[Jour des dieux - Scénario] Fondations

Nij pesta lorsqu'il vit la réaction en chaine provoquée par le lou-loup. Le Maitre hurla de prendre la fuite et pris le parti de se diriger vers le couloir non loin d'eux. Son masque lui permettait de ne pas respirer les volutes de fumées et autres joyeusetés. Mais leur répit fut de courte durée puisqu'une vague de petits lézards virent leur rentrer dedans, les emportant dans leur sillage.

L'oiseau semblait avoir fait corps avec les parois tant il se heurtait à elles souvent. Son regard était plus que paniqué et tout cela se mêlait en une joyeuse mélodie douloureuse. Leur calvaire pris fin dans une nouvelle caverne tout aussi sombre. Une fois à terre, le Maitre se relève et s'étire, cherchant à chasser cette douleur gênante.

On ne voyait rien du tout pas même le plafond qui devait culminer bien haut. Essoufflé par le manque d'oxygène, l'oiseau vert pose son sac et profite de cet instant d'hébétement pour boire un peu. Il cherche ensuite sa lampe qui pendait lentement à sa ceinture, soufflant de soulagement de ne pas l'avoir perdue. Il l'allume et tente de comprendre la caverne. Mais le silence est vite rompu par le sanctuari qui semblait énervé. Y savait pas tenir en face lui.

Nij fronça les sourcils et attrapa le bras du démon mal en point. Il enlève son masque qui découvre des lèvres pincées. Son regard est froid, autoritaire, une autorité de Maitre.

Tu te calmes tout de suite et tu arrêtes de hausser le ton. Je ne tolèrerais pas de disputes durant cette mission, ordre du Maitre de Souen.

Sur ces mots, il lâche le bras du sanctuari avant de regarder ses comparses tour à tour.

Dois-je vous rappeler qu'on est là pour trouver un moyen d'observer ce truc qui rôde sous le temple ? Donc avant de faire quoi que ce soit d'inconsidéré, merci de venir en parler aux autres.

Il soupire et passe une main dans ses cheveux emmêlés.

Pour l'heure, je propose une exploration minutieuse de la caverne sans déclencher une autre catastrophe. Faites attention, il semble y avoir des différences de dénivelé assez importantes.

Après quoi il tend le faisceau de lumière devant lui et avance doucement, à taton dans cette obscurité angoissante. Il souhaitait trouver une brèche dans la paroi pour pouvoir sortir d'ici. Il ne savait même pas où ils se trouvaient actuellement. Sa main se pose sur ce qui semblait être la paroi de la caverne. Doucement, grâce à sa lampe, il observe les aspérités de la roche tout en écoutant la douce mélodie de l'eau.

Se laissant guidé par sa main, il fait le tour de ce qui s'avérait être un pilier assez immense. Puis il s'avance avec prudence, faisant attention aux différences de dénivelé.

C'est au moment où j'entendis l'immense champignon tomber que je me rendis compte de mon erreur. Il bloquait la seule sortie connue vers la surface et la fumée dégagé remplis vite tout l'espace rendant l'air irrespirable.

Je me dirigeais vers mes compagnons quand le champignons sur lequel j'étais chuta, m’entraînant avec lui. Heureusement il amorti ma chute, je m'en étais sorti sans trop d'hématome... du moins je le pensais.

Une immense vague de petits lézard blanc me fonça dessus, m'entrant avec eux dans les galerie. Ce fut interminable. Les lézards me projetaient sur les murs aux parois tranchantes ou me marchaient dessus dans leur fuite de mon feu de champignon.

Puis le calvaire s'arrêta, enfin tout du moins les lézards. Ils m'avaient laissé sur une surface irrégulière mais qui elle au moins ne bougeait pas.
Je repris mon souffle de toute la fumée avalé mais ma respiration me faisait mal à la poitrine. Les dizaines de coupures constellaient mon corps, mon pantalon était déchiré par endroit.

Azarion vint me réprimander. Je compatis en voyant ses ailes complètement en morceaux ne tenant même plus derrière son dos. Je ne savais pas quoi lui répondre. Heureusement le phénix remis les pendules à l'heure et suggéra d'explorer un peu cette nouvelle salle.

Aucun cristaux ne diffusé de lumière pour créer de la pénombre ce qui allait compliquer l'affaire. Je fouilla mon sac afin de vérifier si je n'avais pas quelque chose qui pourrait aider.

Le Feu follet pourrait être utile. Il indiqua l'autre coté de la salle. Nij avait une lampe et commença à vérifier les murs. Je sorti une petite flamme au niveau de mon pouce, comme pour imiter un briquet, et parti vers le centre de la salle.
Le sol semblait converger vers ce point, j’avançais à quatre pattes afin que la marche soit plus facile sur ce sol inégale et parfois glissant.

En marchant je sentis de l'eau sous mes mains. En me concentrant j'entendis un faible son d'eau qui coule mais sans savoir d'où cela provenait.

Je vis mes deux camarades se séparer... Je mis ma main sur mon visage #facepalm et observa avec beaucoup d'attention ce que je pouvais voir...
Kray s'enfonce au centre de la pièce, des genres tranchées faites par l'eau descendent avec lui, mais, au lieu de rétrécir où de garder sensiblement la même largeur, comme une rivière, celles-ci augmentent de plus en plus, et ça, c'est pas normale.. De plus, Nij lui a trouvé une étrange roche, beaucoup trop lisse, presque comme si elle avait, était taillé, puis polie pour faire une sorte d'outils où d'arme, une telle roche ne pouvant pas être comme ça naturellement, ou bien, c'est quelque-chose d'autre, comme si elle a "poussé" pour être comme ça...
Je finis par lever la tête, pour contempler les pointes qui n'attendaient qu'un bruit de trop pour tomber.. Je venais alors de réaliser l’erreur, mon erreur, qui nous auraient étais fatale il y a quelques secondes, cette vue est limite terrifiante.

Je sors une de mes griffes qui s'agrippe, je ne sais plus son nom... Et glisse jusqu'au niveau de Kray, et me stoppes en utilisant la griffe qui m'arrête net, mes ailes sont impossible à contrôler, une glisse à côté de moi, l'autre tombe dans le dos de Kray. Je pose ma main sur le torse de Kray, j’approche ma tête de son oreille et je lui chuchote des choses sales :

"Je ne pense pas qu'il soit sage de nous séparer, et l'autre machin vert n'est pas vraiment en train de descendre avec toi... Si tu veux vraiment descendre, est-ce que tu pourrais jeter une flamme vers le centre de la pièce ? Histoire de ne pas être surpris par un imprévu."

Je me tourne pour voir ce que fait l'autre avec son rochet chelou.

Nij regarde un instant où son les deux autres. Puis il revient sur son exploration un peu frileuse. La simple idée de savoir sa vie en danger ne l'enchantait guère. D'autant plus que la bonne entente du groupe ne tenait qu'à un fil entre un démon psychopathe et un loup pyromane. Etait-il le seul ici à avoir la tête sur les épaules ? Le Maitre, qui avait remis son masque pour éviter les restes de gaz toxique et en prévision d'une autre catastrophe, passait toujours une main prudente sur ces grandes colonnes. Il cherchait à trouver quelque chose d'assez intéressant pour convaincre ses coéquipier de faire attention, surtout l'autre poulet géant là.

Le moinal vert s'arrête un instant, écoutant l'eau bruisser autour de lui. Si on omettait l'aspect mortel de la mission, l'endroit était plutôt agréable à vivre. Calme et paisible, sans une once de colonisation par quelconque animal intelligent. Un endroit réellement pur de toute civilisation. Un endroit coupé du monde et du temps. Mais il ne resta pas longtemps dans ses pensées. quelque chose sous sa main attira son attention.

Le jeune homme se penche et observe de plus près ce sur quoi il avait mit la main. Un morceau de métal recouvert de sédiments. D'un rapide coup de main, il déblaie le morceau de métal qui s'éclaire lorsque la lumière de sa lampe vient frapper dessus. Doucement, il passe la main dessus, étonné de trouver quelque chose de semblable à cette profondeur. C'est bien dommage qu'il n'ait rien pour fouiller plus amplement la chose. Sortant sa gourde, il verse un peu d'eau sur le métal. Aussitôt, la terre autour devient de la boue qu'il n'a aucun mal à dégager.

Le morceau de métal était saillant. Il ne se risqua pas à tirer dessus, de peur qu'il ne soit accroché à quelque chose de beaucoup moins gentil. La texture qu'il abordait semblait être la même que celle qu'il avait étudiée avant de rentrer dans les entrailles de la terre. A genoux, il continue à déblayer autour du morceau de métal, lui découvrant toujours plus de surface. Cette texture calcaire... La même que celle du temple. La même que les restes de ce monstre endormi. Se trouvaient-ils sur son dos où s'agissait-il d'une de ses mues ? Ou alors juste un reste de son passage dans ces entrailles.

Avec tout le boucan qu'ils avaient fait, à n'en pas douter qu'ils l'avaient dérangé. Se relevant prudemment, le Maitre pointe sa lampe sur les deux autres énergumènes et s'évertue à l'éteindre et la rallumer rapidement, leur faisant signe de venir.

Il sorti également le cube rubis de son sac. Ce dernier se mit à briller doucement. d'une lueur verte. Ils n'étaient pas loin de ce qu'ils cherchaient. Bien qu'ils étaient censés trouver un poste d'observation au lieu de se balader dans une salle aussi grande.
S'accroupissant de nouveau, Nij laisse la lumière se refléter sur les aspérités de ce morceau de métal. Il espérait que ses conclusions étaient fausses. Il espérait que ce ne fusse qu'un morceau de métal perdu ici bas qu'ils pourraient dégager et remonter à la surface.

Le Maitre continua à déblayer la chose, utilisant l'eau des ruisseaux à côté de lui. La terre se mêlait à la pierre qui se mêlait à cette chose.

Azarion m'avait rattrapé. En effet se séparer n'était pas la meilleur idée qu'il soit mais la présence de ce cratère au milieu de la pièce continué de me déranger.

A peine commençais-je à rebrousser chemin que Nij nous interpella à l'aide de sa lampe, m'éblouissant à moitié au passage mes yeux commençant à s'habituer à l'obscurité. Je marchais donc vers lui, toujours à quatre pattes et une fois arrivé je me relevé et resté le plus près du mur possible.

Il avait découvert un morceau de ce qui semblait être du métal au vue de l'aspect brillant que reflété la lumière. Il était beaucoup trop lisse pour être naturel mais il était apparemment emprisonné dans la roche. Le Maître continuait d'enlever les sédiments qui le recouvrait. Cependant en regardant au pied de ce bout de métal, il semblait encore continuer en dessous de nous.

De ce que nous savions de la créature elle avait une carapace métallique comme si elle avait était fait de fil tressé. J'essayé de repéré se motif sur le métal mais il ne me sembla pas le remarqué mais j'avais encore l'esprit embrumé par la fumée inspiré.

- Ce bout de métal est étrange mais je n'arrive pas à savoir s'il appartient à la créature que nous recherchons ou non. Mais j'ai cru voir un cratère au centre de la pièce, je vais écouter pour savoir si rien ne se trouve là-bas

Je m'assis dos au mur à coté de la structure encore inconnu et ferma les yeux essayant de me concentrer sur les bruits ambiants. A part le son calme de l'eau qui n’arrêtait pas de couler et des mouvements de mes coéquipiers rien ne sortait de l'ordinaire pour une grotte.

Le son était d'ailleurs si doux à l'oreille que je me surpris à somnoler légèrement.

Une onde traversa la salle, réaction logique de l'environnement, le son de cliquetis terrifiant des stalactites et de l'eau qui en gouttait frénétiquement remplis la salle. Il y eut une déchirure comme la roche s'arrachant à la montagne avant de dévaler son flanc. A quelques mètres des aventuriers un stalactite gros comme un éléphant et trois fois plus lourd s'écrasa au sol. Le son se répercuta en écho dans toute la salle et ce fut l'avalanche.

Des pointes de roches plus grosses les unes que les autres se détachaient du plafond et sombraient vers les ténèbres. Des éclats de pierres se répandirent dans la salle, la marée dura plusieurs minutes.
Les aventuriers eurent la bonne idée de rester près des parois. Les murs étaient sûrs, solides et peu fissurés.

Lorsque les ténèbres se dissipèrent et qu'une mer de débris et de roches se révéla à leurs yeux. Un nouveau son emplit la salle.

-Hausse de température détectée.

Une voix féminine et robotique émanait de partout à la fois.

-Enclenchement du système de refroidissement. Evacuation de la zone.

Les murs tremblèrent et là où ils rejoignaient les bords du cratères, des pans entiers de roches se soulevèrent à un rythme parfait. Un rythme mécanique. Révélant des cavités larges d'un mètre chacune et espacées de deux, elles produirent un gargouillis humide et grave.

-Inspirez profondément et tenez fermement vos effeeets...

La voix partie d'un grave aléatoire et mourut aussitôt.

Je regarde à nouveau le machin vert, et me prends plusieurs flashes dans les yeux... J'avais oublié à quel point cela est désagréable ! Et je ne le cache pas.
Bon... Nous remontons vite fait pour arriver devant la chose, une pointe de métal, mais elle est étrange.. Je m'approche et touche ce truc... Je réfléchis a voie haute :

"Métal tressé... La résistance de ce truc doit être incroyable.. Même les flammes aurons beaucoup de mal à en venir a bout.. Cela ne peut être de l'acier, sinon la rouille aurait tout détruit, cuivre non plus.. Mais les alliages n'existent pas à l'état naturel.. Je doute que cela ait "poussé" naturellement..

Je senti une onde plus forte, mais n'y prêta pas attention... Soudain ! Mes pensées se brisèrent avec la stalactite qui tomba non loin ! Je me plaquais alors contre le mur assis, car de la surprise qui en découla une peur je n'eu le temps de me relever. Le fracas incroyable résonna dans toute la grotte, et les centaines d'autres tombèrent à leurs tours !
Mon cœur battait à tout rompre, par miracle, il n'y en avait pas au-dessus de nous, mais ce n'était pas loin..
Une fois fini, je me relève doucement.

"Bon, bah, ça, c'es..."

Une voix robotique s'éleva alors, venant de partout à la fois. Élévation de température ? C'est forcément de nous qu'elle parle, c'est donc une machine.
La machine donc, ne semble pas pouvoir finir ce qu'elle annonce, mais si elle avait pue, ça serait mal passé pour nous, je pense...
Je réfléchis quelques secondes.. Nous devons descendre.

"Oooookay ? Bon... C'est donc une machine... Je propose que nous descendions vers le centre, voire si on peut aller à un étage inférieur, histoire de retrouver le dessous de ta pointe de métal, c'est toutes façons ce que nous allions faire avec Kray."

Je regardais mes pieds pour m'assurer de quelque chose.. Oui, les rainures dans le sol étaient plus petites que là où nous étions avec Kray.. Ce n'était pas si flagrant mais bien visible.
Je commençais à partir très pensif, toujours à voie haute...

"Ce truc a besoin de garder une température basse où que se soit... C'est bien de nous qu'elle parlait.. Enfin, surtout de cet incendie à l'étage.... Mais..."

Je m'arrête net et regarde le plafond avec beaucoup d’attention.

"Pour refroidir vite, l'eau, c'est pas mal... Et c'est simple à trouver... HOOooow ! Toutes façons, nous ne pouvons pas monter, et il vaut mieux que nous avancions avant qu'elle n'arrive à balancer le lac dans les galeries. Si il le faut j'utiliserais mon portail pour sortir, elle risque sûrement de faire une "annonce" avant de faire quoi que se soir."

J'haussais les épaule vite fait et repris ma route vers le centre de le pièce. tachant de percevoir une, ou plusieurs sortie, en son centre, ou sur les murs de la salle.

Nij se pinçait l'arête du nez. Tout ceci commençait sérieusement à se compliquer. Pourtant, l'objectif de base était juste de faire de l'observation et de l'exploration. Pourquoi le destin s'acharnait-il sur eux ? Une violente secousse le plaqua au mur. Paniqué, il fit tomber sans lampe qui vint éclairer un bien triste spectacle. Les stalactites accrochées au plafond se décrochèrent sous les secousses et vinrent s'écraser au sol.

L'oiseau respirait fortement, grandement effrayé pour sa vie. Il savait qu'il n'aurait pas dû prendre cette mission. Un jour, son amour pour l'argent allait le tuer.
Il écouta le sanctuari qui, pour une fois, n'émettait pas d'idées stupides. Ces secousses furent accompagnées de voix robotiques. quoi ? Une installation robotique là dessous ? Lui qui pensait que le seul truc technologique de ce monde était Cerclon.

Rapidement, il se leva et regarda ses compagnons. Il avait toujours son masque. Il ramassa sa lampe et observa un court instant les cavités dans le mur. Comme le disait Agua, cela n'envisageait rien de bon et il est fort probable qu'ils se fassent engloutir sous des trombes d'eau, broyés comme des chips.

Je pense que nous avons intérêt à dégager d'ici et rapidement. Deux choix s'offrent à nous, emprunter ces boyaux, dit-il en montrant les cavités, ou alors foncer vers le centre de la caverne en espérant y trouver quelque chose pour se mettre à l'abri. Si tes paroles s'avèrent juste, Agualarion, nous allons mourir sous de la flotte.

Il réfléchit un instant avant de sortir ses A-griffes de son sac sans fond.

Après on peut toujours grimper et espérer que l'eau de montera pas jusqu'au plafond.

Mais il n'eut pas le temps de finir ses mots que le sanctuari se mettait déjà en route vers le centre de la caverne. Il écoutait et prenait le temps de réfléchir ou pas ? Nij soupira et passa une main dépitée sur son visage. Il allait tous les tuer à prendre des décisions sans se concerter. Cela finissait d'énerver le Maitre. Il pris cependant la décision de ne pas suivre le sanctuari, pour une fois, et se contenta de commencer à escalader la paroi. Si l'autre débile voulait mourir c'était pas son problème.

Un tremblement énorme ébranla toute la salle ce qui entraîna la chute de centaines de stalactites. Par chance aucune de nous tomba dessus et nous restions bien à l'abri près des murs. Et puis ... Une voix robotique ?

Qu'est ce qu'une installation de haute technologie venait faire à coté d'un temple aussi vieux que ce monde ? Pas le temps de chercher des réponses pour l'instant il y avait une hausse de température...

Sérieusement pourquoi il avait fallu que je sorte mes flammes, elles n'apportaient que des ennuis. Les murs de la salle se soulevèrent laissant apparaître de large canalisations. Apparemment c'était ca le système de refroidissement. La voix ne pu terminer son discours... bien dommage elle aurait pu indiquer les sorties de secours.

Tous les murs s'étaient surélevé, aucun moyen de fuir, et tout ce qui allait sortir de ces conduits aller finir au centre de la salle dans un cratère que laisser voir lla faible lumière produit par les canalisations high-tech.

Azarion fonça vers le centre tandis que le Maitre du Mirroir grimpa. C'était bien le meilleur moment pour se séparer tiens.

- Azarion, l'eau va aller au centre de la pièce tu seras englouti reviens, lui criais-je Essaye de diminuer la gravité sous toi ca pourrait te permettre de "marcher" sur l'eau peut être au moins.

J'entendais un vrombissement de plus en plus fort venir des tuyaux. Ni une ni deux je pris les A-Griffes de mon sac et sauta sur les parois. Heureusement elles ne s'étaient pas trop relevées et j'escalader le plus vite possible afin de mettre le plus de distance entre moi et ce qui allait arriver.