Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Page 1 sur 3 1, 2, 3  Suivant

Noir et Blanc

Mar 13 Juil - 12:15


Un brouillard étrange régnait depuis l'aube sur le village de Lazaret. Un brouillard qui venait du fond des bois et enveloppait tout, maisons et champs, villageois et voyageurs. Le soleil se montrait discret par cette matinée douce, et lorsqu'il parvenait à percer les nuages, ses rayons ne faisaient que rendre plus opaque encore l'écran des gouttelettes d'eau en suspension dans l'air. Mais celles-ci rafraîchissaient l'air lourd qui commençait à s'installer à cause de l'absence de vent.
Al avait quitté la ville pour tenter de découvrir le monde qui en entourait les remparts, mais ce brouillard semblait déterminé à ruiner ses plans. L'ange sans ailes avait pour première destination Lazaret, où il devait rencontrer un commanditaire qui engageait des mercenaires pour une mission. Al ne souhaitait pas déambuler au hasard dans les contrées de l'Entre-Monde, sachant bien que s'il se laissait emporter, il ne ferait jamais demi-tour. Aussi s'était-il dit qu'une petite mission lui permettrait de voir du pays sans pour autant le laisser libre d’aller à sa guise, et il n’allait pas cracher sur l'argent qui devait aller avec.
Il s'était pourtant interrogé. Si un homme recrutait des mercenaires, ce n'était pas pour faire joli. Deux hypothèses venaient à son esprit. Soit l'homme cherchait à se protéger d'un danger, ce qui risquait d'indiquer une quelconque histoire louche, soit il cherchait à menacer voire pire, ce qui risquait d'indiquer une quelconque histoire très louche. Dans les deux cas, Al ne se sentait pas à l'aise. Mais sa curiosité le harcelait, aidée par son manque d'argent. Il avait beau être un ange, il avait besoin de se nourrir, et ça ce n'était qu'un minimum.
De toute manière, il était en route, aussi n'était-il plus l'heure de se poser des questions. Il se retrouva au milieu du village sans s'y être vu entrer. Le brouillard avait été si épais que, marchant au milieu du chemin, il n'avait pas pu remarquer les maisons qui le bordaient. Mais désormais des pavés s'étalaient sous ses pieds, et quelques habitants croisaient sa route. Il les salua avec politesse, mais peu le saluèrent à son tour. Pire, ils lui offrirent un regard plein de méfiance. Apparemment, on n'aimait guère les étrangers ici.
Al se demandait s'il était bien là où il devait être. Il n'avait pu voir aucun panneau signifiant le nom du village à cause du brouillard. Une petite voiture passa, attrapant les gouttes d'eau avec sa carrosserie et perçant l'épais écran de brouillard avec ses phares bas. Son passage fut suivi d'une bourrasque plutôt forte, et Al se demanda s'il s'agissait d'un appel d'air ou du vent qui se levait. La brume autour de lui commença alors à bouger, et peu à peu, à se dissiper. C'était le vent qui se levait, qui faisait bouger les nuages et apparaître le soleil. Tout cela contribuait à tirer le village de sa somnolence aveugle.
Et en effet, quelques minutes plus tard, le village se dévoila, retirant son masque de brume. Devant l’ange se trouvait une grande place, desservie par quatre grandes routes. Les habitations étaient belles et propres, malgré leur style légèrement pittoresque et vétuste. Mais c’était sûrement le genre de choses que l’on pouvait se permettre lorsqu’on vivait à la campagne. Il n’était pas nécessaire d’être à la pointe de la technologie pour mener une vie paisible au milieu des champs.
Mais il avait beau chercher, Al ne trouvait rien qui lui indiquât qu’il se trouvait à Lazaret. Il n’eut que quelques pas à faire, tourner la tête, et il aperçut l’auberge, qui affichait le nom du village en grandes lettres vertes. Au moins cette question était réglée, il était bien là où il devait être. Il ne lui restait plus qu’à trouver son commanditaire. Chose qui aurait sûrement été plus aisée s’il avait su à quoi celui-ci ressemblait. On le disait sombre, portant des vêtements noirs et cachant le haut de son visage avec un chapeau de la même couleur. L’ange avait connu bien des personnes semblables à Magna. Attirés par l’argent et ne cherchant qu’à nourrir leur réputation de cruauté et de mépris de la vie. Mais tout ça, c’était ce qu’ils montraient. Al n’y accordait pas beaucoup de crédit.
Toutes ces réflexions ne cessaient d’attiser la curiosité du jeune ange, et il se dirigea d’un pas vif vers l’auberge, ce qui devait sûrement être l’endroit où se déroulerait la rencontre. Il la trouva quasiment vide, à l’image des rues. Comme village tranquille, il ne devait pas y avoir mieux dans tout l’Entre-Monde.
Al
Aubergiste
Al

Masculin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Titre : Rockstar

Race : Ange
Statut : Aubergiste
Messages : 172
Titre débile : L'ange en plastique

Re: Noir et Blanc

Mar 13 Juil - 22:29


Kane était assis dans une vieille auberge du nom de « Lazaret ». Vu de l’extérieur cette auberge étais récente et jeune mais l’intérieur étais dans un piteuse état : les bancs de bois étais rongés par les mites, les chaises étaient bancales et le comptoir collant et dégoulinant d’alcool. Les lumières marchaient à peine, une ampoule sur deux étaient grillées ce qui mettait la taverne dans une étrange obscurité. Les murs étaient tapissés d’un papier peint de mauvais gouts et ils étaient tachés graisse par endroits.
Solomone était en équilibre sur deux pieds de sa chaise, ses pieds était posé sur la table à côté de sa choppe de bière et il attendait la venu des mercenaire. Dans sa demande il n’avait fait aucune description de son visage ou de sa réputation, cela aurait pu en effrayé certains.
Il se rappela de sa matinée qu’il avait du parcourir un long voyage pour venir ici. Il avait été énervé de voir le temps, le brouillard est très intéressant pour se dissimuler mais il peut aussi dissimuler autrui et cela l’inquiétait plus. Solomone avait plus d’ennemis que d’amis et dans cette région ils pouvaient facilement trouver des gens hostile. Il traversa de nombreux petits villages, le visage toujours dissimulé dans son chapeau et sa lame caché par sa longue cape noire. Ses bottes en cuir frottaient le sol et à une heure aussi matinale c’était le seul bruit qui traversait les villages.
Kane sortit de ses pensées, entre temps trois personnes en plus étaient entrées dans la taverne. En premier lieu il y avait une personne âgé vu sa démarche Kane déduisit qu’il boitait mais qu’il n’avait pas assez d’argent pour s’acheter une cane il s’assit à une table avec une autre personne plus jeune mais entre ces deux personnes il y avait des traits de famille. Le troisième entrant était un jeune garçon, Kane lui donnait la vingtaine il remarqua à sa ceinture une dague il la trouva assez ancienne. Ce jeune homme était assez imposant part sa taille et sa carrure. Il avait l’air perdu il semblait cherché quelque chose.
*Se pourrait-il qu’il soit venu pour…Nan il est trop jeune je n’ai pas envie de ramener des cadavres à de gosses à des familles bizarre, pensa Kane*
Il le laissa déambuler dans la pièce. Il resta adossé à la colonne qui était derrière lui, il regarda sa choppe vide et fit signe au patron de lui en ramener une, en même temps cela lui permis de se faire remarquer par les clients au cas où il y avait quelque mercenaires parmi eux. Alors que la nouvelle choppe arriva trois personne arrivèrent, c’était des gardes vêtu d’armure d’époque.
*Tiens je ne pensais pas qu’il restait encore des brutes de ce genre en ce bas monde…*
Ils s’appuyèrent au comptoir et commandèrent des choppes et des bouteilles. Chacun avaient une hache qui pendait à leurs côtés. Kane les dévisagea à travers leur heaume il crut reconnaitre des traits familiers chez celui du centre. Il vit qu’il avait une blessure à la cheville droite et se souvint que en venant il avait du affronté un homme, il n’était pas armé mais il comptait appeler la garde donc Kane l’avait blessé et c’était enfuit.
*Il va falloir que je me fasse discret maintenant*
Solomone Kane
Solomone Kane

Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humain
Messages : 54

Re: Noir et Blanc

Mer 14 Juil - 22:30


Les yeux de l'ange s'accoutumèrent rapidement à l'obscurité que renfermait l'auberge, qui contrastait bien avec la clarté du dehors une fois le brouillard parti. Quelques bougies luisaient dans la pénombre que les ampoules qui ne fonctionnaient pas laissaient s'installer. Peut-être avait-on tenté de dissimuler l'état affreux des lieux en diminuant la luminosité. L'intérieur n'avait certes rien à voir avec la façade. Il ne fallait pas juger un livre à sa couverture.
Al se dit qu'il valait mieux se concentrer sur ce qu'il cherchait plutôt que sur les nombreux défauts que présentaient cette auberge. Il n'avait pas l'intention de sortir maintenant, et n'allait rien faire dans ce sens.
Il alla s'installer au comptoir, demanda un petit verre de whisky, qu'il ne boirait pas de toute manière, c'était seulement pour ne pas sembler perdu. Il savait, pour avoir vécu à Magna, que l'allure qu'on donnait pouvait se révéler très importante dans la survie et surtout la préservations des ses biens. Quelqu'un qui n'a pas l'air d'un pigeon risque moins de se faire arnaquer comme quelqu'un qui n'a pas l'air faible risque moins de se faire battre.
Après avoir commandé, il jeta un naturel coup d'oeil dans la taverne. Il y avait là un homme âgé accompagné d'un plus jeune, qui d'après leurs vêtements semblaient pour le moins démunis. Aucune arme ne se voyait sur eux. Un autre, dans un coin, était adossé à une colonne et faisait se tenir sa chaise en équilibre, les pieds sur la table. En voilà un qui voulait sûrement montrer son mépris, sa supériorité et sa désinvolture. Un chapeau noir se trouvait sur sa tête et cachait le haut de son visage. la partie de sa face qui n'était pas obscurcie était trop lointaine et dans un coin trop sombre pour pouvoir être identifiée. Ses vêtements noirs se remarquaient, et Al se demanda si cet homme cherchait à montrer son statut de probable hors-la-loi. On ne pouvait distinguer aucune arme sur lui, mais cela aurait étonné l'ange qu'il en soit dépourvu. Il y avait de fortes chances qu'il soit celui qu'il cherchait. Ou alors c'était un autre mercenaire, comme lui. Car il avait du mal à trouver une explication à la présence d'un tel personnage dans un coin si pauvre, tranquille et loin de tout. S'il n'était que de passage, il n'aurait cependant sûrement pas choisi une telle auberge.
L'homme en question se fit resservir une chope, au moment où trois hommes en armure épaisse entraient d'un pas lourd et cliquetant. Les trois se dirigèrent vers le comptoir mais s'installèrent loin de l'ange. Il tenta de rester discret à mesure qu'il les détaillait. Des armures comme celles-ci n'étaient certes pas l'apparat de tous les guerriers de l'entre-monde - et heureusement. Elles semblaient vieilles, bien que peu abimées. Elles n'avaient pas du beaucoup servir, bien qu'on devina la poussière et des taches de terre et de sang. Si les trois gardes portaient la même armure, il en allait de même pour leurs haches. Elles semblaient identiquement lourdes et menaçantes.
Celui qui se plaçait entre ses deux compagnons avait une attitude de leader, levait la tête et se tenait droit, tandis que les deux autres semblaient monter la garde autour de lui. C'est celui du milieu qui commanda pour lui et ses compagnons, puis, comme l'avait fait Al, il jeta un oeil dans toute la taverne. L'ange retourna vite à son verre toujours vide, l'air de rien, avant que les gardes ne remarquent qu'il les observait, puis releva les yeux sur eux. Celui du milieu semblait dévisager étrangement l'homme chapeauté, comme s'il venait de le désigner comme cible de sa mauvaise humeur.
Le patron, inquiet, regardait les gardes. On pouvait lire dans son regard qu'il savait comment commençait ce genre d'histoires et comment elles se finissaient - ce qui devait aussi expliquer l'état piteux du bar. Il souhaitait sûrement prévenir toute agression, mais ne savait comment parler à des gardes qui ressemblaient à des brutes.
Al allait aussi avoir du mal à régler la situation avec son don. Ses sentiments ne pouvaient pas traverser l'acier de leur armure, aussi ne pourrait-il aider qu'en se battant ou en faisant diversion.
Il serait bien resté à l'écart d'un combat, il n'aimait pas se mêler de ce qui pouvait lui attirer des ennuis, mais s'il s'agissait bien de son commanditaire, il ne pouvait juste pas le laisser mourir.

- Mon whisky, ça vient, oui?!


Il avait dit ça avec force colère, et grandement exagéré. Peut-être que son intervention suffirait à détourner le garde de sa cible et permettrait à la journée de se dérouler pour le mieux. Le patron chercha un instant ce qu'il devait faire, puis s'attela à remplir le verre de Al avec précipitation, en présentant ses excuses.
Maintenant, il lui fallait boire le verre, s'il voulait garder sa crédibilité. S'il ne le buvait pas alors qu'il s'était montré empressé de l'avoir, cela aurait l'air louche. Il le saisit, peu rassuré, le porta à ses lèvres et en engloutit la moitié d'un coup. La gorge en feu, il prit sur lui cependant, appuyant sa joue sur sa main, comme l'air ennuyé, pour dissimuler son visage aux autres, de peur qu'il ne trahisse son malaise. Au bout de quelques dizaines de secondes, il se sentit mieux, et finit son verre dignement. La première gorgée était la pire, et il se félicita d'avoir mangé avant d'arriver, car lui et l'alcool c'était déjà assez comique comme ça, pas besoin d'être à jeun en plus.
Il se retourna pour voir comment les choses avaient évolué.

Spoiler:
Al
Aubergiste
Al

Masculin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Titre : Rockstar

Race : Ange
Statut : Aubergiste
Messages : 172
Titre débile : L'ange en plastique

Re: Noir et Blanc

Jeu 15 Juil - 11:59


Solomone avait un sourire narquois en voyant les 3 brutes au comptoir, de plus il savait que dans l’ombre personne ne pourrait remarquer son regard. Il visualisa les moyens de sortir en cas de dégénérescence, Kane était un très bon combattant mais de là à tuer 3 brutes armées dans un espace aussi étroits c’était surnaturel. Il vit la porte en bois mité sans doute facile à enfoncé d’un coup de pied ou d’épaule, une fenêtre dont un des carreaux était déjà cassé et une pièce annexe qui devait sans doute contenir une porte donnant sur l’extérieur. La brute « leader» commença à le dévisager, Kane déposa alors ses jambes au sol et mis une main sur la chope et l’autre sous sa cape noir, appuyé contre le manche de son épée, il restait néanmoins adossé à la colonne pour cacher ses émotions. D’ailleurs la scène qui se déroulait devant lui le faisait bien sourire : le jeune homme avait du sentir la tension et avait essayé de détourner l’attention sur lui en criant au patron, de plus vue la façon dont il avait bu son whisky il n’aimait pas l’alcool.
*Bon il va peut être falloir que je sorte mais il n’y as toujours pas de mercenaire en vue ou du moins de bons combattants*
Kane se leva et se déplaça vers le gringalet et le vieux. Leur table était en bois recouverts d’une nappe trouée, dessus était posé deux petit verre et il jouait au cartes. Ils levèrent la tête en voyant Solomone s’approché.
« Bonjours messieurs vous attendez quelque chose ou quelqu’un ? chuchota t il »
Le vieux secoua la tête en signe de réponse.
« Seriez-vous là pour l’annonce, redemanda t il une lumière narquoise dans les yeux. »
Le jeune remua sur la chaise, Kane en déduis qu’il avait pris peur. Le vieux tâtonna un plan de sa veste, Solomone cru y voir une forme de carabine. Il recula d’un pas, il voulait éviter de mourir de cette manière dans un bâtiment pourrit. Par précaution Kane passa sa main sous la cape prêt à dégainer en cas d’urgence mais il sentait les regards des gardes dans son dos. L’adrénaline commença à montée dans son corps un frisson parcouru l’échine de Solomone. Il lança un regard noir à une des brutes qui alors s’approcha de lui.
« T’as un problème !? aboya la brute »
« Si je dis vous vous sa marche, répliqua Kane une lueur de meurtre dans les yeux »
C’est alors que le vieux sortit sa carabine, Kane plongea à terre en renversant une table devant lui. Le coup partit dans l’ouverture du heaume, la brute tomba à terre. Du sang coula le long du plancher et les gardes du comptoir se leva et prirent leur hache et se dirigea vers Kane qui était un peu sonné encore à terre.
« Eh toi je t’ai déjà vue quelque part ! »
*Oula je suis mal barré !*
Avant que Solomone puisse se relevé une hache transperça le sol juste à côté de lui. Il roula sur le côté mais en se relevant Solomone avait alors une carabine dans son dos. Sans paniquer Kane regarda autour de lui pour trouver une solution. Il souffla un coup et attendit que sa se passe.
Solomone Kane
Solomone Kane

Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humain
Messages : 54

Re: Noir et Blanc

Jeu 15 Juil - 23:13


Al eut du mal à suivre toute l'action. D'une tout se passa très vite, de deux il était un peu gêné par l'alcool qui continuait de lui bruler la gorge.
Bon s'il remettait les événements dans l'ordre, peut-être comprendrait-il ce qu'il s'était passé, et saurait s'il devait rester à l'écart ou intervenir.
Donc, le leader des gardes à l'armure épaisse dévisageait l'homme au chapeau dans son coin. Celui-ci s'était levé sans vraiment de raison, et avait accosté les deux hommes d'apparence pauvre qu'il avait remarqués plus tôt. Il leur murmura des paroles que Al ne saisit pas, du fait de la trop grande distance, mais il voyait bien que tout cela avait intrigué le chef des gardes. Il se retourna complètement, se penchant vainement pour tenter d'entendre ce que l'autre disait. Il agissait en maitre des lieux, et peut-être bien qu'il aurait été moins fier sans sa hache et l'armure qu'il portait.
Le vieillard que l'homme sombre avait accosté semblait gêné par celui-ci, et au bout de quelques instants attrapa dans sa cape ce qui ressemblait à une arme à feu. Il l'avait bien dissimulée, car Al en entrant, ne l'avait pas du tout remarquée, et il douta que les autres ne fussent pas dans le même cas. L'homme se sentit menacé par ce geste et plongea sa main dans sa propre cape, sûrement pour attraper son arme à lui.
Jusqu'ici, Al arrivait à clairement suivre le cours des événements. C'était après que ça se gâtait.
Un des gardes, envoyé par son leader, s'approcha de l'homme en noir et l'interpella violemment. L'autre lui répondit de manière plus qu'effrontée, puis se jeta à terre. Un tir suivit, provenant de la carabine du vieillard, et tua le garde sur le coup. Étonnant. Il ne lui semblait pas que le garde ait fait quoi que ce soit au vieillard qui nécessite cette violence. Soit L'homme en noir avait eu beaucoup de chance que ses adversaires se tuent entre eux, soit il avait manigancé son coup avec le vieil homme.
Plus étonnant encore, les gardes ne se ruèrent pas sur celui qui avait tué leur coéquipier, mais sur l'homme à terre. L'ange put alors distinguer deux camps bien distincts : l'homme en noir, contre le reste. Il esquiva de peu un coup de hache mais se retrouva une carabine pointée dans le dos. Cela ressemblait bien à une embuscade. A ceci près que personne ne faisait attention à lui, ce qui était étrange dans la mesure où il aurait très bien pu être un des alliés de l'homme au chapeau et donc représenter une menace.
Bon voilà. Il avait mis en ordre ce qu'il avait vécu et se retrouvait maintenant face à un dilemme : soit il déguerpissait, ce que tout le monde verrait d'un meilleur œil, sauf l'homme en noir, soit il intervenait et s'attirait des ennuis, mais secourait la pauvre victime du complot.
Peut-être aurait-il pris la plus sage des décisions s'il n'avait pas ainsi vidé son verre de whisky. Il choisit d'aider l'homme en noir, ignorant totalement pour le coup sa prudence.
Il arriva par derrière le garde qui regardait son compagnon se battre, coupa la sangle qui permettait à la hache de tenir accrochée dans son dos, et se prépara à frapper. Comme il s'y attendait, l'homme se retourna, cherchant à comprendre, et, avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit, Al envoya le manche de sa dague fracturer sa mâchoire non protégée avec un violent uppercut. Le garde tomba sur le sol, assommé, dans un grands fracas de métal torturé.
Cela eut pour effet de détourner l'attention de tous, et de faire se retourner le dernier garde avant qu'il ne frappe l'homme en noir de sa hache. Maintenant, il lui fallait affronter à lui seul cet ennemi mieux armé et protégé que lui, en espérant que l'autre pourrait éviter de se faire tuer.
Il recula de quelques pas, histoire de pouvoir anticiper les mouvements de son adversaire lorsque celui-ci lui foncerait dessus. Mais il ne bougea pas. Ils restèrent là, à se regarder dans le blanc des yeux. Le son d'un harmonica s'éleva, accompagné par une bourrasque de vent qui parcourut la rue poussiéreuse. Les deux adversaires se faisaient face, ne bougeant que le bout des doigts, cherchant à feinter une prise de leur arme.
Puis, un peu lassé de tout ce cinéma vieux comme le monde, il tira la langue au garde. Celui-ci resta coi, ne sachant que penser d'une telle attitude, probablement. Al sourit, attrapa sa dague et la lança approximativement vers la tête du garde. Celui-ci, par peur, fit un geste du bras pour contrer la lame qui lui arrivait dessus. Elle pénétra l'armure et entailla la peau de l'homme, mais l'acier remplit son rôle et sa blessure fut superficielle. Son soulagement fut de courte durée. Al avait plongé au sol et tentait un tacle violent pour renverser son adversaire, qui, handicapé par son habit de fer, n'avait pas le meilleur équilibre qui soit. Il tomba lourdement, entrainant un autre fracas de métal, le ventre à terre. L'ange récupéra sa dague, et la planta dans le haut de l'armure en la traversant. L'homme eut un sourire.

-Tu sais pas viser ou quoi?


Seul le sourire de l'ange lui répondit. L'homme tenta de se relever, mais ne pouvait bien plier les bras du fait de sa lourde armure, et Al, grâce à sa dague, l'avait attaché au sol.

-Si je n'avais pas su viser, tu aurais sûrement très mal en ce moment même.

Et il éclata de rire devant le spectacle que l'homme offrait en se débattant. Cela faisait du bien de se défouler un peu. Surtout qu'il ne pouvait avoir de remords à aider un pauvre innocent dans le besoin, en limitant la douleur de ses adversaires, par dessus le marché. Et puis qu'y pouvait-il? L'alcool faisait ce qu'il voulait de lui, et cela avait toujours été comme ça, même après un seul verre.
Il se retourna vers l'endroit où était l'homme chapeauté un peu avant. Il n'avait pas fait attention à ce qui s'était passé de son côté, et espérait qu'il s'en soit sorti.
Al
Aubergiste
Al

Masculin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Titre : Rockstar

Race : Ange
Statut : Aubergiste
Messages : 172
Titre débile : L'ange en plastique

Re: Noir et Blanc

Ven 16 Juil - 13:10


Kane avait apprécié l’intervention du jeune homme. Cela lui avait enlevé de deux gros poids, mais une chose était décevante c’était que le jeune homme osait pas tuer ses ennemis. S’il était la pour devenir sous ses ordres Kane le prendrait surement car il se battait bien mais Solomone devrait lui apprendre à tuer, le sang froid pour calmer les situations dangereuses. Kane pensa à ça tout en regardant le jeune se débattre avec la deuxième brute. Il vit une bonne rapidité dans ses mouvements et qu’il connaissait les gestes, c’était il entrainé avant ? Kane revint à son combat il avait toujours une carabine planté conter l’arrière de sa tête. De plus le jeune avait sortit une vieille lame de son manteau.
« Bon maintenant qu’ils ont commencé à faire le spectacle nous ont fais quoi ? demanda Kane aux deux compères »
« Hein ? »
Avant qu’ils aient pu réagir, Kane mit un genou par terre et donna un coup de poing dans le manche du fusil, celui-ci vola au fond de la salle. Avant que le jeune puisse réagir Solomone sortit son arme et la pointa sous la gorge du vieux. Le jeune écarquilla les yeux, Kane aperçut la peur qui montait dans l’âme du gamin, il devenait tout blanc. Quand au vieux de la sueur perlait sur son front et les larmes commençaient à venir dans ses yeux marron.
« Bien maintenant que nous sommes au calme on va pouvoir discuter, me connaissez-vous ? »
« Vous êtes… Solomone Kane, dit le jeune qui tremblais de partout »
« Bien je vois que vous me connaissez et que savez vous de moi ? Tiens au faites pose ton arme avant de te blesser »
Le jeune s’exécuta et répondit :
« On dit que vous recrutez des mercenaires et que vous tuez tous ceux qui se mettent en travers de votre route et… »
Kane l’interrompit en le poussant du bras. Quelque chose qui était accroché sur le mur l’intriguait, il y avait une photo. Solomone arracha la feuille et la lu pour lui à voix basse. C’est alors qu’il comprit, des pulsations meurtrières montèrent en lui, ses yeux se fixèrent sur le vieux.
« C’est pour sa que vous avez tué le garde et non moi ! Il me veule vivant pour 5000pins »
« C'est-à-dire que … »
Le vieux n’eut pas le temps de finir sa phrase la lame d Solomone se planta dans son ventre. Le gamin tomba à genoux à côté de son arme, les larmes tombèrent l’une après l’autre sur le sol. Kane s’approcha de lui, avec sa lame il lui leva la tête et le regarda un sourire moqueur en coin.
« Tu diras à ton père de ne pas jouer avec le diable et la prochaine fois que je le vois il n’aura pas là même chance. Maintenant dépêche toi de trouver quelqu’un pour le soigner avant qu’il se vide de son sang sur le plancher.»
Le gamin courut vers son père il le prit entre ses bras et se précipita vers la sortit. Kane s’assit sur une chaise, un pied sur le premier garde assommé, et il regarda le combat qui se termina entre le mec qui l’avait aidé et la brute. Quand le jeune mis le dernier garde à terre et il l’applaudit sur sa chaise. Mais il entendit des cris venir de la rue alors il se leva d’un bon pris le vainqueur du combat par le bras et l’entraina avec lui traverser la fenêtre d’en face. Quelques minutes après d’autre gardes étaient dans le bar.
Solomone Kane
Solomone Kane

Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humain
Messages : 54

Re: Noir et Blanc

Sam 17 Juil - 12:14


Al s'était donc retourné pour voir comment celui qu'il avait tenté d'aider s'en sortait. Apparemment, il avait réussi à inciter les deux autres au respect et à les faire déguerpir. Assis dans sa chaise, un pied sur le garde qu'Al avait mis à terre, il applaudit d'une manière qui ne plut guère à l'ange. Gardait-il toujours cet air supérieur et méprisant? Connaissait-il au moins le sens du mot "humilité"? Il en doutait.
Plongé dans son combat, l'ange n'avait pas vu ce qu'il avait fait aux autres, mais une flaque de sang jonchait le sol, et il avait l'intime conviction qu'il aurait pu éviter de blesser un pauvre vieillard, mais qu'il n'avait pas pu résister. Ce manque de respect dégoutait l'ange.
Al avait toujours grandi dans des valeurs de combattant, appris à mettre son honneur au dessus de sa vie, et à ne pas jouer avec celles des autres. Il avait appris que si un combat éclatait pour une bonne raison, la mort n'était pas nécessaire, et même à éviter. Qui pouvait nourrir de bonnes intentions en n'ayant pour but que la mort d'une autre personne?
L'ange fit un pas vers le garde qui tentait toujours sans succès de se relever, l'assomma d'un coup de pied sur le heaume, puis récupéra sa dague. Il se demanda un instant s'il était bien raisonnable de laisser cet homme l'embaucher. N'allait-il pas lui attirer des ennuis en le mêlant à ses histoires louches. Sans compter que sa tête était mise à prix, et qu'en tant que mercenaire, il sentait bien qu'il aurait également le devoir de garde-du-corps. Tout cela ne lui plaisait pas vraiment. Mais toutes ces idées étaient floues dans sa tête embrouillée par le whisky.
Il nota quand même mentalement le nom de l'homme, ainsi que la somme exorbitante qu'on offrait pour sa capture. Jamais Al n'avait vu criminel plus cher. Mais il n'avait pas fait tant d'efforts pour le protéger pour finalement se débarrasser de lui. Quoi que l'on pouvait voir cela comme une lutte pour la prime.
L'ange secoua la tête. Décidément il se posait trop de questions. Il s'apprêtait à engager la conversation avec Solomone Kane, mais des cris dans la rue l'arrêtèrent. On avait du prévenir les gardes de ce qui se passait ici. Avant qu'il l'eut remarqué, Kane avait pris son bras, et l'entrainait par une fenêtre dans une petite ruelle. Al se dit qu'ils auraient du assommer aussi le barman, car celui-ci, resté immobile et pétrifié pendant le combat, risquait de dire par où ils étaient partis. Mais bon, il pouvait se réjouir de n'avoir pas augmenté les souffrances qu'on avait subies dans cette auberge - où il se promit de ne plus jamais remettre les pieds.
Ils coururent dans la ruelle, et tournèrent entre les maisons à chaque fois qu'ils le purent, tout en essayant de s'éloigner des grands axes de la ville, pour semer leurs poursuivants et rester à l'écart des chemins fréquentés.
Enfin, ils arrivèrent à la dernière maison avant les champs, et, à un ou deux kilomètres, la forêt. Il était nécessaire d'arrêter de courir, car maintenant, il fallait éviter d'attirer l'attention. Ils se cachèrent un instant derrière une charrette de foin.

- Alors comme ça tu es recherché? Ça ne va pas nous faciliter la tâche... Dis-moi, c'est bien toi qui engage des mercenaires? Quelle mission tu proposes?


Il avait voulu s'arrêter un instant histoire de reprendre un peu leur souffle, et de savoir ce qui l'attendait.
Un paysan sortit de la maison, sifflotant, puis se dirigea vers une écurie. L'idée vint à l'esprit de Al "d'emprunter" des chevaux, mais il la rejeta : il n'était pas un voleur. De plus, il n'avait rien fait de mal, lui, et souhaitait que cela continue ainsi. Et si le paysan ne possédait qu'un seul cheval, dont il était parti s'occuper, il faudrait l'éliminer lui aussi. C'était un risque qu'il ne souhaitait pas prendre.
Al
Aubergiste
Al

Masculin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Titre : Rockstar

Race : Ange
Statut : Aubergiste
Messages : 172
Titre débile : L'ange en plastique

Re: Noir et Blanc

Sam 17 Juil - 14:31


Avenka, qui errait toujours sans but avant de rentrer chez elle, était passée devant l'auberge. Du bruit à l'intérieur fit monter sa curiosité et la poussa à entrer. Le spectacle qui s'offrit à elle l'amusa alors qu'elle devrait en être effrayée. Personne ne l'avait remarquée, elle s'assit sur un tonneau, près de l'entrée. À un moment donné, un jeune homme rata de près un autre en armure, ce qui déçut un peu la jeune fille.
Le combat dura. Elle ne vit pas l'homme en noir tuer l'enfant, ce qui l'aurait probablement choquée.
Petit à petit, le calme revint, les deux hommes s'enfuirent par derrière et d'autres gens arrivaient.

L'inconscience eut raison de l'esprit d'Avenka et elle décida de les suivre, pour passer le temps, et parce que c'était l'occasion rêvée de mettre un peu de piment dans son quotidien.

Elle vérifia que sa dague à elle était toujours accrochée à sa ceinture et pendant que l'aubergiste n'était plus là elle fourra un pain entier dans sa besace et sortit. Elle les entendit discuter mais ne savait pas de quoi ils parlaient, elle n'avait pas l'ouïe assez fine. Leste comme un chat, elle sauta sur une charrette pleine de sac et s'assit, un peu cachée. Mais une planche craqua...
Avenka Siaiyone
Avenka Siaiyone

Féminin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humaine (?)
Notes : Noir et Blanc Peelfique33ls
La belle dague d'Avenka, pendue à sa ceinture dans son fourreau de cuir =)

Messages : 227
Titre débile : Loveuse de nuages, Nez-en-l'air

Re: Noir et Blanc

Dim 18 Juil - 16:16


L’attitude du jeune homme commençait déjà à lui monté à la tête. A peine sorti de cette auberge déjà il posait pleins de questions. Ils étaient atterrit devant une écurie, sa toiture était faites de tuile vieille et cassées et le bâtiment était fait de planches rougeâtre décolorée par endroits. Le temps pressait il devait se dépêcher il entendait les bruits des gardes qui se rapprochait d’eux et Kane n’avait pas envie de se faire chopper encore une fois. Il avança vers l’écurie et soudain il entendit un craquement qui provenait d’une charrette. Il arrêta net son pas et tendit l’oreille mis la main à son arme et se demanda si le jeune homme avait entendu le bruit. Solomone fit mine de rien en gardant la main caché sous sa cape et continua sa route vers l’écurie. La porte était ouverte, elle était en bois noirs des bouts avaient été attaqué par la pluie. Il sentit que son nouveau compagnon avait refusé de le suivre vers le bâtiment, il poussa un peut plus la porte. Il du s’habituer à l’obscurité de la pièce, une odeur de cheval mélangé au sable attaquait le nez de Solomone il mit sa cape devant son nez et sa bouche et avança. Il ramassa par terre un mouchoir et essuya son arme dessus puis il le jeta dans un enclos vide. Soudain il aperçut un cheval seul mais en regardant par terre il vit des trace de pas fraiche et avant qu’il ait pu sortir son arme un coup de feu retentit dans l’étable. Il plongea à terre derrière une planche de bois.
*Surement le fermier qui voulait protéger sa bête, pensa Kane, je dois faire vite avant que sa attire les autoritées.*
Un deuxième coup retentit de la poussière tomba du plafond. Kane se déplaça discrètement d’enclos en enclos sans que le fermier puisse le voir. Celui-ci ne faisait que de crier :
«Partez ! Sortez tout e suite de mon étable je n’hésiterais pas à faire feu pour me défendre. »
Ce qui faisait sourire Kane, celui-ci qui arriva à deux pas de l’enclos il sortit son épée, le suintement fut léger et discret. Il allait menacer le fermier c’est alors qu’il entendit des bruits de bataille à l’extérieur était-ce la personne dissimulé dans la charrette qui était contre son compagnon ou les gardes ? Mais ce moment d’hésitation permis au fermier de lui tiré dessus le coup lui frôla l’oreille ce qui lui fit avoir un vague vertige. Mais il eut quand même le temps de se dissimilé derrière un poteau alors que le vieux propriétaire retira une balle. Solomone secoua la tête pour se remettre les idées en place et se déplaça rapidement en longeant le mur. Il arriva derrière le fermier alors que celui-ci continuais à crier :
«Partez ! Sortez tout e suite de mon étable je n’hésiterais pas à faire feu pour me défendre. »
Kane lui mis son épée derrière le coup :
« Lâche ton arme et tout ira bien »
La voix calme et maléfique de Solomone fit trembler le vieux il eut un frison qui lui parcourais le corps puis il lâcha son arme au sol. Kane lui coupât sa ceinture ou il y avait d’accroché plusieurs couteaux. Solomone se dirigea vers le cheval il le décrocha saisit une selle tout en gardant le vieux à l’écart. En voulant sortir il aperçut un autre cheval certes un peu jeune mais il pourrait surement convenir il le prit et sortit de la grange avec les deux chevaux. Le spectacle qu’il avait devant els yeux le fit sourire.

Ordre de post : Al, Avenka et moi si sa convient pas on se mp
Solomone Kane
Solomone Kane

Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humain
Messages : 54

Re: Noir et Blanc

Lun 19 Juil - 16:32


HS : moi ça me va, j'étais pas sûre que ça soit libre mais apparemment oui ^^ il faut voir ce que fait Al =)

Toujours cachée derrière la charrette, Avenka observait les deux hommes. Elle était rassurée que le bruit de planche n'ait ameuté personne. Trop occupé à s'enfuir, l'homme en noir ! Et l'autre, que faisait-il ? Sa tête lui disait quelque chose...L'homme en noir allait entrer dans l'écurie quand les coups de feu retentirent. D'un bond, elle gagna le toit, personne ne l'avait vue, ouf ! Elle faillit glisser sur les tuiles, puis gagna prestement l'autre côté de l'étable. Elle se pencha, vit l'homme occupé avec l'aubergiste. Le soleil se refléta sur ses longs cheveux cendrés, et elle se retira vivement.
L'homme partait avec les deux seuls chevaux, et elle n'avait plus l'autre en vue. Toujours le sang plein d'adrénaline, elle sauta du toit, courut jusqu'à la route, se glissa derrière un arbre pour être prête à les suivre lorsqu'ils partiraient.
Elle n'était pas sûre, en revanche, d'être restée inaperçue...


*Je pourrais suivre les chevaux s'ils vont au galop, mais je ne tiendrais pas deux heures à cette cadence ! On verra bien.*
Avenka Siaiyone
Avenka Siaiyone

Féminin Suivi : Fiche - Carnet de bord

Race : Humaine (?)
Notes : Noir et Blanc Peelfique33ls
La belle dague d'Avenka, pendue à sa ceinture dans son fourreau de cuir =)

Messages : 227
Titre débile : Loveuse de nuages, Nez-en-l'air

Re: Noir et Blanc


Contenu sponsorisé


Page 1 sur 3 1, 2, 3  Suivant