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Need a medic ?
Lun 9 Aoû - 21:41
Le trajet en carriole jusqu'aux portes d'Entre-Monde fut des plus inconfortables et je me demande si nous n'aurions pas eu plus vite fait de nous en retourner à pied. Au moins, nous avions préservé nos forces restantes, ce qui nous fut des plus utile pour atteindre les fumerolles à travers les ruelles passantes de la ville. ce n'est que tard le soir que nous arrivâmes au Sanctuaire des Braves, las, nos plaies nettoyées tant bien que mal avec l'eau de nos gourdes et pansées avec un morceau de cape que j'avais déchiré. Cette cape commençait à ne plus ressembler à grand chose, j'allais peut être devoir me résigner à en changer un jour.
Clopin clopant, nous passâmes les portes et fûmes accueillis par des regards intrigués : il était plutôt inhabituel que les patients arrivent d'eux même par la grande porte, surtout si ceux-ci avaient un bras à moitié déchiré par les crocs d'un félin. Quelques goutes de mon sang vinrent décorer le sol de cet hôpital avant que nous soyons pris en charge par une infirmière d'accueil.
"Bonjour. Venez par ici, nous allons nous occuper de vous. Que vous est-il arrivé ?"
"Je me suis fait mordre par un.. un gros chat."
Cette remarque que j'avais voulu humoristique pour essayer de me détendre me valut un regard noir et l'infirmière nous indiqua une petite salle, derrière une porte vitrée.
"Asseyez vous là pour patienter. Nous allons vous prendre en charge, ce ne sera pas long. Vous pouvez vous allonger si vous le désirez."
Je lui adressai un sourire en guise de remerciement et pris place sur un fauteuil qui faisait face à la porte. Mon bras m'élançait de plus en plus et je craignais que la blessure ne se soit infectée ; nous avions pourtant fait au plus vite. Je n'aimais pas les hôpitaux, cliniques, dispensaires et autres sanatoriums ; l'idée même de confier ma vie aux mains de quelqu'un d'autre me mettait on ne peut plus mal à l'aise.
Clopin clopant, nous passâmes les portes et fûmes accueillis par des regards intrigués : il était plutôt inhabituel que les patients arrivent d'eux même par la grande porte, surtout si ceux-ci avaient un bras à moitié déchiré par les crocs d'un félin. Quelques goutes de mon sang vinrent décorer le sol de cet hôpital avant que nous soyons pris en charge par une infirmière d'accueil.
"Bonjour. Venez par ici, nous allons nous occuper de vous. Que vous est-il arrivé ?"
"Je me suis fait mordre par un.. un gros chat."
Cette remarque que j'avais voulu humoristique pour essayer de me détendre me valut un regard noir et l'infirmière nous indiqua une petite salle, derrière une porte vitrée.
"Asseyez vous là pour patienter. Nous allons vous prendre en charge, ce ne sera pas long. Vous pouvez vous allonger si vous le désirez."
Je lui adressai un sourire en guise de remerciement et pris place sur un fauteuil qui faisait face à la porte. Mon bras m'élançait de plus en plus et je craignais que la blessure ne se soit infectée ; nous avions pourtant fait au plus vite. Je n'aimais pas les hôpitaux, cliniques, dispensaires et autres sanatoriums ; l'idée même de confier ma vie aux mains de quelqu'un d'autre me mettait on ne peut plus mal à l'aise.
- Spoiler:
- Noryan et moi avons besoin de soins pour blessures légères et saignantes s'il vous plait. Y-t-il un bon docteur qui voudrait nous les prodiguer ? =)
- Ravëfanwen
- Suivi : Fiche - Carnet de bord
Titre : Héros
Race : Druchii
Statut : Nix Nivis
Messages : 432
Titre débile : Maître Assassin par défaut
Re: Need a medic ?
Mar 10 Aoû - 21:12
Une pure folie... Non mais je venais de redescendre pour leur donner un coup de main parce qu'avec le manque de personnel s'était de la pure folie.
Enfilant ma blouse tout en me dirigeant vers la bulle d'accueil où je saisis à la volée le dossier que me tendit Stéfanie tout en me criant:
"Salle n°4!"
"Merci!"
Tout en saisissant au passage une paire de gant en latexe, j'entre dans la salle d'un pas vif et d'où on pouvait noté l'urgence dans lequel ce trouvait... Bé les urgences, je prends une inspiration et d'une voix calme je lance:
"Bien le bonjour à vous, Guérisseuse Mireamwen que puis-je..."
Mon regard tombe sur la silhouette assise se tenant le bras et je reconnais sans mal Ravefanwen Lorandara. Un petit sourire se dessine sur mes lèvres alors que j'enfile mes gants tout en saisissant un tabouret sur lequel je m'assois après avoir approché la table où se trouvait le nécessaire à guérison.
"Je pensais pas vous revoir si vite."
Je lève la main pou me saisir du bras blessé, je pose doucement ma main sur le morceau de cape qui enveloppe la blessure et reprend:
"Je vais devoir enlevé ça pour évaluer la blessure."
Tout en parlant, je commence à enlevé ledit tissus, j'oriente mon don et ressens la douleur provoqué par la plaie et sans l'avoir vu je demande:
"Morsure? Vous vous êtes battues avec un lion?"
Je pousse un léger soupir et saisit de ma main libre un flacon contenant un liquide transparent que j'applique directement sur le tissus afin qu'il n'adhère et colle pas à la peau:
"J'espère être à vos yeux à la hauteur de mon père."
Enfilant ma blouse tout en me dirigeant vers la bulle d'accueil où je saisis à la volée le dossier que me tendit Stéfanie tout en me criant:
"Salle n°4!"
"Merci!"
Tout en saisissant au passage une paire de gant en latexe, j'entre dans la salle d'un pas vif et d'où on pouvait noté l'urgence dans lequel ce trouvait... Bé les urgences, je prends une inspiration et d'une voix calme je lance:
"Bien le bonjour à vous, Guérisseuse Mireamwen que puis-je..."
Mon regard tombe sur la silhouette assise se tenant le bras et je reconnais sans mal Ravefanwen Lorandara. Un petit sourire se dessine sur mes lèvres alors que j'enfile mes gants tout en saisissant un tabouret sur lequel je m'assois après avoir approché la table où se trouvait le nécessaire à guérison.
"Je pensais pas vous revoir si vite."
Je lève la main pou me saisir du bras blessé, je pose doucement ma main sur le morceau de cape qui enveloppe la blessure et reprend:
"Je vais devoir enlevé ça pour évaluer la blessure."
Tout en parlant, je commence à enlevé ledit tissus, j'oriente mon don et ressens la douleur provoqué par la plaie et sans l'avoir vu je demande:
"Morsure? Vous vous êtes battues avec un lion?"
Je pousse un léger soupir et saisit de ma main libre un flacon contenant un liquide transparent que j'applique directement sur le tissus afin qu'il n'adhère et colle pas à la peau:
"J'espère être à vos yeux à la hauteur de mon père."
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Need a medic ?
Jeu 12 Aoû - 16:58
Après ce voyage en carriole jusqu’à l’entrée d’Entre-Monde, voyage qui d’ailleurs n’était pas très plaisant mais vu les circonstances, nous ne pouvions pas nous permettre d’être exigeants. Donc, arrivés à Entre-Monde, nous nous dirigions vers la porte des Fumerolles la plus proche afin d’atteindre le fameux Sanctuaire des Braves au moment où le Soleil était bas dans le ciel annonçant l’approche de la nuit. Nous avions pansé tant bien que mal nos blessures pour éviter qu’elles ne s’aggravent durant le trajet.
Je suivais Ravëfanwen sans faire trop attention par où nous passions et qui nous croisions. Ce qui comptait, était de trouver le dit Sanctuaire. Marchant comme je pouvais avec mon mollet lacéré, je boitais pour passer la porte du Sanctuaire et après quelques pas, une infirmière vint à notre rencontre.
"Bonjour. Venez par ici, nous allons nous occuper de vous. Que vous est-il arrivé ?"
"Je me suis fait mordre par un... un gros chat."
Pas besoin de répondre. Pour dire quoi après tout ? J’avais enduré la même chose que Ravëfanwen, seules les parties du corps touchées différaient.
Si elle voulait se trouver drôle, c’était raté à en juger par le regard de l’infirmière qui nous indiquait alors une salle.
"Assoyez-vous là pour patienter. Nous allons vous prendre en charge, ce ne sera pas long. Vous pouvez vous allonger si vous le désirez."
D’un bref signe de tête je la remerciais, puis Ravëfanwen s’installa dans un fauteuil, face à la porte. Pour ma part je me rendis du coté du lit, séparé de la première moitié de la pièce par un rideau, ne faisant voir que le pied. Je m’asseyais doucement sur le lit, posais mes lunettes encore intactes sur la petite table à coté du lit, parmi d’autres ustensiles de soin, et allongeais mon corps endolori. Manœuvre qui avait réussi à me tirer deux-trois grimaces. Je fermais les yeux et alors que ma tête rencontrait le contact moelleux de l’oreiller, j’entendis une personne entrer dans la salle en se présentant.
"Bien le bonjour à vous, Guérisseuse Mireamwen que puis-je..."
Elle ne finissait pas sa phrase pour une raison que j’ignorais. La suite de la conversation parvenait peut-être à mes oreilles, mais ayant fermé les yeux mon esprit était parti à la dérive. Un souvenir tout récent revenait se faire entendre. Peu après que nous soyons montés dans la carriole, j’avais perçu un cri de douleur et de tristesse sortant de la forêt. Pas besoin de réfléchir pour savoir qui pouvait pousser un tel cri, mon adversaire était sortir de son sommeil et avait trouvé l’autre félin, non loin de lui, mort.
Ce souvenir faisait naître en moi un sentiment de tristesse mêlé à un sentiment de colère envers le geste de Ravëfanwen. Une larme que je ne pu retenir, coula de mon œil pour se promener sur ma joue. Larme causée non par la douleur de mes blessures, mais par la tristesse de ce souvenir.
Tout en essayant de faire taire la colère qui s’était éveillé en moi, je ne pouvais voir que de petits objets, léger, commençaient à léviter de quelques centimètres. Comme mes lunettes et certains objets de soin se trouvant proches de moi.
Je suivais Ravëfanwen sans faire trop attention par où nous passions et qui nous croisions. Ce qui comptait, était de trouver le dit Sanctuaire. Marchant comme je pouvais avec mon mollet lacéré, je boitais pour passer la porte du Sanctuaire et après quelques pas, une infirmière vint à notre rencontre.
"Bonjour. Venez par ici, nous allons nous occuper de vous. Que vous est-il arrivé ?"
"Je me suis fait mordre par un... un gros chat."
Pas besoin de répondre. Pour dire quoi après tout ? J’avais enduré la même chose que Ravëfanwen, seules les parties du corps touchées différaient.
Si elle voulait se trouver drôle, c’était raté à en juger par le regard de l’infirmière qui nous indiquait alors une salle.
"Assoyez-vous là pour patienter. Nous allons vous prendre en charge, ce ne sera pas long. Vous pouvez vous allonger si vous le désirez."
D’un bref signe de tête je la remerciais, puis Ravëfanwen s’installa dans un fauteuil, face à la porte. Pour ma part je me rendis du coté du lit, séparé de la première moitié de la pièce par un rideau, ne faisant voir que le pied. Je m’asseyais doucement sur le lit, posais mes lunettes encore intactes sur la petite table à coté du lit, parmi d’autres ustensiles de soin, et allongeais mon corps endolori. Manœuvre qui avait réussi à me tirer deux-trois grimaces. Je fermais les yeux et alors que ma tête rencontrait le contact moelleux de l’oreiller, j’entendis une personne entrer dans la salle en se présentant.
"Bien le bonjour à vous, Guérisseuse Mireamwen que puis-je..."
Elle ne finissait pas sa phrase pour une raison que j’ignorais. La suite de la conversation parvenait peut-être à mes oreilles, mais ayant fermé les yeux mon esprit était parti à la dérive. Un souvenir tout récent revenait se faire entendre. Peu après que nous soyons montés dans la carriole, j’avais perçu un cri de douleur et de tristesse sortant de la forêt. Pas besoin de réfléchir pour savoir qui pouvait pousser un tel cri, mon adversaire était sortir de son sommeil et avait trouvé l’autre félin, non loin de lui, mort.
Ce souvenir faisait naître en moi un sentiment de tristesse mêlé à un sentiment de colère envers le geste de Ravëfanwen. Une larme que je ne pu retenir, coula de mon œil pour se promener sur ma joue. Larme causée non par la douleur de mes blessures, mais par la tristesse de ce souvenir.
Tout en essayant de faire taire la colère qui s’était éveillé en moi, je ne pouvais voir que de petits objets, léger, commençaient à léviter de quelques centimètres. Comme mes lunettes et certains objets de soin se trouvant proches de moi.
Re: Need a medic ?
Dim 15 Aoû - 20:59
Noryan s'était allongé avant que le médecin ne fasse irruption dans la pièce ; un visage familier qui me fit légèrement sourire malgré la douleur que m'infligeait mon bras. Elle défit le bandage de fortune que je m'étais fabriqué à l'aide d'un produit incolore. Je ne ressentis qu'une légère résistance lorsqu'elle retira le tissus, mais aucune douleur supplémentaire due à l'opération c'Aliénor. Cependant, si je n'eus pas mal, la médecin, elle, semblait ressentir une profonde douleur car son expression se modifia lorsqu'elle tint mon bras entre ses mains ; si elle n'avait pas été habituée à masquer ce genre de ressenti, je gage qu'elle aurait affiché des traits aussi tirés que les miens.
"Je ne saurais vous dire exactement contre quel animal nous avons lutté, une panthère, peut être. Elles avait tout d'un félin, jusque dans la manière de chasser."
Cette phrase me fit sourire. Je me voyais comme une proie ayant échappé à une mort quasi certaine et qui venait raconter son aventure à ses semblables. Je trouvais également amusant qu'elle cherche à se comparer à son père à mes yeux ; n'aurais-je pas fait la même chose à une certaine époque ? N'avais-je pas cherché à ressembler à mon père jusqu'à vouloir laver son honneur en tuant celle qui l'avait fait exécuter ? A différents niveaux, nous étions peut êtres plus proches, Aliénor et moi, que ce que les apparences ne le laissaient croire.
"Tôt ou tard, l'élève finit par dépasser le maître. Votre père m'avait impressionné par sa maîtrise de soi à l'époque ; vous semblez exceller dans votre art tout autant que lui."
J'avais conscience que mes mots n'étaient pas très clairs, mais la douleur me faisait balbutier quelques paroles irréfléchies. Il ne fallait pas qu'elle en oublie le Sanctuari ; je le lui rappelais, bien que consciente que j'étais en train de dire à un médecin ce qu'elle devait faire, et ce au sein même de son propre hôpital.
"Mon compagnon de chasse a lui aussi besoin de soins, ne l'oubliez pas, Demoiselle Aliénor."
"Je ne saurais vous dire exactement contre quel animal nous avons lutté, une panthère, peut être. Elles avait tout d'un félin, jusque dans la manière de chasser."
Cette phrase me fit sourire. Je me voyais comme une proie ayant échappé à une mort quasi certaine et qui venait raconter son aventure à ses semblables. Je trouvais également amusant qu'elle cherche à se comparer à son père à mes yeux ; n'aurais-je pas fait la même chose à une certaine époque ? N'avais-je pas cherché à ressembler à mon père jusqu'à vouloir laver son honneur en tuant celle qui l'avait fait exécuter ? A différents niveaux, nous étions peut êtres plus proches, Aliénor et moi, que ce que les apparences ne le laissaient croire.
"Tôt ou tard, l'élève finit par dépasser le maître. Votre père m'avait impressionné par sa maîtrise de soi à l'époque ; vous semblez exceller dans votre art tout autant que lui."
J'avais conscience que mes mots n'étaient pas très clairs, mais la douleur me faisait balbutier quelques paroles irréfléchies. Il ne fallait pas qu'elle en oublie le Sanctuari ; je le lui rappelais, bien que consciente que j'étais en train de dire à un médecin ce qu'elle devait faire, et ce au sein même de son propre hôpital.
"Mon compagnon de chasse a lui aussi besoin de soins, ne l'oubliez pas, Demoiselle Aliénor."
- Ravëfanwen
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Re: Need a medic ?
Mar 17 Aoû - 12:46
"Compagnon de..."
Tenant le bras toujours dans une de mes mains, je me retourne pour voir le rideau tiré, je fronce les yeux, pourtant j'aurai du le sentir, il y a effectivement deux sorte de douleur ici... Posant avec délicatesse le bras blessé, je pose une compresse dessus pour que la plaie de reste pas à vif dans un premier temps et me lève du tabouret, j'ôte les gants que je jette et ouvre le rideau pour voir une forme allongé d'un homme que j'ai déjà entre aperçue à la caserne et quelle ne fut pas ma surprise de sentir, en plus de la douleur, de la colère qui faisait que certains objets commençaient à l'éviter seul...
M'approchant après avoir ouvert totalement le rideau, je me penche sur lui et d'une voix douce prend la parole:
"Rien ni personne ici ne vous fera de mal, mais pour évaluer vos blessures, j'ai besoin que vous vous calmiez, Monsieur le Sanctuari."
Si il était attentif à la Caserne, il devait m'avoir reconnu. Il ne faisait pas partie de ceux qui venait à tout va me voir en tout cas, de cela j'en était certaine.
Posant une de mes mains sur son front, afin de l'apaiser un peu, j'essayai de concentrer mon don pour voir où il était blessé mais... Difficile...
Saisissant sur la table de soin près de la table de nuit un décontractant, je saisis sa main et reprend:
"Je vais vous faire boire quelque chose qui va vous aidez à vous détendre, puis, je vais aller m'occuper de votre compagne en attendant que cela agisse, je pourrait ensuite m'occuper de vous mais..."
Je pris un petit air amusé, voulant un peu détendre l'atmosphère:
"Si vous pouviez faire en sorte que mes instruments et quelques autres objets retouche leurs endroits de prédilections je vous en serait reconnaissante."
Je ponctue ma phrase en lui faisant avaler un médicament, avant de reposer ma main sur son front et de m'éloigner, tout en lui jetant des regards pour le surveiller.
Saisissant une autre paire de gant que j'enfile, je me rassois mais cette fois-ci, je me place de tel sorte d'avoir dans mon champs de vision le lit sur lequel le second patient était allongé:
"Si j'en juge vos états, je peux vous certifier que vous au moins n'étiez pas dans l'arène de ciel."
Je reprend mes geste, pour soigner la vilaine plaie de Ravëfanwen. J'enlève la compresse et concentre mon don et mon esprit aussi, tout en continuant de parler:
"Une quête?"
But de la manœuvre? Savoir ce qui s'était passé bien entendu. Désinfectant la plaie, je me rend compte qu'il allait falloir que je lui fasse quelques points de suture au vu de la profondeur, heureusement, les muscles ne sont pas atteint, mais il en avait fallu de peu.
"Les muscles et les tendons ne sont pas touchés, vous avez eu de la chance par contre, il va falloir que je vous suture. Je vais faire au mieux, mais vous allez avoir un souvenir de bataille..."
Je nettoie correctement la plaie, j'applique dessus un petit onguent pour que l'écoulement de sang s'arrête.
"Ceci est pour l'arrêt de l'écoulement sanguin pour que je puisse suturé sans gros problème. Il faut attendre que ça agisse un peu."
Je me relève du tabouret et lui offre un petit sourire avant de dire:
"Je ne serai jamais à sa hauteur, je n'excelle pas autant que lui. Ne bougez pas trop le bras, le baume va apaiser un peu la douleur, dites moi si cela devient moins supportable, toutes les personnes ne réagissent pas pareil à ces crèmes et baumes. Et pas question de ne rien me dire, je le ressens alors inutile de me taire votre douleur."
Je me tourne vers la personne allongée et m'approche du lit, j'observe et voit la jambe blessé où devrai-je dire le mollet...
Enlevant mes gants souillés, bon sang, j'en utilisais vraiment treize la douzaine, heureusement qu'ils étaient recyclable, je saisis une nouvelle paire que j'enfile afin de pouvoir examiné au plus près la lacération qui visiblement est des plus douloureuse vu ce que je ressens.
"Je suis la guérisseuse Aliénor Mireamwen, je vais m'occuper de vous. Pour cela je vais devoir vous ôtez votre pantalon qui est déjà dans un état fort lamentable..."
Je joins les geste à la parole, tout en faisant attention que les tissus ne viennent pas se coller à la plaie. Une fois le pantalon enlevé, j'approche la table de soin et saisis le désinfectant afin d'aseptiser la plaie, de la nettoyer et pour pouvoir l'évaluer:
"Vous venez d'où comme ça?"
Mon regard tombe alors sur une des mains du Sanctuari et j'y vois quelques écailles. Je fronce légèrement les yeux, avant de me redresser, suspendant tout geste:
"Vous supportez les soins dits normaux où dois-je appeler l'un de nos spécialistes?"
Tenant le bras toujours dans une de mes mains, je me retourne pour voir le rideau tiré, je fronce les yeux, pourtant j'aurai du le sentir, il y a effectivement deux sorte de douleur ici... Posant avec délicatesse le bras blessé, je pose une compresse dessus pour que la plaie de reste pas à vif dans un premier temps et me lève du tabouret, j'ôte les gants que je jette et ouvre le rideau pour voir une forme allongé d'un homme que j'ai déjà entre aperçue à la caserne et quelle ne fut pas ma surprise de sentir, en plus de la douleur, de la colère qui faisait que certains objets commençaient à l'éviter seul...
M'approchant après avoir ouvert totalement le rideau, je me penche sur lui et d'une voix douce prend la parole:
"Rien ni personne ici ne vous fera de mal, mais pour évaluer vos blessures, j'ai besoin que vous vous calmiez, Monsieur le Sanctuari."
Si il était attentif à la Caserne, il devait m'avoir reconnu. Il ne faisait pas partie de ceux qui venait à tout va me voir en tout cas, de cela j'en était certaine.
Posant une de mes mains sur son front, afin de l'apaiser un peu, j'essayai de concentrer mon don pour voir où il était blessé mais... Difficile...
Saisissant sur la table de soin près de la table de nuit un décontractant, je saisis sa main et reprend:
"Je vais vous faire boire quelque chose qui va vous aidez à vous détendre, puis, je vais aller m'occuper de votre compagne en attendant que cela agisse, je pourrait ensuite m'occuper de vous mais..."
Je pris un petit air amusé, voulant un peu détendre l'atmosphère:
"Si vous pouviez faire en sorte que mes instruments et quelques autres objets retouche leurs endroits de prédilections je vous en serait reconnaissante."
Je ponctue ma phrase en lui faisant avaler un médicament, avant de reposer ma main sur son front et de m'éloigner, tout en lui jetant des regards pour le surveiller.
Saisissant une autre paire de gant que j'enfile, je me rassois mais cette fois-ci, je me place de tel sorte d'avoir dans mon champs de vision le lit sur lequel le second patient était allongé:
"Si j'en juge vos états, je peux vous certifier que vous au moins n'étiez pas dans l'arène de ciel."
Je reprend mes geste, pour soigner la vilaine plaie de Ravëfanwen. J'enlève la compresse et concentre mon don et mon esprit aussi, tout en continuant de parler:
"Une quête?"
But de la manœuvre? Savoir ce qui s'était passé bien entendu. Désinfectant la plaie, je me rend compte qu'il allait falloir que je lui fasse quelques points de suture au vu de la profondeur, heureusement, les muscles ne sont pas atteint, mais il en avait fallu de peu.
"Les muscles et les tendons ne sont pas touchés, vous avez eu de la chance par contre, il va falloir que je vous suture. Je vais faire au mieux, mais vous allez avoir un souvenir de bataille..."
Je nettoie correctement la plaie, j'applique dessus un petit onguent pour que l'écoulement de sang s'arrête.
"Ceci est pour l'arrêt de l'écoulement sanguin pour que je puisse suturé sans gros problème. Il faut attendre que ça agisse un peu."
Je me relève du tabouret et lui offre un petit sourire avant de dire:
"Je ne serai jamais à sa hauteur, je n'excelle pas autant que lui. Ne bougez pas trop le bras, le baume va apaiser un peu la douleur, dites moi si cela devient moins supportable, toutes les personnes ne réagissent pas pareil à ces crèmes et baumes. Et pas question de ne rien me dire, je le ressens alors inutile de me taire votre douleur."
Je me tourne vers la personne allongée et m'approche du lit, j'observe et voit la jambe blessé où devrai-je dire le mollet...
Enlevant mes gants souillés, bon sang, j'en utilisais vraiment treize la douzaine, heureusement qu'ils étaient recyclable, je saisis une nouvelle paire que j'enfile afin de pouvoir examiné au plus près la lacération qui visiblement est des plus douloureuse vu ce que je ressens.
"Je suis la guérisseuse Aliénor Mireamwen, je vais m'occuper de vous. Pour cela je vais devoir vous ôtez votre pantalon qui est déjà dans un état fort lamentable..."
Je joins les geste à la parole, tout en faisant attention que les tissus ne viennent pas se coller à la plaie. Une fois le pantalon enlevé, j'approche la table de soin et saisis le désinfectant afin d'aseptiser la plaie, de la nettoyer et pour pouvoir l'évaluer:
"Vous venez d'où comme ça?"
Mon regard tombe alors sur une des mains du Sanctuari et j'y vois quelques écailles. Je fronce légèrement les yeux, avant de me redresser, suspendant tout geste:
"Vous supportez les soins dits normaux où dois-je appeler l'un de nos spécialistes?"
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
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Re: Need a medic ?
Mar 17 Aoû - 19:20
Les yeux toujours fermés, j’entendis alors une voix, douce et apaisante, essayant de me rassurer. Elle me disait que rien ni personne ne me fera du mal ici… C’était bien le cadet de mes soucis, et surtout je le savais déjà et ne craignais rien. Et en plus elle voulait que je me calme, bien moi aussi et j’y travaillais. Cette voix cependant, me disait quelque chose, je suis certain de l’avoir déjà entendu quelque part.
Peu après je senti une main sur mon front, geste ayant certainement pour but de m’apaiser encore un peu plus, mais pour l’instant, mieux valait que je garde les yeux fermés.
"Je vais vous faire boire quelque chose qui va vous aidez à vous détendre, puis, je vais aller m'occuper de votre compagne en attendant que cela agisse, je pourrais ensuite m'occuper de vous mais..."
Ce produit pouvait effectivement m’aider, car je devais reconnaitre que tout seul, ça risquait de prendre plus de temps. Ce qu’elle disait par la suite fit que mon visage affichait un léger sourire.
"Si vous pouviez faire en sorte que mes instruments et quelques autres objets retouche leurs endroits de prédilections je vous en serais reconnaissante."
Je vais essayer, ça ne devrait pas trop tarder avec le médicament additionné à mes efforts pour cela. Sans opposer aucune résistance, je laissais le liquide entrer dans ma bouche et glisser le long de mon œsophage. Elle reposa sa main sur mon front puis je la sentais s’éloigner pour retourner auprès de Ravëfanwen. Je reportais donc ma concentration sur ma colère pour la faire taire, avec le soutien de son tranquillisant, tout ce qui lévitait se remettrait en place avant qu’elle ne revienne.
Je m’efforçais alors de me retirer ce souvenir de mon esprit, source de ma colère. Je sentais déjà le produit faire effet. Tous mes muscles se détendaient peu à peu, ma respiration ralentissait jusqu’à se stabiliser à une cadence de repos.
J’entendais quand même la voix de la guérisseuse et de Ravëfanwen, mais c’est comme si elles étaient loin, ou atténuées.
La guérisseuse se rapprochait, j’entendis le claquement que font les gants qu’elle utilisait et qu’elle devait changer entre deux patients. Juste avant qu’elle ne prenne la parole, les objets finissaient de se poser à leur place d’origine.
"Je suis la guérisseuse Aliénor Mireamwen, je vais m'occuper de vous. Pour cela je vais devoir vous ôtez votre pantalon qui est déjà dans un état fort lamentable..."
Au point où j’en étais… Et ou il en était aussi… Fort heureusement pour elle, je ne portais pas que ce simple pantalon, sinon je ne me portais pas garant de ma réaction.
A peine le temps de penser, que mon pantalon s’était retiré et laissait place à la guérisseuse afin qu’elle puisse examiner mes blessure. Enfin la seule que j’avais à mon mollet. Une bouteille se fit entendre, surement ce qu’elle allait utiliser.
"Vous venez d'où comme ça?"
Tiens ? Bizarre qu’elle me pose cette question… Ayant discuté avec Ravëfanwen je pensais qu’elle le saurait, à moins que Ravëfanwen n’ai rien dit. Mais je ne voyais pas quelle serait la raison de ce silence. Je m’apprêtais à lui répondre, mais la guérisseuse me posa une autre question.
"Vous supportez les soins dits normaux où dois-je appeler l'un de nos spécialistes?"
J’ouvrais subitement mes yeux, propres à mon espèce, et les plantais dans ceux d’Aliénor Mireamwen.
"D’après vous."
Elle n’était peut-être pas censée savoir que les produits dits normaux comme elle les nommait, ne sont pas efficaces pour moi quand je suis sous cette forme et peuvent être toxique quand je suis sous forme de dragon. La seule chose que donnaient ce genre de médicament pour ceux qui sont comme moi, étaient les effets secondaires en amplifiés. Quand il y en a, sinon les symptômes variaient selon le patient, d’un simple mal de tête par exemple à plus nocif. Pour ma part, le plus souvent, c’était des mots de tête assez forts que je contractais suite à la prise de ces médicaments. Autant dire que c’était mieux de les éviter pour un télékinésiste.
Pourquoi cette question, comment avait-elle su… Je remarquais alors que mon gant se trouvant de son coté était déchiré et laissait entrevoir les écailles présentes sur mes articulations. Je n’avais même pas vu que mon gant était déchiré.
Peu après je senti une main sur mon front, geste ayant certainement pour but de m’apaiser encore un peu plus, mais pour l’instant, mieux valait que je garde les yeux fermés.
"Je vais vous faire boire quelque chose qui va vous aidez à vous détendre, puis, je vais aller m'occuper de votre compagne en attendant que cela agisse, je pourrais ensuite m'occuper de vous mais..."
Ce produit pouvait effectivement m’aider, car je devais reconnaitre que tout seul, ça risquait de prendre plus de temps. Ce qu’elle disait par la suite fit que mon visage affichait un léger sourire.
"Si vous pouviez faire en sorte que mes instruments et quelques autres objets retouche leurs endroits de prédilections je vous en serais reconnaissante."
Je vais essayer, ça ne devrait pas trop tarder avec le médicament additionné à mes efforts pour cela. Sans opposer aucune résistance, je laissais le liquide entrer dans ma bouche et glisser le long de mon œsophage. Elle reposa sa main sur mon front puis je la sentais s’éloigner pour retourner auprès de Ravëfanwen. Je reportais donc ma concentration sur ma colère pour la faire taire, avec le soutien de son tranquillisant, tout ce qui lévitait se remettrait en place avant qu’elle ne revienne.
Je m’efforçais alors de me retirer ce souvenir de mon esprit, source de ma colère. Je sentais déjà le produit faire effet. Tous mes muscles se détendaient peu à peu, ma respiration ralentissait jusqu’à se stabiliser à une cadence de repos.
J’entendais quand même la voix de la guérisseuse et de Ravëfanwen, mais c’est comme si elles étaient loin, ou atténuées.
La guérisseuse se rapprochait, j’entendis le claquement que font les gants qu’elle utilisait et qu’elle devait changer entre deux patients. Juste avant qu’elle ne prenne la parole, les objets finissaient de se poser à leur place d’origine.
"Je suis la guérisseuse Aliénor Mireamwen, je vais m'occuper de vous. Pour cela je vais devoir vous ôtez votre pantalon qui est déjà dans un état fort lamentable..."
Au point où j’en étais… Et ou il en était aussi… Fort heureusement pour elle, je ne portais pas que ce simple pantalon, sinon je ne me portais pas garant de ma réaction.
A peine le temps de penser, que mon pantalon s’était retiré et laissait place à la guérisseuse afin qu’elle puisse examiner mes blessure. Enfin la seule que j’avais à mon mollet. Une bouteille se fit entendre, surement ce qu’elle allait utiliser.
"Vous venez d'où comme ça?"
Tiens ? Bizarre qu’elle me pose cette question… Ayant discuté avec Ravëfanwen je pensais qu’elle le saurait, à moins que Ravëfanwen n’ai rien dit. Mais je ne voyais pas quelle serait la raison de ce silence. Je m’apprêtais à lui répondre, mais la guérisseuse me posa une autre question.
"Vous supportez les soins dits normaux où dois-je appeler l'un de nos spécialistes?"
J’ouvrais subitement mes yeux, propres à mon espèce, et les plantais dans ceux d’Aliénor Mireamwen.
"D’après vous."
Elle n’était peut-être pas censée savoir que les produits dits normaux comme elle les nommait, ne sont pas efficaces pour moi quand je suis sous cette forme et peuvent être toxique quand je suis sous forme de dragon. La seule chose que donnaient ce genre de médicament pour ceux qui sont comme moi, étaient les effets secondaires en amplifiés. Quand il y en a, sinon les symptômes variaient selon le patient, d’un simple mal de tête par exemple à plus nocif. Pour ma part, le plus souvent, c’était des mots de tête assez forts que je contractais suite à la prise de ces médicaments. Autant dire que c’était mieux de les éviter pour un télékinésiste.
Pourquoi cette question, comment avait-elle su… Je remarquais alors que mon gant se trouvant de son coté était déchiré et laissait entrevoir les écailles présentes sur mes articulations. Je n’avais même pas vu que mon gant était déchiré.
Re: Need a medic ?
Mer 18 Aoû - 17:16
Ces baumes apaisaient ma douleur. Je reconnus à l'odeur qui s'en dégageait certaines plantes que j'utilisais pour confectionner les miens, plus d'autres qui rendaient la mixture plus efficace. Si j'avais appris les bases de l'herboristerie, j'étais loin d'en connaître toutes les arcanes ; ma spécialité à moi consistait plus à ôter la vie qu'à la préserver, chacun son métier après tout.
Elle s'en alla auprès de Noryan et j'observais d'un œil curieux les objets qui virevoltaient autour d'eux. Le temps de le laisser se détendre grâce à un calmant, la doctoresse revint s'assoir près de moi pour reprendre mon bras en main.
"Si j'en juge vos états, je peux vous certifier que vous au moins n'étiez pas dans l'arène de ciel. Une quête?"
"Non point. J'étais en forêt pour récolter des simples et ai fortuitement rencontré sire Noryan dans son entraînement solitaire. Nous avons été pris en chasse par deux félins et avons du Aouch !
"Les muscles et les tendons ne sont pas touchés, vous avez eu de la chance par contre, il va falloir que je vous suture. Je vais faire au mieux, mais vous allez avoir un souvenir de bataille..."
"Allons bon... Ce ne sera ni le premier ni le dernier je pense. "
Je soupirais alors qu'elle appliquait sur ma plaie un onguent dont l'odeur m'était inconnue. L'effet semblait rapide et déjà je pouvais observer son application.
"Ceci est pour l'arrêt de l'écoulement sanguin pour que je puisse suturé sans gros problème. Il faut attendre que ça agisse un peu."
Cela semblait en effet coaguler le sang et favoriser la cicatrisation ; c'était tout de même insuffisant pour m'éviter d'avoir à subir des points de suture. A vrai dire, je n'avais jamais été très disposée à voir quelqu'un manipuler des objets piquants, tranchants ou contondants sur moi ou à proximité. Je préférais me tenir à distance de ce qui pouvait être dangereux pour ma survie, autant que possible.
"Je ne serai jamais à sa hauteur, je n'excelle pas autant que lui. Ne bougez pas trop le bras, le baume va apaiser un peu la douleur, dites moi si cela devient moins supportable, toutes les personnes ne réagissent pas pareil à ces crèmes et baumes. Et pas question de ne rien me dire, je le ressens alors inutile de me taire votre douleur."
Je lui souris en pensant que de toute façon, je n'aurai pas à lui dire si la douleur me reprenait.
"Ne soyez pas si modeste, sire Arthur Mireamwen serait fier de voir sa fille prodiguer des soins avec cette attention particulière pour vos patients."
Elle se retira auprès du Sanctuari et eu la présence d'esprit de tirer le rideau de façon à ce que je ne puisse voir ce qui se passait de l'autre côté. Nous nous étions fait attaquer et étions arrivés ensembles également, cela ne signifiait pas que nous devions nous passer de notre intimité.
Elle s'en alla auprès de Noryan et j'observais d'un œil curieux les objets qui virevoltaient autour d'eux. Le temps de le laisser se détendre grâce à un calmant, la doctoresse revint s'assoir près de moi pour reprendre mon bras en main.
"Si j'en juge vos états, je peux vous certifier que vous au moins n'étiez pas dans l'arène de ciel. Une quête?"
"Non point. J'étais en forêt pour récolter des simples et ai fortuitement rencontré sire Noryan dans son entraînement solitaire. Nous avons été pris en chasse par deux félins et avons du Aouch !
"Les muscles et les tendons ne sont pas touchés, vous avez eu de la chance par contre, il va falloir que je vous suture. Je vais faire au mieux, mais vous allez avoir un souvenir de bataille..."
"Allons bon... Ce ne sera ni le premier ni le dernier je pense. "
Je soupirais alors qu'elle appliquait sur ma plaie un onguent dont l'odeur m'était inconnue. L'effet semblait rapide et déjà je pouvais observer son application.
"Ceci est pour l'arrêt de l'écoulement sanguin pour que je puisse suturé sans gros problème. Il faut attendre que ça agisse un peu."
Cela semblait en effet coaguler le sang et favoriser la cicatrisation ; c'était tout de même insuffisant pour m'éviter d'avoir à subir des points de suture. A vrai dire, je n'avais jamais été très disposée à voir quelqu'un manipuler des objets piquants, tranchants ou contondants sur moi ou à proximité. Je préférais me tenir à distance de ce qui pouvait être dangereux pour ma survie, autant que possible.
"Je ne serai jamais à sa hauteur, je n'excelle pas autant que lui. Ne bougez pas trop le bras, le baume va apaiser un peu la douleur, dites moi si cela devient moins supportable, toutes les personnes ne réagissent pas pareil à ces crèmes et baumes. Et pas question de ne rien me dire, je le ressens alors inutile de me taire votre douleur."
Je lui souris en pensant que de toute façon, je n'aurai pas à lui dire si la douleur me reprenait.
"Ne soyez pas si modeste, sire Arthur Mireamwen serait fier de voir sa fille prodiguer des soins avec cette attention particulière pour vos patients."
Elle se retira auprès du Sanctuari et eu la présence d'esprit de tirer le rideau de façon à ce que je ne puisse voir ce qui se passait de l'autre côté. Nous nous étions fait attaquer et étions arrivés ensembles également, cela ne signifiait pas que nous devions nous passer de notre intimité.
- Ravëfanwen
- Suivi : Fiche - Carnet de bord
Titre : Héros
Race : Druchii
Statut : Nix Nivis
Messages : 432
Titre débile : Maître Assassin par défaut
Re: Need a medic ?
Mer 18 Aoû - 20:10
"D'après moi? Et bien afin d'éviter le moindre problème je préfère appeler mon collègue."
Je repose la fiole de désinfectant et pose sur la plaie du mollet trois compresse afin que la plaie de prenne pas plus l'air ambiant et ne s'infecte d'avantage. Puis, enlevant mes gants et les jetant une fois encore, je tire le rideau et cette fois ne pense pas à le retirer derrière moi. Je lance un regard à la seconde personne et me dirige vers le téléphone situer près de la porte. Le décrochant, je compose un numéro et attend quelques secondes qu'on décroche:
"Stéfanie? Passe moi le service de soin au créature s'il te plait. Merci."
J'attends de nouveau quelques secondes qu'on me passe le service et une voix répond enfin:
"Bonjour, Guérisseuse Mireamwen au téléphone, pouvez vous envoyer un de vos spécialistes aux urgences? Oui, c'est pour un blessé..."
Me tournant vers la personne allongé, je l'évalue du regard et reprend:
"Plusieurs plaies, dont une assez importante au niveau du mollet. Non, l'interaction entre certains remède peut apporter des effets secondaires que j'aimerai éviter. Bien, salle n°4 aux Urgences. Je l'attend, merci."
Je raccroche et me retourne vers le sanctuari toujours allongé et dont le regard m'informe sans grand mal de ce qu'il est.
"Je préfère faire appelle à une personne plus compétente, elle ne devrait pas tarder, en attendant, le remède que je vous ai fais boire devrait pas entrainer d'effet secondaire et apaiser vos douleurs. Je laisse le rideau ouvert hésiter pas à m'appeler si ça ne va pas."
Je lui offre un petit sourire avant de placer une nouvelle fois ma main sur son front afin cette fois de vérifier si il n'a pas de fièvre.
"Belle maitrise en tout cas, je suppose que cela est plus que nécessaire."
Je fronce un peu les yeux avant de me souvenir de l'endroit où je l'avais vu:
"Dites moi, je crois que nous nous sommes déjà vu... A la Caserne, vous étiez en compagnie de ce cher Ez d'ailleurs."
Je secoue la tête amusé le monde est parfois petit mais bon en même temps. Je pose une main amicale sur un de ces bras avant de retourner près de Ravefanwen tout en enfilant une nouvelle paire de gant. Je saisis une compresse sur le plateau et nettoie le surplus de baume restant sur sa plaie, avant d'ouvrir le kit de suture:
"Rencontre du hasard comme quoi il faut se méfier de ce qui vit dans ces forêts. Je me souviens que quand je tenais le dispensaire familial, il m'arrivait de soigner des morsures et des griffures plus étranges les une que les autres et quand les chasseurs décrivaient ces animaux autant vous dire que ça fascinait toute la populace du village."
Tout en parlant j'avais commencer à recoudre avec soin la plaie, essayant de faire le moins mal possible mais bon, parfois je n'ai pas bien le choix.
"Il faut se dire que ça aurait dû être pire. La prochaine fois songer au kit de premier soin, ça peut toujours servir et ça évite de gâcher ces vêtements. Je crains que votre cape ne rejoigne le pantalon de votre compagnon, soit le recyclage!"
J'étais à mi-plaie quand un léger frappement à la porte retentit, suspendant mon geste, je me tourne légèrement pour voir entrée une de mes collègue:
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute."
Ma collègue hocha la tête et j'ajoute à l'adresse de ma patiente mais aussi au patient allongé:
"Vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
Je repose la fiole de désinfectant et pose sur la plaie du mollet trois compresse afin que la plaie de prenne pas plus l'air ambiant et ne s'infecte d'avantage. Puis, enlevant mes gants et les jetant une fois encore, je tire le rideau et cette fois ne pense pas à le retirer derrière moi. Je lance un regard à la seconde personne et me dirige vers le téléphone situer près de la porte. Le décrochant, je compose un numéro et attend quelques secondes qu'on décroche:
"Stéfanie? Passe moi le service de soin au créature s'il te plait. Merci."
J'attends de nouveau quelques secondes qu'on me passe le service et une voix répond enfin:
"Bonjour, Guérisseuse Mireamwen au téléphone, pouvez vous envoyer un de vos spécialistes aux urgences? Oui, c'est pour un blessé..."
Me tournant vers la personne allongé, je l'évalue du regard et reprend:
"Plusieurs plaies, dont une assez importante au niveau du mollet. Non, l'interaction entre certains remède peut apporter des effets secondaires que j'aimerai éviter. Bien, salle n°4 aux Urgences. Je l'attend, merci."
Je raccroche et me retourne vers le sanctuari toujours allongé et dont le regard m'informe sans grand mal de ce qu'il est.
"Je préfère faire appelle à une personne plus compétente, elle ne devrait pas tarder, en attendant, le remède que je vous ai fais boire devrait pas entrainer d'effet secondaire et apaiser vos douleurs. Je laisse le rideau ouvert hésiter pas à m'appeler si ça ne va pas."
Je lui offre un petit sourire avant de placer une nouvelle fois ma main sur son front afin cette fois de vérifier si il n'a pas de fièvre.
"Belle maitrise en tout cas, je suppose que cela est plus que nécessaire."
Je fronce un peu les yeux avant de me souvenir de l'endroit où je l'avais vu:
"Dites moi, je crois que nous nous sommes déjà vu... A la Caserne, vous étiez en compagnie de ce cher Ez d'ailleurs."
Je secoue la tête amusé le monde est parfois petit mais bon en même temps. Je pose une main amicale sur un de ces bras avant de retourner près de Ravefanwen tout en enfilant une nouvelle paire de gant. Je saisis une compresse sur le plateau et nettoie le surplus de baume restant sur sa plaie, avant d'ouvrir le kit de suture:
"Rencontre du hasard comme quoi il faut se méfier de ce qui vit dans ces forêts. Je me souviens que quand je tenais le dispensaire familial, il m'arrivait de soigner des morsures et des griffures plus étranges les une que les autres et quand les chasseurs décrivaient ces animaux autant vous dire que ça fascinait toute la populace du village."
Tout en parlant j'avais commencer à recoudre avec soin la plaie, essayant de faire le moins mal possible mais bon, parfois je n'ai pas bien le choix.
"Il faut se dire que ça aurait dû être pire. La prochaine fois songer au kit de premier soin, ça peut toujours servir et ça évite de gâcher ces vêtements. Je crains que votre cape ne rejoigne le pantalon de votre compagnon, soit le recyclage!"
J'étais à mi-plaie quand un léger frappement à la porte retentit, suspendant mon geste, je me tourne légèrement pour voir entrée une de mes collègue:
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute."
Ma collègue hocha la tête et j'ajoute à l'adresse de ma patiente mais aussi au patient allongé:
"Vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
- Aliénor
- Directeur du Sanctuaire
- Suivi :
Titre : Artisan, Perçant, Blum, Tchi, Verdad, Daya, Précision, Minne
Race : Humaine
Statut : Guérisseuse
Notes :PNJ du Sanctuaire des Braves déjà cités dans quelques messages:Médecins:
=> Kathias
Guérisseurs:
=> Lawaren
Secrétaire des Urgences:
=> Stéfanie
Aide Soignante:
=> Lyliane
Infirmière:
=> Ceridwen
Neurologue:
Lucas
Chirurgien:
=> Saya
Messages : 2032
Titre débile : Ali pour les intimes! xD
Re: Need a medic ?
Lun 23 Aoû - 16:02
"D'après moi? Et bien afin d'éviter le moindre problème je préfère appeler mon collègue."
Bonne décision, je n’en attendais pas moins. Autrement, j’aurais du m’opposer à son geste et je ne croyais pas que ça lui aurait plu. Elle reposait alors la fiole avec laquelle elle comptait me soigner et appliquait trois compresses sur mon mollet. En attendant qu’elle fasse… Je ne savais pas quoi en fait. Elle enleva ses gants, se leva, tira le rideau et se dirigea vers… Ah, le téléphone qui se situait près de la porte.
Je ne la quittais pas des yeux, je ne pourrais dire pourquoi. Elle décrochait le combiné et composait un numéro, puis attendit qu’une personne lui réponde.
"Stéfanie? Passe-moi le service de soin aux créatures s'il te plait. Merci."
Soin aux créatures… Créatures, sympa le qualificatif, mais il était vrai que le choix n’était pas simple pour nous qualifier et il était plus plaisant que d’autres.
"Bonjour, Guérisseuse Mireamwen au téléphone, pouvez vous envoyer un de vos spécialistes aux urgences? Oui, c'est pour un blessé..."
Elle me regardait de la tête au pied, pour voir les blessures qui marquaient mon corps et faire un topo au spécialiste qui viendrait.
"Plusieurs plaies, dont une assez importante au niveau du mollet. Non, l'interaction entre certains remèdes peut apporter des effets secondaires que j'aimerai éviter. Bien, salle n°4 aux Urgences. Je l'attend, merci."
Ah, elle se souvenait des effets que pouvait causer la très large majorité des médicaments normaux. Autant pour moi. Elle avait raccroché le téléphone et se dirigeait à nouveau vers moi.
"Je préfère faire appelle à une personne plus compétente, elle ne devrait pas tarder, en attendant, le remède que je vous ai fais boire devrait pas entrainer d'effet secondaire et apaiser vos douleurs. Je laisse le rideau ouvert hésiter pas à m'appeler si ça ne va pas."
"Très bien, je vais attendre. Merci… "
Elle affichait un sourire et reportait sa main sur mon front, mais cette fois-ci je ne sentais rien de particulier. Je n’ai pas de fièvre si c’est ce qu’elle voulait savoir.
"Belle maitrise en tout cas, je suppose que cela est plus que nécessaire."
Un léger sourire se montrait avant que je ne lui réponde.
"Cela est effectivement nécessaire si je veux éviter quelques accidents que ce soit. Mais aucun télékinésiste, de mon point de vue, ne peut avoir une maîtrise parfaite. A moins de se défaire de toutes émotions… Ce qui serait une chose horrible je trouve. "
Elle fronçait les yeux, essayait-elle de se rappeler quelque chose ou un truc la tracassait ?
"Dites moi, je crois que nous nous sommes déjà vu... A la Caserne, vous étiez en compagnie de ce cher Ez d'ailleurs."
Voilà ma réponse. Mais maintenant qu’elle en parlait…
"A la caserne ? Sans doute, j’avoue que je ne pourrais le confirmer. Il faudra me rappeler à quelle occasion c’était. "
Une de ses mains se posa amicalement sur mon bras et la guérisseuse s’en retourna voir Ravëfanwen pour continuer les soins.
Je me désintéressais de la scène et regardais par la fenêtre, afin de me détendre. En plus du médicament qui faisait très bien son effet, je ne sentais presque plus la douleur de mes blessures.
Une personne frappant à la porte me tira de mon escapade relaxante et je tournais la tête assez rapidement vers la porte. C’était sans aucun doute le, plutôt la spécialiste qui venait pour me soigner.
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute."
Ivana fit un signe de la tête en guise réponse, et Aliénor ajouta à notre intention des paroles bien intéressante.
"Ne vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
Ah, très bien, dans ce cas ce sera moins fatiguant.
*Bonjour. J’ai une entaille au mollet, mais ça Aliénor vous l‘a dit. J’ai aussi une morsure au bras doit et aussi une griffure assez importante je pense dans le dos. *
Je n’avais plus qu’à attendre qu’elle me prodigue les soins appropriés, sans broncher évidemment.
Bonne décision, je n’en attendais pas moins. Autrement, j’aurais du m’opposer à son geste et je ne croyais pas que ça lui aurait plu. Elle reposait alors la fiole avec laquelle elle comptait me soigner et appliquait trois compresses sur mon mollet. En attendant qu’elle fasse… Je ne savais pas quoi en fait. Elle enleva ses gants, se leva, tira le rideau et se dirigea vers… Ah, le téléphone qui se situait près de la porte.
Je ne la quittais pas des yeux, je ne pourrais dire pourquoi. Elle décrochait le combiné et composait un numéro, puis attendit qu’une personne lui réponde.
"Stéfanie? Passe-moi le service de soin aux créatures s'il te plait. Merci."
Soin aux créatures… Créatures, sympa le qualificatif, mais il était vrai que le choix n’était pas simple pour nous qualifier et il était plus plaisant que d’autres.
"Bonjour, Guérisseuse Mireamwen au téléphone, pouvez vous envoyer un de vos spécialistes aux urgences? Oui, c'est pour un blessé..."
Elle me regardait de la tête au pied, pour voir les blessures qui marquaient mon corps et faire un topo au spécialiste qui viendrait.
"Plusieurs plaies, dont une assez importante au niveau du mollet. Non, l'interaction entre certains remèdes peut apporter des effets secondaires que j'aimerai éviter. Bien, salle n°4 aux Urgences. Je l'attend, merci."
Ah, elle se souvenait des effets que pouvait causer la très large majorité des médicaments normaux. Autant pour moi. Elle avait raccroché le téléphone et se dirigeait à nouveau vers moi.
"Je préfère faire appelle à une personne plus compétente, elle ne devrait pas tarder, en attendant, le remède que je vous ai fais boire devrait pas entrainer d'effet secondaire et apaiser vos douleurs. Je laisse le rideau ouvert hésiter pas à m'appeler si ça ne va pas."
"Très bien, je vais attendre. Merci… "
Elle affichait un sourire et reportait sa main sur mon front, mais cette fois-ci je ne sentais rien de particulier. Je n’ai pas de fièvre si c’est ce qu’elle voulait savoir.
"Belle maitrise en tout cas, je suppose que cela est plus que nécessaire."
Un léger sourire se montrait avant que je ne lui réponde.
"Cela est effectivement nécessaire si je veux éviter quelques accidents que ce soit. Mais aucun télékinésiste, de mon point de vue, ne peut avoir une maîtrise parfaite. A moins de se défaire de toutes émotions… Ce qui serait une chose horrible je trouve. "
Elle fronçait les yeux, essayait-elle de se rappeler quelque chose ou un truc la tracassait ?
"Dites moi, je crois que nous nous sommes déjà vu... A la Caserne, vous étiez en compagnie de ce cher Ez d'ailleurs."
Voilà ma réponse. Mais maintenant qu’elle en parlait…
"A la caserne ? Sans doute, j’avoue que je ne pourrais le confirmer. Il faudra me rappeler à quelle occasion c’était. "
Une de ses mains se posa amicalement sur mon bras et la guérisseuse s’en retourna voir Ravëfanwen pour continuer les soins.
Je me désintéressais de la scène et regardais par la fenêtre, afin de me détendre. En plus du médicament qui faisait très bien son effet, je ne sentais presque plus la douleur de mes blessures.
Une personne frappant à la porte me tira de mon escapade relaxante et je tournais la tête assez rapidement vers la porte. C’était sans aucun doute le, plutôt la spécialiste qui venait pour me soigner.
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute."
Ivana fit un signe de la tête en guise réponse, et Aliénor ajouta à notre intention des paroles bien intéressante.
"Ne vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
Ah, très bien, dans ce cas ce sera moins fatiguant.
*Bonjour. J’ai une entaille au mollet, mais ça Aliénor vous l‘a dit. J’ai aussi une morsure au bras doit et aussi une griffure assez importante je pense dans le dos. *
Je n’avais plus qu’à attendre qu’elle me prodigue les soins appropriés, sans broncher évidemment.
Re: Need a medic ?
Dim 12 Sep - 23:34
Je me laissais gagner par la fatigue alors que la guérisseuse enfilait une aiguille dans ma peau pour suturer la plaie. J'écoutais d'une oreille distraite ce qu'elle me racontait sur son expérience passée à soigner des blessures similaires chez des chasseurs de son village natal. Les années passent et j'ai toujours l'impression qu'il est plus douloureux de se faire planter une aiguille dans le bras par un guérisseur que de de faire entailler la cuisse par le sabre d'un Elfe ; pour éviter de me concentrer sur ces maux qui m'auraient fait passer pour la plus douillette des Druchii, je m'imaginais Aliénor, petite, soignant ces valeureux chasseurs couverts de terre et de sang.
"Il faut se dire que ça aurait dû être pire. La prochaine fois songer au kit de premier soin, ça peut toujours servir et ça évite de gâcher ces vêtements. Je crains que votre cape ne rejoigne le pantalon de votre compagnon, soit le recyclage!"
Je tournais la tête vers Aliénor ; occupée jusque là à regarder dans la direction opposer pour ne pas laisser mes yeux trainer sur l'opération qui se déroulait sur mon bras, je plongeai mon regard dans celui de la jeune fille. Ses yeux mauves répondaient parfaitement aux miens ; une expression empreinte de stupéfaction se peignait sur mon visage et j'entrouvris la bouche pour répondre lorsque la porte de la salle de soins s'ouvrit. Une jeune infirmière, portant la blouse du sanctuaire des braves pénétra discrètement dans la pièce et, sans dire un mot, jeta un coup d'oeil en direction de Noryan, puis d'Aliénor.
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute. Vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
Mon premier réflexe fut de me dire qu'il fallait absolument que je surveille mes pensées. Une télépathe de haut niveau devait être capable d'entendre les pensées de plusieurs personnes et je ne tenais pas particulièrement à ce que mon esprit soit partagé avec quiconque. Ne penser qu'à des choses banales et éviter de penser aux choses que l'on désire cacher à un télépathe est un exercice extrêmement difficile ; une des technique les plus efficaces est de se concentrer sur les pensées que l'on veut bien partager. En l'occurrence, je focalisai mes pensées sur le félin qui nous avait attaqué, puis me re-concentrai sur ce que m'avait dit Aliénor.
"Ma cape ? Je ne tiens pas spécialement à m'en séparer. Mais elle est effectivement dans un piètre état ; je crois que je suis bonne pour renouveler ma tenue."
Assassin, herboriste, Nix Nivis, je n'en demeurais pas moins une Druchii qui a grandi à la cour d'une citadelle de nobles ; si je ne passais pas ma vie derrière un miroir, je faisais néanmoins attention à mon apparence et désirais demeurer une attirante jeune Druchii d'à peine un siècle.
Aliénor s'était arrêtée à la moitié de ma blessures pour briefer sa collègue ; elle repris son travail pendant que je m'entêtais à lui parler chiffons.
"Il n'y a guère d'endroit ou je trouve des vêtements à mon goût. A Ordae, les armes sont de bonne qualité, mais les femmes ne sont que rarement appelées à porter des tenues martiales. Il y a bien une ou deux échoppes, à Northrives et dans les Fumeroles, mais je crois que celle ou j'ai eu le choix le plus vaste se trouve à Magna. Il doit y avoir une communauté Elfe Noir là bas."
Je me tus quelques instant, juste le temps de me faire la réflexion qu'Aliénor ne devait certainement pas partager les goûts vestimentaires des Druchii ou des Elfes Noirs.
"Mais, il y a beaucoup de choses très jolies dans les autres boutiques également, je ne le nie pas..."
J'avais hâte que son travail s'achève ; je commençais à raconter n'importe quoi à mon interlocutrice et elle devait se dire que j'avais dû prendre également un coup sur la tête. Je me demandais comment Noryan allait être traité ; si ma plaie était quasiment recousue, je ne savais dans quel était il se trouvait et s'il allait falloir plus de temps qu'il ne m'en avait été nécessaire. Je me risquai à poser la question à la directrice.
"Ses blessures sont-elles importantes ?"
"Il faut se dire que ça aurait dû être pire. La prochaine fois songer au kit de premier soin, ça peut toujours servir et ça évite de gâcher ces vêtements. Je crains que votre cape ne rejoigne le pantalon de votre compagnon, soit le recyclage!"
Je tournais la tête vers Aliénor ; occupée jusque là à regarder dans la direction opposer pour ne pas laisser mes yeux trainer sur l'opération qui se déroulait sur mon bras, je plongeai mon regard dans celui de la jeune fille. Ses yeux mauves répondaient parfaitement aux miens ; une expression empreinte de stupéfaction se peignait sur mon visage et j'entrouvris la bouche pour répondre lorsque la porte de la salle de soins s'ouvrit. Une jeune infirmière, portant la blouse du sanctuaire des braves pénétra discrètement dans la pièce et, sans dire un mot, jeta un coup d'oeil en direction de Noryan, puis d'Aliénor.
"Bonjour Ivana, le patient est allongé sur le lit, j'ai préféré t'appeler dans le doute. Vous attendez pas à l'entendre parler, elle n'a pas de voix, mais elle lit à merveille dans les pensées."
Mon premier réflexe fut de me dire qu'il fallait absolument que je surveille mes pensées. Une télépathe de haut niveau devait être capable d'entendre les pensées de plusieurs personnes et je ne tenais pas particulièrement à ce que mon esprit soit partagé avec quiconque. Ne penser qu'à des choses banales et éviter de penser aux choses que l'on désire cacher à un télépathe est un exercice extrêmement difficile ; une des technique les plus efficaces est de se concentrer sur les pensées que l'on veut bien partager. En l'occurrence, je focalisai mes pensées sur le félin qui nous avait attaqué, puis me re-concentrai sur ce que m'avait dit Aliénor.
"Ma cape ? Je ne tiens pas spécialement à m'en séparer. Mais elle est effectivement dans un piètre état ; je crois que je suis bonne pour renouveler ma tenue."
Assassin, herboriste, Nix Nivis, je n'en demeurais pas moins une Druchii qui a grandi à la cour d'une citadelle de nobles ; si je ne passais pas ma vie derrière un miroir, je faisais néanmoins attention à mon apparence et désirais demeurer une attirante jeune Druchii d'à peine un siècle.
Aliénor s'était arrêtée à la moitié de ma blessures pour briefer sa collègue ; elle repris son travail pendant que je m'entêtais à lui parler chiffons.
"Il n'y a guère d'endroit ou je trouve des vêtements à mon goût. A Ordae, les armes sont de bonne qualité, mais les femmes ne sont que rarement appelées à porter des tenues martiales. Il y a bien une ou deux échoppes, à Northrives et dans les Fumeroles, mais je crois que celle ou j'ai eu le choix le plus vaste se trouve à Magna. Il doit y avoir une communauté Elfe Noir là bas."
Je me tus quelques instant, juste le temps de me faire la réflexion qu'Aliénor ne devait certainement pas partager les goûts vestimentaires des Druchii ou des Elfes Noirs.
"Mais, il y a beaucoup de choses très jolies dans les autres boutiques également, je ne le nie pas..."
J'avais hâte que son travail s'achève ; je commençais à raconter n'importe quoi à mon interlocutrice et elle devait se dire que j'avais dû prendre également un coup sur la tête. Je me demandais comment Noryan allait être traité ; si ma plaie était quasiment recousue, je ne savais dans quel était il se trouvait et s'il allait falloir plus de temps qu'il ne m'en avait été nécessaire. Je me risquai à poser la question à la directrice.
"Ses blessures sont-elles importantes ?"
- Ravëfanwen
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