Les terriers
Sam 21 Oct - 17:32
En route vers l’aventure ! Une douce mélodie à l’esprit, Lilou grimpa dans le Bus à Vapeur destination Cerclon, à ses côtés son yang, son ami et acolyte : Kaïl.
Une chose est sure les jours à venir seraient riches en rebondissements en amusements et en sentiments.
Ils s’installèrent dans le fond du bus, là où on pouvait regarder la route par la fenêtre, Lilou s’amusa à expirer son haleine sur les carreaux, pour y faire quelques dessins principalement floraux, elle se remémorait les dernières plantes qu’elle avait rencontrées.
Dakota c’était glissé dans la sacoche de la fillette, et de temps à autre, elle pointait le bout de sa truffe, ou un bras pendouillant.
C’est arrivé à destination que Lilou remarqua les regards insistants que les passagers jetaient sur eux. Son empathie lui indiqua un certain malaise dû à la présence de Kaïl.
Lilou rouspéta entre ses dents, nan mais ! Qu’avaient ils tous avec lui ? Arrivé à leur arrêt, elle l’attrapa par la main tira la langue à l’assemblé avant de courir en dehors du bus en riant.
- Ils comprennent vraiment rien !
Ralentissant l’allure les voilà devant la bibliothèque, confiante elle entra et se dirigea droit vers le tableau des annonces, fendant la foule amassé autour du tableau, ses grands balourds rendaient l’objectif difficile à atteindre. Une fois devant elle lu dans les grandes lignes les missions de sauvetages.
- Que pense tu de celle ci ? un homme coincé dans un terrier je pense que c’est dans nos corde !
- Lilou
- Modérateur
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Titre : Cosmos, Sapin, Kesukuan
Race : mi humain / mi esprit
Statut : Apprentie guèrisseuse
Notes : Vous trouverez une description détaillé de mes animaux dans mon feuillet de vie
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Re: Les terriers
Mer 1 Nov - 13:20
Non ! Mais pourquoi ! Je trainais la patte, mon visage s'était assombri et dans ma tête un duel venait de commencer, entre la partie de moi qui refusait de travailler et celle qui ne pouvait dire "non" à cette gosse de onze ans... Laquelle allait gagner, je vous laisse deviner.
-D'accord, va pour une mission.
Non ! Mais pourquoi ! Je me fustigeais intérieurement de cette capitulation sans combat. J'avais perdu la guerre dès qu'elle s'était mise à parler. Alors, le bus. J'ai admiré mes mitaines pendant un moment, me dire que je pouvais escalader tous les murs possibles me mettais en joie alors je n'en voulais pas à Lilou de m'embarquer dans une mission.
De toute manière, je ne pouvais physiquement pas lui en vouloir.
Je ne lui racontais pas pour autant ce que j'avais fais pendant mes vadrouilles. J'avais volé quelques trucs utiles, je m'en étais servis à mauvais escient ou bien pour manger et dormir convenablement. J'étais même passé une fois ou deux par la Caserne, ils proposent des cellules chauffées par temps froid et comme je suis un gamin y en a quelqu'uns, des bleus, qui se sont laissés berner et m'ont libérés.
Les fous.
Dans le bus, les regards. Je leur rendais mon plus beau sourire narquois. Je suis tellement meilleur qu'eux tous réunis qu'ils ne peuvent que me regarder avec envie. Voilà tout.
Puis la bibliothèque et la mission, quelle vie ! Non. Quelle fille ! Des missions, à son âge... Il va falloir que j'explique deux ou trois trucs à Richye quand même. Laisser une gosse travailler plutôt que de faire des bêtises, ce n'est pas normal.
-Attends, comment ça dans un terrier ? Bon, d'accord, mais c'est juste pour tester ces trucs d'escalades en situation réelle.
Je pris la fiche de mission et allait vers le comptoir d'Eva. La moche et méchante louve-garou, Eva.
-Qu'est-ce que ça pue le clebs mouillé ici... Vous utilisez des fourrures de chupacabra pour faire les poussières ou quoi ? Encore un peu et je vais fini asthmatique avec ces conneries.
Un temps mort.
-Mais en fait, non, c'est juste l'odeur courante, y en a une qui n'a pas compris l'utilité du savon... Parce que vu comme c'est le b*rdel ici, m'étonnerais pas que personne fasse les poussières.
Sourire narquois de plus, des aventuriers me jetais des regards de travers dans la salle. Je leur tirais la langue, fier de leur rappeler qui est le meilleur.
-D'accord, va pour une mission.
Non ! Mais pourquoi ! Je me fustigeais intérieurement de cette capitulation sans combat. J'avais perdu la guerre dès qu'elle s'était mise à parler. Alors, le bus. J'ai admiré mes mitaines pendant un moment, me dire que je pouvais escalader tous les murs possibles me mettais en joie alors je n'en voulais pas à Lilou de m'embarquer dans une mission.
De toute manière, je ne pouvais physiquement pas lui en vouloir.
Je ne lui racontais pas pour autant ce que j'avais fais pendant mes vadrouilles. J'avais volé quelques trucs utiles, je m'en étais servis à mauvais escient ou bien pour manger et dormir convenablement. J'étais même passé une fois ou deux par la Caserne, ils proposent des cellules chauffées par temps froid et comme je suis un gamin y en a quelqu'uns, des bleus, qui se sont laissés berner et m'ont libérés.
Les fous.
Dans le bus, les regards. Je leur rendais mon plus beau sourire narquois. Je suis tellement meilleur qu'eux tous réunis qu'ils ne peuvent que me regarder avec envie. Voilà tout.
Puis la bibliothèque et la mission, quelle vie ! Non. Quelle fille ! Des missions, à son âge... Il va falloir que j'explique deux ou trois trucs à Richye quand même. Laisser une gosse travailler plutôt que de faire des bêtises, ce n'est pas normal.
-Attends, comment ça dans un terrier ? Bon, d'accord, mais c'est juste pour tester ces trucs d'escalades en situation réelle.
Je pris la fiche de mission et allait vers le comptoir d'Eva. La moche et méchante louve-garou, Eva.
-Qu'est-ce que ça pue le clebs mouillé ici... Vous utilisez des fourrures de chupacabra pour faire les poussières ou quoi ? Encore un peu et je vais fini asthmatique avec ces conneries.
Un temps mort.
-Mais en fait, non, c'est juste l'odeur courante, y en a une qui n'a pas compris l'utilité du savon... Parce que vu comme c'est le b*rdel ici, m'étonnerais pas que personne fasse les poussières.
Sourire narquois de plus, des aventuriers me jetais des regards de travers dans la salle. Je leur tirais la langue, fier de leur rappeler qui est le meilleur.
- Kaïl
Re: Les terriers
Lun 6 Nov - 19:47
Kip avait perçu avant tout le monde dans le hall le danger imminent. Il était apparu comme un gosse insupportable en-tête d'un bonnet trop grand et d'une bouche de même volume. J'approchais mon comptoir avec un Kip terrorrisé qui suivait en se trainant sur son moteur anti-gravité parasité par ses émotions.
-Kaïl. Je maudis le jour où l'idée de passer par ma bibliothèque t'a traversé l'esprit.
Quelque chose de lupin était présent dans mon regard, dans le ton de ma voix. Et ce visage à peine transformé se tourna vers Lilou avec un sourire de canines s'allongeant.
-Je suis toujours heureuse de te voir barouder dans ma tour, Lilou, à la condition que jamais plus tu ne l'amènes avec toi. A moins que tu ne veuilles le perdre définitivement.
Je notais seule les informations sur la fiche de mission, les ayant entendu parler peu avant. Quant à Kip, il approcha Lilou et s'empressa de la bousculer un peu pour sortir, et vite. Avant que je ne commette l'irréparable.
Quoique, je suis sûre qu'on me donnerait une médaille si je débarrassais tout le monde cet affreux garnement.
-Kaïl. Je maudis le jour où l'idée de passer par ma bibliothèque t'a traversé l'esprit.
Quelque chose de lupin était présent dans mon regard, dans le ton de ma voix. Et ce visage à peine transformé se tourna vers Lilou avec un sourire de canines s'allongeant.
-Je suis toujours heureuse de te voir barouder dans ma tour, Lilou, à la condition que jamais plus tu ne l'amènes avec toi. A moins que tu ne veuilles le perdre définitivement.
Je notais seule les informations sur la fiche de mission, les ayant entendu parler peu avant. Quant à Kip, il approcha Lilou et s'empressa de la bousculer un peu pour sortir, et vite. Avant que je ne commette l'irréparable.
Quoique, je suis sûre qu'on me donnerait une médaille si je débarrassais tout le monde cet affreux garnement.
- Eva Carine
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