AccueilWouah le décor de fou !
Lun 11 Oct - 20:33
Pan dévala comme un skieur dans un virage la longue plainte métallique de la passerelle d'atterrissage du zeppelin. Il sauta à pieds joint sur le sol et couru sans m'attendre vers K'en. Enfin, le bâtiment. Et moi derrière, essoufflée et rouge de sueur je lui courais après parce que depuis le décollage il ne cessait d'aller et venir de la tête d'un passager à une autre. Faisant les poux d'un centaure garé là -et prêt à en faire un chewin-gum- sautillant alors sur le crâne plein de serpent d'une gorgone plus ou moins de mauvaise humeur. Et quand il vit le bras métallique hérissé de griffes menaçante il fila sur la croupe d'un hippogriffe, l'animal se débattit tant et si bien qu'il chassa Peter Pan tout apeuré vers d'autres contrées sauvages à l'intérieur du Zeppelin. Et moi derrière à hurler :
-PAN !
La porte s'ouvrit. Il passe de justesse tirant sur sa queue avant qu'elle ne soit écrasé par le battant qui se referma. Je m'aplatis à moitié sur la porte pour entrée et là je vis le singe figé devant une déco dans le genre rutilante et lumineuse. Le singe en avait des étoiles plein les yeux... Et mon pied écrasé sur sa queue afin qu'il ne bouge plus d'un millimètre lorsque la surprise passera.
Un robot passe par là. J'écrase Pan dans ma poche et je retiens l'androide de justesse. Il me regarde de ses loupiotes lumineuse.
-Je dois voir Maitre K'en. Dites lui que ça concerne la boite cachée !
Le machin était assez consciencieux pour exigter que j'ôte mes mains de sa carlingue. Et il fila chercher M. Neythen dans un "encore une qui veut se faire botter le derrière". On va voir qui va botter le derrière de qui !
-PAN !
La porte s'ouvrit. Il passe de justesse tirant sur sa queue avant qu'elle ne soit écrasé par le battant qui se referma. Je m'aplatis à moitié sur la porte pour entrée et là je vis le singe figé devant une déco dans le genre rutilante et lumineuse. Le singe en avait des étoiles plein les yeux... Et mon pied écrasé sur sa queue afin qu'il ne bouge plus d'un millimètre lorsque la surprise passera.
Un robot passe par là. J'écrase Pan dans ma poche et je retiens l'androide de justesse. Il me regarde de ses loupiotes lumineuse.
-Je dois voir Maitre K'en. Dites lui que ça concerne la boite cachée !
Le machin était assez consciencieux pour exigter que j'ôte mes mains de sa carlingue. Et il fila chercher M. Neythen dans un "encore une qui veut se faire botter le derrière". On va voir qui va botter le derrière de qui !
- Virgile
- Suivi :
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Statut : Bibliothécaire remplaçant
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Re: Wouah le décor de fou !
Lun 11 Oct - 21:38
Une sorte de boîte de conserve cylindrique montée sur roulettes glissa jusqu'à Virgile. On aurait dit R2D2, les sifflements et la tête pivotante en moins. Il n'était pas très gai... comme les lieux d'ailleurs. Il s'arrêta juste devant l'invité surprise et une fente sur le devant de sa carlingue se mit à parler d'un timbre métallique particulièrement désagréable. Franchement, on faisait beaucoup plus évolué comme robot ! Celui-ci faisait office de pièce de musée dans le décor surréaliste. Pratique, le marbre immaculé. Dépourvu du moindre gramme de poussière susceptible de se fourrer dans les rouages du personnel cybernétique.
« Ordre 51 : conduire l'hôte à Maître Haine (ou prononça-t-il simplement « N », difficile à dire).]Veuillez me suivre. »
Et la boîte pivota comme la tête d'un hibou – pas en or celui-là ! Pour faire demi-tour c'était idéal. Pas de manœuvre, juste une petite valse ! Il fallait juste faire attention de ne pas toujours tourner dans le même sens... bref ! Le robot roula jusqu'au bâtiment austère et bizarrement luxueux. Froid, avec l'Hécatonchire à l'entrée qui semblait fusiller Virgile de ses innombrables regards. Sans s'arrêter, le robot traversa le hall, pris le couloir et sortit sur une sorte de gigantesque patio au milieu duquel trônait la tour du maître des lieux. Plus moderne que le reste du bâtiment et entièrement recouvert de panneaux photovoltaïques, l'édifice rutilait de mille feus. Une porte s'ouvrit pourtant dans ses flancs, laissant le passage libre au robot, à l'invité, et à son singe en papier. Un monte-charge les conduisit à l'étage – lequel, ça devrait demeurer un mystère – et le domestique de métal fit un nouveau demi-tour sur les suspensions.
« Ordre 51 : accompli. Autre chose pour vous servir, maître Haine ?
_ Merci Janus. » fit la voix de Neythen derrière son bureau.
Interprêtant cette non-réponse comme un non, le robot alla s'auto-ranger dans une alcôve et passa en mode veille, prêt à se réactiver pour servir l'ordre suivant. Briarée, sagement occupée à passer en revue les requêtes administratives les plus rébarbatives que l'Entre-Monde ait jamais porté, hocha à peine la tête vers le visiteur en guise de salut. Neythen se contenta d'un regard fixe, bleu, artificiel et froid.
« C'est pour quoi ? »
« Ordre 51 : conduire l'hôte à Maître Haine (ou prononça-t-il simplement « N », difficile à dire).]Veuillez me suivre. »
Et la boîte pivota comme la tête d'un hibou – pas en or celui-là ! Pour faire demi-tour c'était idéal. Pas de manœuvre, juste une petite valse ! Il fallait juste faire attention de ne pas toujours tourner dans le même sens... bref ! Le robot roula jusqu'au bâtiment austère et bizarrement luxueux. Froid, avec l'Hécatonchire à l'entrée qui semblait fusiller Virgile de ses innombrables regards. Sans s'arrêter, le robot traversa le hall, pris le couloir et sortit sur une sorte de gigantesque patio au milieu duquel trônait la tour du maître des lieux. Plus moderne que le reste du bâtiment et entièrement recouvert de panneaux photovoltaïques, l'édifice rutilait de mille feus. Une porte s'ouvrit pourtant dans ses flancs, laissant le passage libre au robot, à l'invité, et à son singe en papier. Un monte-charge les conduisit à l'étage – lequel, ça devrait demeurer un mystère – et le domestique de métal fit un nouveau demi-tour sur les suspensions.
« Ordre 51 : accompli. Autre chose pour vous servir, maître Haine ?
_ Merci Janus. » fit la voix de Neythen derrière son bureau.
Interprêtant cette non-réponse comme un non, le robot alla s'auto-ranger dans une alcôve et passa en mode veille, prêt à se réactiver pour servir l'ordre suivant. Briarée, sagement occupée à passer en revue les requêtes administratives les plus rébarbatives que l'Entre-Monde ait jamais porté, hocha à peine la tête vers le visiteur en guise de salut. Neythen se contenta d'un regard fixe, bleu, artificiel et froid.
« C'est pour quoi ? »
Dernière édition par Neythen N. le Lun 6 Déc - 18:17, édité 2 fois
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Re: Wouah le décor de fou !
Lun 11 Oct - 21:50
Mes yeux ronds comme des soucoupes (et j'étais pas la seule, Pan en gardait la bouche ouverte et ses grands yeux en papiers tout autant) à découvrir la décoration des lieux. Des œuvres d'art et l'autre robot ménager au design d'une friteuse qui vint nous chercher. Il faisait vraiment bizarre entre ces murs. J'allais lui dire quand on me fit entrer dans ce qui me sembla être le bureau du maitre. Ronchonnant contre l'escroquerie du contribuable (elle est belle la déco et elle doit coûtée chère...) je tirais sur les coins de mes lèvres pour former un sourire de comédienne.
-Je dois parler par Ordre moi aussi ?
Pointe d'humour inutile... On est sur Ken par sur K'ouen. Quoique des deux on se demande quelle île est la plus triste et ronchonne ! Pour la deuxième fois aujourd'hui je m'éclaircis la gorge sous le rire moqueur de Pan qui tapait de son petit poing sur mon épaule en signe d'hilarité. Y en a au moins un réceptif à mon humour.
-On m'a dit qu'une boite était cachée ici, je viens quérir l'objet en question.
J'allais lui dire que je suis actrice, intérimaire et éboueuse à mes heures perdues. Je le débarrasserais volontiers d'un Hi-bou d'or inutile... vraiment, c'est tout à fait gratuit comme service et je le fais avec plaisir !
Une pichenette et Pan tombait lentement (comme un ballon en papier en fait) vers le sol et entreprit d'aller voir si les pieds de Briarée était aussi durs qu'ils y paraissaient...
-Je dois parler par Ordre moi aussi ?
Pointe d'humour inutile... On est sur Ken par sur K'ouen. Quoique des deux on se demande quelle île est la plus triste et ronchonne ! Pour la deuxième fois aujourd'hui je m'éclaircis la gorge sous le rire moqueur de Pan qui tapait de son petit poing sur mon épaule en signe d'hilarité. Y en a au moins un réceptif à mon humour.
-On m'a dit qu'une boite était cachée ici, je viens quérir l'objet en question.
J'allais lui dire que je suis actrice, intérimaire et éboueuse à mes heures perdues. Je le débarrasserais volontiers d'un Hi-bou d'or inutile... vraiment, c'est tout à fait gratuit comme service et je le fais avec plaisir !
Une pichenette et Pan tombait lentement (comme un ballon en papier en fait) vers le sol et entreprit d'aller voir si les pieds de Briarée était aussi durs qu'ils y paraissaient...
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Re: Wouah le décor de fou !
Lun 11 Oct - 22:03
ÉTAPE 2 : VIRUS INFORMATIQUE
Si le joueur arrive ici après avoir résolu la seconde énigme, il remporte 40 PIMs.
Si le joueur arrive ici après avoir résolu la seconde énigme, il remporte 40 PIMs.
De l'humour, ici ? Fallait oser. Neythen fit la sourde oreille. C'était ça ou envoyer Virgile visiter Ordae par les airs. Ahem...
Comment vous résumer Neythen ? Un concentré de mauvaise foi et de mauvaise volonté quant à tout ce qui se rapprochait plus ou moins d'un poste informatique. Paradoxal lorsque l'on sait que le bonhomme est lui-même façonné d'une poignée de technologies avancées... Les siennes en tous les cas, elles fonctionnent. C'est même lui qui les contrôle, avec son propre cerveau. Il sait donc ce qu'elles font, ses nanoparticules intégrées à son être. Mais un ordinateur... ça c'est un mystère ! Un mystère conçu pour lui pourrir la vie. Alors autant dire que cette histoire de trésor, là, il n'a pas tellement envie de s'y pencher ! Un genre de ronchonnement s'extirpa d'entre ses lèvres. Virgile ne lui a encore rien fait, c'est vrai... mais il a déjà envie de l'envoyer explorer les dédales de Cerclon rien que pour avoir osé faire revenir à son bon souvenir cette fichue boîte. S'il se rappelait de l'espèce de timbré qui la lui avait refilée ? Un peu ouai ! On n'oublie pas un type avec une coupe de cheveux pareille !
« Ouai, j'm'en rappelle de vot' boîte, mais j'l'ai pas ! J'suis pour l'ordre épuré, et son truc, là, il faisait tâche dans le décor. J'm'en suis débarrassé. C'est même la première chose que j'ai faite quand je suis arrivé ici. Je l'ai filé à un mec au hasard dans la foule... Il venait chercher une mission à la Tour du Savoir je crois. J'm'en fous un peu à vrai dire. »
images.com/img/
Un oeil accusateur se posa sur Briarée, occupée à lire toute une série d'informations sur ses postes holographiques. Il y avait un écran face à elle, et derrière, six petites tables d'appoints – des piliers froids pour tout dire – accueillaient chacun un autre holoposte que ses bras flexibles consultaient comme autant de serpents cyclopes. Des fois, à la regarder lire avec ses 8 yeux à la fois, Neythen se demandait s'il ne rêvait pas... Sérieusement, il y avait encore des choses un peu trop surréalistes pour lui. Déjà qu'il avait du mal à se concentrer sur un seul formulaire administratif, alors franchement... Heureusement qu'il avait Briarée, et il ne voulait même pas savoir comment elle faisait. Sentant le regard de son maître posé sur elle – ou peut-être bien qu'avec autant de paires d'yeux l'un d'eux au moins avait remarqué son intérêt pour sa personne – la cyborg délaissa sa lecture.
« Puis-je faire quel...
_ Ouai ! La coupa Neythen qui ne s'habituait décidément ni à sa voix suave, ni à cette manie d'être constamment à ses pieds. Y'a quelques temps j'ai refourgué une boîte à quelqu'un. T'archive ce genre de broutille ou pas ?
_ Évidemment, maître Neythen. Je transmets l'information à votre poste... »
Nouveau grommellement de la part du Maître. Maître des intelligences artificielles ? Tu parles ! À l'heure actuelle, c'était surtout elles qui le maîtrisait. Il regarda son écran d'un air dubitatif, et ses iris artificiels changèrent de couleur. Du bleu, ils passèrent au vert... puis revinrent au bleu avec un air déçu. Finalement, il attrapa son écran plat et le fit pivoter de manière à le positionner face au visiteur.
Comment vous résumer Neythen ? Un concentré de mauvaise foi et de mauvaise volonté quant à tout ce qui se rapprochait plus ou moins d'un poste informatique. Paradoxal lorsque l'on sait que le bonhomme est lui-même façonné d'une poignée de technologies avancées... Les siennes en tous les cas, elles fonctionnent. C'est même lui qui les contrôle, avec son propre cerveau. Il sait donc ce qu'elles font, ses nanoparticules intégrées à son être. Mais un ordinateur... ça c'est un mystère ! Un mystère conçu pour lui pourrir la vie. Alors autant dire que cette histoire de trésor, là, il n'a pas tellement envie de s'y pencher ! Un genre de ronchonnement s'extirpa d'entre ses lèvres. Virgile ne lui a encore rien fait, c'est vrai... mais il a déjà envie de l'envoyer explorer les dédales de Cerclon rien que pour avoir osé faire revenir à son bon souvenir cette fichue boîte. S'il se rappelait de l'espèce de timbré qui la lui avait refilée ? Un peu ouai ! On n'oublie pas un type avec une coupe de cheveux pareille !
« Ouai, j'm'en rappelle de vot' boîte, mais j'l'ai pas ! J'suis pour l'ordre épuré, et son truc, là, il faisait tâche dans le décor. J'm'en suis débarrassé. C'est même la première chose que j'ai faite quand je suis arrivé ici. Je l'ai filé à un mec au hasard dans la foule... Il venait chercher une mission à la Tour du Savoir je crois. J'm'en fous un peu à vrai dire. »
images.com/img/
Un oeil accusateur se posa sur Briarée, occupée à lire toute une série d'informations sur ses postes holographiques. Il y avait un écran face à elle, et derrière, six petites tables d'appoints – des piliers froids pour tout dire – accueillaient chacun un autre holoposte que ses bras flexibles consultaient comme autant de serpents cyclopes. Des fois, à la regarder lire avec ses 8 yeux à la fois, Neythen se demandait s'il ne rêvait pas... Sérieusement, il y avait encore des choses un peu trop surréalistes pour lui. Déjà qu'il avait du mal à se concentrer sur un seul formulaire administratif, alors franchement... Heureusement qu'il avait Briarée, et il ne voulait même pas savoir comment elle faisait. Sentant le regard de son maître posé sur elle – ou peut-être bien qu'avec autant de paires d'yeux l'un d'eux au moins avait remarqué son intérêt pour sa personne – la cyborg délaissa sa lecture.
« Puis-je faire quel...
_ Ouai ! La coupa Neythen qui ne s'habituait décidément ni à sa voix suave, ni à cette manie d'être constamment à ses pieds. Y'a quelques temps j'ai refourgué une boîte à quelqu'un. T'archive ce genre de broutille ou pas ?
_ Évidemment, maître Neythen. Je transmets l'information à votre poste... »
Nouveau grommellement de la part du Maître. Maître des intelligences artificielles ? Tu parles ! À l'heure actuelle, c'était surtout elles qui le maîtrisait. Il regarda son écran d'un air dubitatif, et ses iris artificiels changèrent de couleur. Du bleu, ils passèrent au vert... puis revinrent au bleu avec un air déçu. Finalement, il attrapa son écran plat et le fit pivoter de manière à le positionner face au visiteur.
« J'suis navré mais j'ai quelques problèmes avec mon écran, et faudra vous y faire. Voilà l'info. Et maintenant, moi, j'ai autre chose à faire que de courir après une boîte. Janus ! »
Sur ces mots toujours aussi amicaux, Neythen mit fin à l'entrevue, et comme un robot bien programmé, la boîte de conserve sortit de son emplacement.
« Ordre 52 : raccompagner les visiteurs au pont d'envol. Veuillez me suivre. »
Sur ces mots toujours aussi amicaux, Neythen mit fin à l'entrevue, et comme un robot bien programmé, la boîte de conserve sortit de son emplacement.
« Ordre 52 : raccompagner les visiteurs au pont d'envol. Veuillez me suivre. »
Dernière édition par Neythen N. le Lun 6 Déc - 18:17, édité 2 fois
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Re: Wouah le décor de fou !
Mar 12 Oct - 12:45
J'ai plissé les yeux devant son écran plat... Tout acteur itinérant que je suis, les ordinateurs c'est pas mon fort, c'est pas le sien non plus à croire ! Pas le temps de m'exclamer une blague bien de chez moi, l'autre friteuse me ramène dans le couloir et puis quelques instants plus tard, après de nombreux pas où je grattais mon menton en signe de réflexion, il m'abandonna dans le hall. L'air de dire que bon, c'est fait, il avait plus qu'à retourner dans sa case.
-Byebye Friteuse.
Un salut lointain et Pan qui faisait semblant de pleurer dans mes cheveux plus tard, je regagnais le ponton. Lequel ? J'en sais fichtrement rien, je veux aller ailleurs. M'éloigner et réfléchir encore un peu. Il va bien falloir que la trouve cette solution ! Allez hop ! Dans le zeppelin. Je retrouve l'équipage de tout à l'heure qui me regarde comme le monstre de Cloverfield. Enfin, non, c'est Peter Pan le monstre. Enfermé dans ma main, il essaye de mordre la jointure de mon pouce et de mon index. Pas de chance, je ne lui ai pas fais de dents quand je l'ai fabriqué.
Le Zeppelin décolle dans un grondement de moteur et le vent frais d'un hublo ouvert apaise mon âme quand mon esprit tourbillonne avec lui. (je suis actrice on vous a dit !).
Pan, lui, le vent lui fait ni chaud ni froid, il veut se libérer quitte à écraser ses formes dans mon poing. Il serait temps de lui trouver du papier de rechange.
-Byebye Friteuse.
Un salut lointain et Pan qui faisait semblant de pleurer dans mes cheveux plus tard, je regagnais le ponton. Lequel ? J'en sais fichtrement rien, je veux aller ailleurs. M'éloigner et réfléchir encore un peu. Il va bien falloir que la trouve cette solution ! Allez hop ! Dans le zeppelin. Je retrouve l'équipage de tout à l'heure qui me regarde comme le monstre de Cloverfield. Enfin, non, c'est Peter Pan le monstre. Enfermé dans ma main, il essaye de mordre la jointure de mon pouce et de mon index. Pas de chance, je ne lui ai pas fais de dents quand je l'ai fabriqué.
Le Zeppelin décolle dans un grondement de moteur et le vent frais d'un hublo ouvert apaise mon âme quand mon esprit tourbillonne avec lui. (je suis actrice on vous a dit !).
Pan, lui, le vent lui fait ni chaud ni froid, il veut se libérer quitte à écraser ses formes dans mon poing. Il serait temps de lui trouver du papier de rechange.
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