couteau à découper la viande sans sa permission.
-"Aujourd'hui c'est steak de hiboux."
Mes yeux devenant bleu océan, une forte bourrasque commença à souffler dans la boucherie, propulsant les diverses lames en direction de l'oiseau, celui-ci se retrouvant perforer de part en part comme une poupée vaudou. j'avais eu de la chance, j'étais fatigué et il était difficile de faire voler avec précision des ustensiles, mais j'étais tout de même parvenu à m'en débarrasser. Sachant qu'il restait toujours un hiboux dehors et ne voulant pas m'expliquer avec le propriétaire, je ressortis vite du magasin m'envolant de nouveau pour attirer au loin le dernier oiseau. Le boucher allait surement râler mais qu'était une petite boutique quelque peu abimée en comparaison aux dizaines d'autres que j'avais protégées en abattant ce monstre ?
Mais il ne fallait pas que je pense à ça, il restait toujours un dernier assaillant et il fallait absolument que je me repose à tout prix. Cette pensée ayant suffit pour me déconcentrer momentanément, je perçu tardivement la présence du hiboux sur ma gauche, esquivant au dernier moment son bec acéré ce qui m'obligea à me poser en catastrophe dans ce qui semblait un parc. Me relevant avec difficulté, je m'avouais être plutôt mal barré, surtout en voyant l'hiboux s'avancer dans ma direction.
*Allez une petite idée Arc, tu as déjà vu pire c'est pas un pigeon qui vas t'embêter.*
Puis un sourire se dessina sur mes lèvres, étais-je bête j'avais tout ce qu'il fallait pour me débarrasser de lui. Je regardais le sable du parc avec contentement et invoquais un tourbillon autour de l'hiboux. Celui-ci prit dans un amas de sable ne voyait plus rien et il commençait déjà à décocher des coups de bec furieux à l'aveuglette. Je profitais alors de ce moment pour m'élever dans les airs et planter dans son crâne un des couteaux que j'avais gardé de la boucherie. Prit d'un spasme, l'oiseau s'effondra à terre et je pu enfin me reposer, m'allongeant par terre pour reprendre mon souffle.
Je laissais passer une dizaine de minutes avant de me relever. Il était temps d'en finir et de faire comprendre à ces troubles-fêtes qu'ils devaient s'en aller. J'avais déjà éclaircie leur rang et il ne leur en faudrait surement pas beaucoup pour leur faire peur. De plus j'étais plutôt énervé qu'il m'ait fait courir ainsi et il était temps d'arrêter de jouer.
Déployant mes ailes je pris mon envol, rejoignant l'endroit précédent où je les avais repéré. Il en restait encore pas mal, mais ils n'avaient plus le réflexe de m'attaquer ce qui m'indiquait qu'ils commençaient à prendre peur. Afin de les faire déguerpir une bonne fois pour toute, je créais une lame d'air aussi tranchante qu'un rasoir, la propulsant vers une des créatures. L'aile coupée nette, l'oiseau battit frénétiquement l'autre pour essayer de se maintenir dans les airs, mais c'était peine perdu.
Enfin pour couronner le tout, j'allais leur faire découvrir une de mes récentes créations. Tendant le bras, les vents commencèrent à se former sous forme d'un cône tournant à très hautes vitesse, puis après quelques secondes ils prirent la forme grossière d'une lance que je lançais aussitôt. L'arme fendant l'air dans un bruit strident, elle vint perforer le thorax d'un hiboux le tuant sur le coup. C'était le coup de grâce et les autres oiseaux avaient eu la faible lueur d'intelligence leur dictant de s'enfuir. Les voyants s'éloigner, je reposais mes pieds à terre. Finalement cette journée n'avait pas été aussi ennuyante que je le pensais, se défouler sur presque une vingtaine de ces pauvres oiseaux m'avait mis de bonne humeur.
*Étrange qu'est ce qui peut bien faire si peur à autant de personnes ?* Me demandais-je.
Les sens aux aguets, je continuais malgré tout ma marche d'un air nonchalant , me dirigeant vraisemblablement vers le danger en question. Les gens qui passaient à mes côtés hurlaient des propos incompréhensibles et de ce que je pouvais en comprendre, ils se référaient à des hiboux. Des hiboux ? Qu'est ce qui pouvait bien être effrayant avec un hiboux.
Toujours en train de marcher, je tournais à l'angle au bout de la rue et je pu de suite avoir une réponse à mon questionnement précédent. Dans les airs, d'immenses hiboux volaient, détruisant tout sur leur passage et vu leurs réactions envers les badauds, ils étaient vraisemblablement carnivores.
*En effet ces gros pigeons pourraient expliquer l'affolement général*
Alors que je continuais d'avancer, me souciant peu de tout cette cacophonie ambiante car cela ne me concernait en aucun cas, un souvenir me revint en mémoire. Les maitres des miroirs n'avaient-ils pas fait une annonce à propos de ces étranges oiseaux, proposant de payer 1pim pour chaque tête qu'un aventurier leur ramènerait ?
Un sourire se dessina sur mes lèvres, voilà qui était intéressant, enfin une bonne raison pour me mêler à tout ça. Mais j'hésitais encore quelque peu à risquer ma peau pour quelques pims, avais-je vraiment une bonne raison pour chasser ces créatures ? Un des oiseaux avait du lire dans mes pensées ou avait été prit d'une soudaine envie de se moquer de moi, car je vis s'écraser devant moi un amas blanc manquant de peu de m'éclabousser. Cette immonde créature avait osé me viser, tenait-elle si peu que ça à sa vie ?
Je relevais la tête dans les cieux pour repérer l'hiboux qui avait osé faire ça et je n'eus pas beaucoup de mal à le repérer. Celui-ci fondait déjà en piqué dans ma direction, croyant faire de moi son prochain repas. Les mains toujours dans les poches, je le regardais froidement le laissant venir à moi, puis au dernier moment, invoquant mon pouvoir je fis soudainement changer le vent de direction déportant l'oiseau sur la droite. L'hiboux essaya tant bien que mal de redresser sa trajectoire, mais il était trop tard. Un piqué raté était un piqué mortel et c'est donc avec un plaisir non dissimulé que je le vis s'écraser à ma droite se fracassant le crâne contre un des poteau électriques. Je me demandais si l'oiseau était vraiment mort sur le coup, mais le poteau brisé s'effondrant sur sa carcasse suffit à me rassurer.
C'était donc décidé, je voulais juste faire une petite ballade mais ils avaient décidé de la gâcher. J'allais leur faire payer cet affront au centuple et en même temps me faire un peu d'argent. Autant allier l'utile à l'agréable.
Déployant mes ailes, je m'élevais aussitôt dans les airs rejoignant leur territoire, ce qui paru leur déplaire fortement. En effet deux créatures visiblement en colère foncèrent sur moi en me voyant.
*Ces créatures sont vraiment stupides, m'affronter sur mon domaine de prédilection.*
Rejouant mon dernier tour de passe-passe, je levais un bras que je fis tournoyer inutilement comme pour imiter un chef d'orchestre. Aussitôt de forts vents commencèrent à souffler et les deux hiboux se percutèrent, s'enlaçant comme un couple dans une valse et pour couronner le tout je m'amusais à les faire tournoyer sur eux même. La situation était plutôt cocasse quand je les regardais, mais je fus déçu de ne pouvoir apprécier ce spectacle que le temps qu'ils s'écrasent au sol, après une chute d'une centaine de mètres.
J'avais du trop en faire car leurs congénères m'ayant repéré, se mirent en bande pour commencer à me pourchasser. A vu d'œil j'en comptais une petite dizaine et je fis aussitôt une grimace. Une dizaine c'était un peu trop nombreux, je n'aurais pas le temps de tous les abattre et je fis donc volteface pour commencer à fuir. Zigzaguant à travers les différentes rues que je connaissais parfaitement j'essayais de les semer, me retournant parfois pour manipuler les vents et leur retirer toute portance afin qu'ils s'écrasent au sol.
Après plusieurs minutes de vol ils n'en restaient plus que quelques uns, mais je commençais à fatiguer et il fallait que j'en finisse au plus vite. M'engouffrant dans une petite ruelle, deux des hiboux restants essayèrent stupidement de me suivre en même temps et ne purent éviter leur collision. Au bruit d'os brisés, je supposais qu'ils avaient du tomber de haut pour finir empaler sur une benne à ordures ou autres. Mais je n'avais pas vraiment le temps de penser à ça, j'étais toujours poursuivis après tout. J'émergeais de la ruelle, jetant un furtif coup d'œil arrière pour m'apercevoir qu'il ne restait plus que deux poursuivants, deux de trop et ils commençaient à me rattraper.
*Ces saletés ne me lâcheront jamais, c'est pas vrai.*
Voyant en face de moi une boucherie, je n'eus pas une seconde d'hésitation et rétractant mes ailes je fis un atterrissage forcé m'écrasant quelque peu contre la façade en amortissant le choc avec les vents. Puis avisant que j'avais deux bêtes mangeuses d'homme derrière moi, je m'engouffrais dans la boutique sous l'œil surprit du propriétaire.
-"Mais qu'est ce que vous faites, vous allez attirer ces foutus oiseaux !"
Il n'avait pas tord, juste à la fin de sa phrase un des hiboux s'amusa à fracasser la vitrine de son bec, essayant d'attraper au passage toutes personnes qui pourraient se trouver à porté de gueule.
-"Excusez moi je vous emprunte ça."
Le boucher me regardant surpris, je lui pris divers couteau à découper la viande sans sa permission.
-"Aujourd'hui c'est steak de hiboux."
Mes yeux devenant bleu océan, une forte bourrasque commença à souffler dans la boucherie, propulsant les diverses lames en direction de l'oiseau, celui-ci se retrouvant perforer de part en part comme une poupée vaudou. j'avais eu de la chance, j'étais fatigué et il était difficile de faire voler avec précision des ustensiles, mais j'étais tout de même parvenu à m'en débarrasser. Sachant qu'il restait toujours un hiboux dehors et ne voulant pas m'expliquer avec le propriétaire, je ressortis vite du magasin m'envolant de nouveau pour attirer au loin le dernier oiseau. Le boucher allait surement râler mais qu'était une petite boutique quelque peu abimée en comparaison aux dizaines d'autres que j'avais protégées en abattant ce monstre ?
Mais il ne fallait pas que je pense à ça, il restait toujours un dernier assaillant et il fallait absolument que je me repose à tout prix. Cette pensée ayant suffit pour me déconcentrer momentanément, je perçu tardivement la présence du hiboux sur ma gauche, esquivant au dernier moment son bec acéré ce qui m'obligea à me poser en catastrophe dans ce qui semblait un parc. Me relevant avec difficulté, je m'avouais être plutôt mal barré, surtout en voyant l'hiboux s'avancer dans ma direction.
*Allez une petite idée Arc, tu as déjà vu pire c'est pas un pigeon qui vas t'embêter.*
Puis un sourire se dessina sur mes lèvres, étais-je bête j'avais tout ce qu'il fallait pour me débarrasser de lui. Je regardais le sable du parc avec contentement et invoquais un tourbillon autour de l'hiboux. Celui-ci prit dans un amas de sable ne voyait plus rien et il commençait déjà à décocher des coups de bec furieux à l'aveuglette. Je profitais alors de ce moment pour m'élever dans les airs et planter dans son crâne un des couteaux que j'avais gardé de la boucherie. Prit d'un spasme, l'oiseau s'effondra à terre et je pu enfin me reposer, m'allongeant par terre pour reprendre mon souffle.
Je laissais passer une dizaine de minutes avant de me relever. Il était temps d'en finir et de faire comprendre à ces troubles-fêtes qu'ils devaient s'en aller. J'avais déjà éclaircie leur rang et il ne leur en faudrait surement pas beaucoup pour leur faire peur. De plus j'étais plutôt énervé qu'il m'ait fait courir ainsi et il était temps d'arrêter de jouer.
Déployant mes ailes je pris mon envol, rejoignant l'endroit précédent où je les avais repéré. Il en restait encore pas mal, mais ils n'avaient plus le réflexe de m'attaquer ce qui m'indiquait qu'ils commençaient à prendre peur. Afin de les faire déguerpir une bonne fois pour toute, je créais une lame d'air aussi tranchante qu'un rasoir, la propulsant vers une des créatures. L'aile coupée nette, l'oiseau battit frénétiquement l'autre pour essayer de se maintenir dans les airs, mais c'était peine perdu.
Enfin pour couronner le tout, j'allais leur faire découvrir une de mes récentes créations. Tendant le bras, les vents commencèrent à se former sous forme d'un cône tournant à très hautes vitesse, puis après quelques secondes ils prirent la forme grossière d'une lance que je lançais aussitôt. L'arme fendant l'air dans un bruit strident, elle vint perforer le thorax d'un hiboux le tuant sur le coup. C'était le coup de grâce et les autres oiseaux avaient eu la faible lueur d'intelligence leur dictant de s'enfuir. Les voyants s'éloigner, je reposais mes pieds à terre. Finalement cette journée n'avait pas été aussi ennuyante que je le pensais, se défouler sur presque une vingtaine de ces pauvres oiseaux m'avait mis de bonne humeur.
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